Pour tout savoir

Bonjour à toutes et à toutes, bref à tous ceux qui ont le courage de me suivre dans ma vie décousue ( je plaisantes). Ces temps ci je n'ai pas été très communicative mais il n'en allait pas de ma volonté. Je sors tout juste d'un souci important et par la même occasion, de l'hopital. Surtout, ne me posé pas de question si mon amitié ne vous laisse pas indifférente car je n'aime pas parler frontalement des problèmes de la vie, je préfères écrire plus tard, lorsque tout est arrangé, surement de la pudeur. Cette dure période dure depuis plus de trois mois et peu de gens étaient au courant à part mon entourage proche bien entendu. Sachez que rien ne changera chez moi pour autant j'écrirais toujours, je peindrais aussi et je me battrais avec autant de force pour des projets qui fassent que l'humain soit meilleur. Pour cette raison, je ne répondais pas aux messages, j'étais peu présente car préoccupée à présent même s'il me faut du repos encore pendant un mois  ca va. Bref mes amis comprenez juste que si je ne voulais pas parler de quoi que ce soit c'est que ce n'est pas dans ma nature mais merci pour votre fidélité sur mon site je voulais juste vous dire que votre présence y est importante pour moi... Et surtout pas de questions qui fachent...

Texte écrit il y a quelques temps...

Je ne sais pas si contrariété rime avec confusion ou encore préoccupation. Même si l'une est la résultante de l'autre. On pourrait considérer aussi que le cumul des préoccupations abouti à la contrariété. Alors y a t-il une formule pour résoudre ses préoccupations? "Première donnée" considérer ses problèmes surtout l'un après l'autre sinon vous ne vous en sortez pas pris dans une spirale imaginaire....

Vogue le regard posé

sur l'horison, au loin argenté

qui brille de mille facettes

sans cesse renouvelées.

Je reste là, les yeux rivés

au fil de l'eau la nuit tombée

à comptempler mille lumières

scintiller entre ciel et terre

Mon esprit fait le vide

 regardant toujours plus loin

le fleuve toujours avide

vétu de noir jusqu'au matin

En premier lieu, il faut savoir surtout pour cette fois ci qu'un texte peut être comme un tableau presque futuriste. On peut tenter d'en saisir les contours sans essayer d'aller plus loin particulièrement, juste poser son regard et sa vision...

Comme un rempart fragile au regard de la socièté un pantin désarticulé vascille. Il ne croit en rien, ne cherche rien et ne voit rien qu'à se dissimuler derrrière un masque, une frèle face de clown.       Le teint blanchi, les traits creusés, il les marque encore de plus près avec couleurs vives. Suspendu à des fils invisibles attachés à son manque de discernement, il avance d'un pas saccadé presque ridicule. Tourne la tête à droite, puis à gauche au gré de ce qui l'entoure comme une crédule marionnette. Non, il n'est pas de bois, il semblerait même qu'il est un coeur et souffre souvent à  s'emméler lui même les deux pieds au même endroit. D'une face blème, les yeux écarquillés, il tente d'affronter la vie. Cette vie même qu'il ne peut atteindre à cause de ses attaches si bien nouées dans les affres de son inconscience. Cette vie même que l'on appelle encore bonheur ou liberté. Personne ne comprends vraiment très bien ou ces mouvements dénués de sens, mécaniques le bercent dans une valse désuète....

Quand la logique se déchaine, elle vous ouvre les yeux. Elle brise les maillons qui vous enchainent alors, pour vous laisser libre de vos mouvements. Comment en arriver la? surement qu'on s'attache tout seul en se donnant de bonnes raisons mais la seule est que de voir se briser ses rèves un par un sans pouvoir rien y faire c'est peut être bien là, la raison de s'échapper. S'échapper du pire qui vous parait trop simple pour être seulement vrai. Fuir l'ennui à grands pas qui vous guette près à vous étouffer par un silence pesant. Rester libre et suivre sa voie, celle que l'on écoute au fonds de soi pour nous permettre d'avancer. Bien loin du terre à terre, non je ne m'ennuies pas car la richesse d'une vie ne peut pas être d'en rester là, se contenter de peu ou du peut être.....

