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Pour tout savoir

1991 colère ou souvenir de famille

Le 06/03/2010

Je n'arrive pas à dormir, alors j'écris. Moi qui ne donne pas souvent des nouvelles, je me plais à coucher sur papier libre ce qui ne va pas. Une fois de plus, je me suis à nouveau pris le bec avec ma mère vendredi dernier et pour une fois c'est moi qui commencais à pêter les plombs. Je préfères faire ma vie de mon coté et je me suis emportée afin de lui faire comprendre. Et j'ai mes raisons. Je n'arrive pas à la suivre et pourtant j'ai passé pas mal de temps avec elle. J'ai compris pas mal de choses aussi au fil du temps, il aurait fallut être aveugle pour ne rien voir. Ses loisirs se limitent de l'écran de télé au canapé, du canapé au lit. Il est vrai quelle à un coté dynamique, faire son marché, ses courses aussi presque tous les jours.. Je ne sais pas vraiment exprimer ce que je ressents. A force de vouloir se confier il arrive un moment ou c'est tellement difficile que l'on finit par abandonner. C'est mon cas même si les raisons qui me poussent à me révolter ne manquent pas. C'est con de ne pas parler tous les langages du coeur, de ne pas pouvoir donner tel que l'on voudrait. En tout cas, je n'aime pas que l'on se joue des autres, que l'on essaie de les apprivoiser pour avoir la conscience tranquille et d'éviter le reflet de la glace pour ne pas y voir ce que l'on a à se reprocher. Lui dire combien je souffre de cette fausse complicité me pèse au plus haut point. Mais il ne faut pas se voiler la face et encaisser les faux semblants. Je m'étais déja appercue combien le coté tape à l'oeil de cet amour maternel pouvait être superficiel. Il fallait juste gratter un peu pour s'appercevoir ce qu'il y avait en dessous n'était pas de la même couleur. Je n'ai d'ailleurs jamais demandé que l'on me manifeste d'ailleurs un amour éclatant après des années de vide. La sincérité m'aurait suffit et serait plus belle à mes yeux. La franchise ne s'altère pas au fil du temps. Je préfères être seule, j'ai assez soufferts de l'injustice, des mauvaises paroles que l'on crache sur les autres pour libérer son venin. Je ne connais pas de plus grands défauts que des sentiments tronqués et faux pour bonne figure et considéré son attitude comme une bonne action. Mais la meilleure action quand on ne peut pas changer est sûrement de laisser les autres en paix, de les laisser vivre tranquillement et selon leurs propres valeurs si eux même n'en n'ont pas la moindre. J'espère ne jamais faire aussi mal aux autres, un jour. En lui disant de me laisser tranquille, je lui ai aussi dit que je l'aimeais mais ca c'est très difficile à comprendre..... Comme elle cite souvent " réchauffe un serpent contre ton coeur, il te prouvera son amour en te tuant.. " c'est bien pensé j'en conviens aisement. Comme je l'ai déja fais, je déccroches, je jètes l'éponges, j'abandonnes. J'en ai pris plein la gueule dans mon enfance, on m'a jetée au lion ensuite, maintenant à la trentaine qu'ils me foutent un peu la paix. A chacun sa conscience moi la mienne est tranquille.   J'aurais tellement aimé que les choses en soient autrement que régies par l'égoisme et la méchanceté. J'ai fais mon maximum avec tout les moyens dont je dispose. A présent, je demande juste que l'on m'oublie un peu en gardant si possible l'image de quelqu'un de pas trop con et de pas trop pourri. L'être humain sera toujours un bel enfoiré, surtout certains qui écraseraient n'importe qui pour une parcelle de pouvoir débile. Le vrai pouvoir n'est-il pas le fait de comprendre car il réunit les montagne sans qu'elles ne s'affrontent. A vous qui avez su me faire du mal, c'est bien visé mais un jour tout vous retombera sur le coin du nez et votre souffrance n'en sera pas la moindre. La vie ne peut pas être idéale avec des champs de coquelicots partout mais il y a des limites. Le tablau est vite brossé, le seul d'ailleurs que je n'aimes pas peindre car ce paysage est triste et de mauvais goût.Combien de fois me suis-je laisser avoir à écouter des conneries, je ne sais pas mais j'espère que celle là seront les dernières. Au pied du mur on voit le maçon et coté construction dans la mentalité ce n'est pas qu'un peu minable. Démunie de morale d'orgueil et de bon sens envers les autres, il faut pas avoir froid aux yeux mais plutot dans le fond du coeur ou il n'y a qu'un blog de glace. Je préfères faire ma vie à moi, tout recommencer encore une fois, tout effacer et ne plus remuer ses souvenirs qui remontent déja assez a la surface de ma vie pour me faire du mal. Je les enferment eux et leurs représentants au fond de ma mémoire même s'ils ne le méritent pas. Je ne donnerais cette nouvelle à personne car de toute facon je suis seule, seul le silence apaise..... Pour illustrer ce texte, je laisse une de mes peintures, juste un décors peint a l'huile

