Pour ma fille, mes souvenirs

sylvie Ponee Par Le 28/02/2010 0

Dans Petit journal

 Depuis que je suis née, je rève du bonheur, de l'amour, d'un sentiment qui m'accompagne pour le reste de ma vie. Je puis dire que de ce coté là je n'ai pas vraiment été gatée, et ce pendant un bon nombre d'années. J'ai d'abord perdus mes parents qui, à force de disputes successives on finit par se séparer.. de ce fait je me suis retrouvée très jeune dans une sorte de solitude. Rien ne m'était acquit, j'ai dû créer un équilibre éphémère sans m'appuyer sur de banales relations qui ne semblaient en définitiven pas vraiment dignes d'intêret. Cela n'a pas toujours été facile et j'en ai franchement parfois vraiment bavé. Juste obligée de me forger une personnalité à toute épreuve dans une faune que je ne connaissais pas. Je promenais mes sentiments en évitant les moments les plus durs. Malgré ca certains souvenirs restent gravés comme autant de cicatrices encore sensible au fil du temps. J'ai seulement appris à mieux les accepter pour vire avec, ayant le sentiment d'avoir été plus souvent seule qu'accompagnée. je me suis souvent demandé ou étaient les lois du coeur, ayant subis par trop de fois des déceptions. Je vivais mal mes sentiments trop mitigés par autant de méfiance , pour me prolèger. J'avais la sentation des ne pas être à ma place oui pire encore dans une modeste illusion. Je voyais bien que le plupart des échanges n'étaient pas dénués d'intêret quelconques et qu'il n'est pas facile que d'ouvrir enfin les yeux. J'ai donné du temps sans savoir que je perdais le mien, écouté des heures sans que personne ne m'entende, apparté des espoirs alors que je n'en possèdais pas moi même. Je n'ai pas toujours réussi  ce que j'ai tenté de bon coeur prise dans les affres de la jeunesse. Entre les faux et bons amis, les projets d'avenir et les petits boulots, les idées pour ce construire et les moyens d'être démolie pour essayer d'y voir plus loin, d'y voir plus clair.Je garderais à l'esprit que l'homme contrairement à nos amis les animaux est capable de se nuire sans motif apparent. A bien y réfléchir, ma seule qualité véritable à l'époque est d'avoir toujours réagis face à tous les dangers,toutes les dérives. J'ai toujours gardé à l'idée de l'essentiel au  fond de mes poches qui me suivait partout.Un idéal qui ne se mesure pas à la vue d'un profil bassement matériel mais parce que l'on voit au regard des sentiments. Aussi, les souffrances sont telles plus dures à partager losqu'on à le coeur lourd ce qui explique mon choix de ne pas m'engager pendant longtemps. Mon idéal était de vivre heureuse en bonne intelligence dans un respect mutuel tandis que les circonstances ne m'ont offertes qu'une  sorte d'anarchie. Le privilège de m'épanouir un jour devenait , au fil du temps décalé comme unique compagnon, lui et le droit de rèver bien sûr, seul droit que l'on m'ai sans doute accordé depuis ma naissance. je me rapelle tous ces instant perdus, tous ces moments qui on fait de moi ce que je suis devenue. Après toutses ces années, de lutte ou tout semble différent ce récit à pour moi une véritable signification pour ne jamais oublier les lueurs d'espoir... j'ai choisi pour illustrer mon texte une de mes peintures, un portrait huile encadré sous verre... à bientot

 

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