Bonjour à toutes et à tous,

Je n'étais pas très présente ces temps ci, comme cela m'arrive souvent. Bien des choses étaient compliquées, j'ai surmonter quelques embuches et des déceptions aussi.... Mais que cela ne tiennent je ne vais pas me plaindre en vue des évènements tragiques des derniers jours même si cela au fond n'a rien à voir. Je publierais demain et les jours suivants les échos de ces jours restés muets.... J'ai traversé une foule de sentiments successifs avant d'écrire à nouveau dans "mon petit journal". Et pourtant, l'écriture m'a toujours permise de relever la tête contrairement aux paroles qui ont plutot tendance à donner l'effet inverse. C'est vrai que lorsque je parle je ne prends pas de gants, je ne fais pas de détours et de contours même si j'essaie de faire attention. C'est ma nature d'être entière, pas dans le but de brusquer les autres mais parce que l'on appelle un chat, un chat. L'ambiance est morose après une onde de choc à encore secoué notre pays mais je continue à croire en la solidarité des hommes capable résister aux pires dérives de ce monde. Chacun réagit comme il peut en espérant que les mots s'enchaineront un à un pour une vie plus clémente pour beaucoup d'entre nous... Merci à ceux qui me suivent et clin d'oeil pour tous ceux qui sont chers à mes yeux....

Je prends juste un moment pour écrire, comme si il est vrai, je n'avais pas assez écris comme ca. J'ai toujours écris et dessiné aussi dès mon plus jeune age. Je pense que je pouvais ainsi ouvrir un espace ou je me sentais bien. Ecrire est un peu comme lire quand on libère un espace temps rien que pour soi. On peut se rapprocher d'un monde qui nous ressemble en écrivant et cela fait un moment que je n'ai rien livré de personnel sur mon site internet un peu décousu passant d'anecdotes à des pages ouvertes sur la vie. Je ne dispose que de peu de temps surement... J'ai toujours pensé que les paroles pouvaient faire du mal alors que les mots font souvent du bien comme un remède à ses propres maux. On m'a dit il y à quelques temps que je devais avoir été très décue au cours de mon existence, je pense que je ne l'ai pas été plus que d'autres à quelques exceptions près dans le sens ou chacun est responsable de la direction qu'il prend dans la vie. La déception il est vrai prend racine dans l'espoir et qui n'en a pas. Au lieu de rester décue justement, j'ai réussis à reprendre ma route, celle que je me suis fixée. L'expérience est bien la seule richesse qui agit comme un gps si l'on sait faire la part des choses inteligemment. J'ai beaucoup bougé dans la vie autant dire que  mon vécu à toujours la base de mes prises de décision. Entre écriture, peinture, projet humain, musique pour me faire plaisir aussi, je tente de trouver un peu de temps parfois pour me retrouver au coeur des mots. Rien n'est toujours tout rose ou parsemés de fleurs mais je pense avoir la chance d'avoir la force de raisonnement, la chance que les choses me sourient, la chance d'être comme je suis. Finalement ce sont ceux qui ont perdu ma trace qui sont surement le plus à plaindre car de mon coté j'ai toujours donné ce que je pouvais. C'est pour cette raison que la rancune ou l'amertume n'ont aucune emprise sur mes raisonnements même si je n'oublies rien bien évidemment. Voilà en substance l'alchimie pour repartir du bon pied car il existe partout dans ce monde des gens formidables, plein de choses à faire ou à découvrir.... à méditer.....

J'ai dessiné avec une pierre bien des chemins, bien des ruisseaux.

J'ai dessiné genou à terre bien des rivières au fil de l'eau.

Passé des heures cheveux au vent à figer les courbes du temps.

Suivi les flots de  l'imaginaire en posant pour toujours mon regard d'enfant.