Pensées Août 1990

Le 05/03/2010

Dés le matin, si je puis dire ainsi, j'ai envie de me mettre au travail. Ecrire, une des taches les plus difficiles, la plus agréable aussi.                  Des pages qui me feront sûrement du bien des textes qui me feront sûrement du mal et des pensées sans réelle importance. Sans chercher, sans savoir, broyer toutes les couleurs de l'espoir du vert obtimiste au gris des instants passifs. S'exprimer est un don que l'on perfectionne.                  A 16 ans déja j'écrivais mes premiers poèmes, trouvant l'inspiration en regardant par la fenêtre de ma chambre.Un jour mon père a vu mes écrits et m'a demandé " c'est de qui" honnètement je lui ai répondu " de moi ". J'ai pris deux giffles car il pensait que je le prenait pour un imbécile. Du coup j'ai tout brulé pensées, textes et rimes ont brillé  du même éclat dans les flammes. Plus tard, je les ai gardé comme des souvenirs, comme des flashs, le film de ma vie en miniature. Il n'est pas le principal de bien écrire en ficelant les mots de telle ou telle ponctuation mais simplement de libérer ce qui me tiens à coeur. L'écriture elle même n'est pas des plus appliquée mais peu importe seul le temps d'aimer fait éclipse à la mémoire. Il es l'heure à la pendule, de bouger, de faire des choses , non pas attractives mais nécessaires pour vivre. Pourtant, dans mon coin, je n'ai pas envie de faire grand chose à part faire quelque chose de bien c'est à dire ne rien faire... Similitude de pensées? oui bien sur nous ne vivons pas dans un illogisme profond mais ceci explique cela de façon sympathiques ( certains vont avoir du mal à me suivre ).

  • Pour illustrer ce petit texte, j'ai choisi une de mes peintures acrylique qui s'appelle Cléo

 

Pour toutes les femmes

Le 01/03/2010

Ne croyez pas que je nourris un certain sentiment de rejet envers les hommes... pas du tout.. Pourtant, je ne peux m'empècher de penser à ce que quatre femmes sur dix soit victimes de violence morale ou physique, ca c'est intolèrable. Nul ne peut donner le droit de faire mal à un individu sous quelque prétexte que ce soit. Rassurez vous la méchanceté de ces hommes prouvent leur lacheté. En donnant un conseil aux femmes qui subissent chaque jour je leur dirais " dites vous que cet homme est une sous merde car il n'a même pas le courage d'en être une entièrement " en s'en prenant à une femme. Pour détendre cette atmosphère pesante ou malheureusement les victimes de ses sauvages primaires sont isolées, je vous propose un de mes textes écrit déja un bon nombre d'année en espérant qu'il vous apportera une petite lueur dans ce monde ou par trop de fois nous ne voyons pas la souffrance des autres..

Juin 1997 :

J'écris pour me défouler pour me vider la cervelle qui semble s'activer de façon féroce en ce moment. Ou trouver un refuge dans ce chapelet de difficultés qui m'entourent. Comment s'exprimer sans crier sa rage et réagir calmement quand tant de choses m'atteignent profondément. L'être humain est-il stupide? en suis-je moi aussi l'un des représentante acharnée? que dois-je prouver pour être comprise une bonne fois pour toute. J'ai du mal à me retrouver sur le chemin des efforts qui me semblent illusoires, j'ai du mal à passer ma route sans croiser un regard de tendresse, enfin à croiser cette tendresse surtout.Tous me semble un peu trop calculé pour être agréable. Gagner sa vie, gagner la confiance, se tenir droit devant les autres, suivre le bon exemple.... Une ligne de conduite est difficile à trouver. Même pour moi qui ai prècher le bon exemple. Difficile car les concessions à faire sont souvent accomplies pour ou contre quelque chose. En l'occurence le simple fait de se regarder dans la glace nous amène normalement à être digne. La dignité est donc la base d'un dentiment tou à fait personnel, qui ne se partage pas. Les opinions se partagent, les points de vue, car nul ne peut apporter réellemnt sa vision qui lui reste propre tout au long de sa vie. Néanmoins, certains éléments peuvent affecter cet honneur en un rien de temps et en plein dans le mille... les autres... Deux cas me viennent précisemment en tête :

*Les difficultés qui se suivent et qui fatiguent même le plus expérimenté sourire aux lèvres.

*Le jugement de ceux qui vous entourent qui cernent rapidement le problème et vous enserrent au milieu.

Les deux réunis pour peu qu'on soit un peu émotif, c'est la pagaille assurée. Les motivations filent comme des  courants d'air et il faut être bons sportif pour catalyser son énergie. Les idées se brouillent ensuite comme si un décodeur était en panne dans votre tête. La fierté et l'honneur alors prennent une bonne claque en même temps.La vraie dignité ne serait-elle pas de ne pas atteindre une personne déja assaillie par ses obligations et par ses doutes? Un homme m'a dit un jour " je peux te faire du mal moralement " quel courage j'avais déja un genoux à terre moralement.. Je pense en conclusion avoir trouvé la solution " Prouve que tu es fort et le meilleurs des mondes ouvrira ses portes " sinon tu restera derrière en demandant la charité affective. Ou, tu assumes car un monde ouvre ses portes et derrières t'attendent prêtent à te faire deshonneur... et tu finiras comme une vilaine ménagère sale et abrutie.

Souhaites tu être au fond de toi aussi claire et juste que quiconque respecterait? sans doute. La vie possède bien des retords mais le premier piège est de ne pas les voir. Alors les yeux bien ouverts, tente de faire au mieux sans idée de conquérir. Essaie d'être heureux sans batir au détriment d'autrui. Mène ta vie car elle est belle même quand tes yeux remplis de larmes se demandent pourquoi. Entre rires et larmes rien n'est facile mais ne baisse jamais les yeux devant quiconque. La fierté est sa richesse aussi alors que de ne rester entre peur et ambition, va toujours plus loin sans savoir forcément ou cela te mène. Cet univers nouveau montré du doigt, va à ton rhytme avec prudence. Ignore la contraite stupide de la morale, je parle de celle que l'on tiens à te faire avaler.Car ce que tu attends au coeur de tes espoirs ne sont pas des obligations, concessions, par orgueil personnel. j'attends de mon coté cette petite étoile qui brille. L'art de vivre n'est pas un vain mot, ni une fausse vocation. L'amour n'est pas non plus cinq lettres qui se suivent de façon ridicule. Pour ma part, je n'ai jamais vécu ce sentiment dont tous le monde rève ou exibe à volonté, je sais seulement que je suis née avec ce qui n'ai déja pas si mal....

Pour accompagner ce texte j'ai choisile portrait de Néfertari une de mes peintures huile peinte sur cuir. Elle qui d'un seul a su par son regard donné la dignité à toutes les femmes.

Pour ma fille, mes souvenirs

Le 28/02/2010

 Depuis que je suis née, je rève du bonheur, de l'amour, d'un sentiment qui m'accompagne pour le reste de ma vie. Je puis dire que de ce coté là je n'ai pas vraiment été gatée, et ce pendant un bon nombre d'années. J'ai d'abord perdus mes parents qui, à force de disputes successives on finit par se séparer.. de ce fait je me suis retrouvée très jeune dans une sorte de solitude. Rien ne m'était acquit, j'ai dû créer un équilibre éphémère sans m'appuyer sur de banales relations qui ne semblaient en définitiven pas vraiment dignes d'intêret. Cela n'a pas toujours été facile et j'en ai franchement parfois vraiment bavé. Juste obligée de me forger une personnalité à toute épreuve dans une faune que je ne connaissais pas. Je promenais mes sentiments en évitant les moments les plus durs. Malgré ca certains souvenirs restent gravés comme autant de cicatrices encore sensible au fil du temps. J'ai seulement appris à mieux les accepter pour vire avec, ayant le sentiment d'avoir été plus souvent seule qu'accompagnée. je me suis souvent demandé ou étaient les lois du coeur, ayant subis par trop de fois des déceptions. Je vivais mal mes sentiments trop mitigés par autant de méfiance , pour me prolèger. J'avais la sentation des ne pas être à ma place oui pire encore dans une modeste illusion. Je voyais bien que le plupart des échanges n'étaient pas dénués d'intêret quelconques et qu'il n'est pas facile que d'ouvrir enfin les yeux. J'ai donné du temps sans savoir que je perdais le mien, écouté des heures sans que personne ne m'entende, apparté des espoirs alors que je n'en possèdais pas moi même. Je n'ai pas toujours réussi  ce que j'ai tenté de bon coeur prise dans les affres de la jeunesse. Entre les faux et bons amis, les projets d'avenir et les petits boulots, les idées pour ce construire et les moyens d'être démolie pour essayer d'y voir plus loin, d'y voir plus clair.Je garderais à l'esprit que l'homme contrairement à nos amis les animaux est capable de se nuire sans motif apparent. A bien y réfléchir, ma seule qualité véritable à l'époque est d'avoir toujours réagis face à tous les dangers,toutes les dérives. J'ai toujours gardé à l'idée de l'essentiel au  fond de mes poches qui me suivait partout.Un idéal qui ne se mesure pas à la vue d'un profil bassement matériel mais parce que l'on voit au regard des sentiments. Aussi, les souffrances sont telles plus dures à partager losqu'on à le coeur lourd ce qui explique mon choix de ne pas m'engager pendant longtemps. Mon idéal était de vivre heureuse en bonne intelligence dans un respect mutuel tandis que les circonstances ne m'ont offertes qu'une  sorte d'anarchie. Le privilège de m'épanouir un jour devenait , au fil du temps décalé comme unique compagnon, lui et le droit de rèver bien sûr, seul droit que l'on m'ai sans doute accordé depuis ma naissance. je me rapelle tous ces instant perdus, tous ces moments qui on fait de moi ce que je suis devenue. Après toutses ces années, de lutte ou tout semble différent ce récit à pour moi une véritable signification pour ne jamais oublier les lueurs d'espoir... j'ai choisi pour illustrer mon texte une de mes peintures, un portrait huile encadré sous verre... à bientot

 

Présentation

Le 19/02/2010

Bonjour,

Je viens aujourdhui partager ma passion, celle de la peinture.

 Je vous ouvre les portes de mon atelier secret ou je souhaites vous faire découvrir ma vision.

Alors je laisse place aux images.... à bientot 

 

  

 

 

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