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Pour tout savoir

Voir la vie comme est l'est

Le 12/07/2012

Certeins pourraient trouver surprenant de livrer ses idées à l'état brut sur ce que je ressents  face à une relation . Je leur répondrais alors que ce qui parait extrèmement simple aux yeux des uns peut s'avèrer plus complexe aux yeux des autres. Pour cette raison, il n'est pas question d'émettre une succession de pensées, juste transcrire la réalité des sentiments, en toute simplicité............... à bientot.......

Soirée en discothèque ou la jungle du célibat, pensées 2001

Le 12/07/2012

Je viens vous parler d'un certain samedi soir, que j'ai tiré de mes écrits qui datent déja de quelques années.... Au départ le plus curieux dans une rencontre c'est quand au départ ni l'un ni l'autre n'ont envie de sortir..de mon coté en effet, finir ma soirée dans une discothèque ne me disais pas grand chose ce soir là ...  Fallait-il que la discution, ou l'ambiance soit vraiment glauque pour que je décide de faire un effort et décider d'aller y faire un tour. C'est donc au prix de quelques efforts que nous nous sommes croisés. Je ne réecris pas cette scène par nostalgie car j'ai connu au final ce mec 2 ans à distance et que je ne le porte pas plus que ca dans mon coeur, il n'en vaut pas la peine mais pour mes écrits qui me font sourire parfois et surtout qui apporte un recul non négligeable sur le fil de son existence. Voila la parenthèse fermée, je continue mon histoire...

J'arrivais donc en début de soirée, à cette heure ou il n'y a personne sur la piste, juste un barmann derrière le bar à essuyer les verres. A cette heure la, une salle nous semble petite car on voit tout du box  transparent ou une andouille remue déja sa tête dans un casque au fonds de la salle. A cette heure ou deux ou trois faisceaux lumineux se battent en duel dans un cercle en plein milieu. Bref, j'étais venue avec ma fille en essayant comme modeste consolation, de ne pas commencer par nous ennuyer.  Il faut dire qu'a ce moment là, on se demande si s'était une bonne idée de venir là , d'autant qu'a par nous et le personnel, y a un chat. Après avoir pris un verre, je suis allée au milieu de la piste pour danser un peu. Il faut dire qu'en début de soirée c'est un peu la fosse au lion, les gens arrivent petit a petit, tout les regards sont braqués sur vous. Je ne voyais autours de moi que quelques personnes, par bribes de regard.  Je ne voyais que des silhouettes éparpillés dans un décors vif et coloré. Certaines étaient assises  sur des banquettes d'un velours rouge éclatant. Les lumières offraient un jeu de couleurs tombant en pluie fine à un rhytme saccadé. Je distinguais encore le bar jaune fluorescent une fois revenue à ma place mais il paraissait plus loin. Il laissait deviner deux ou trois personnes accoudées, occupées à boire leur consommation. Après un moment, je me suis dis que ce n'était pas une mauvaise idée d'en faire autant car après un bref coup d'oeil, je me trouvais assez seule dans une ambiance ou personne ne s'amusait vraiment.

Je suis donc allée me commander une vodka orange, que j'apprécierais surement comme le premier piment de la soirée. Arrivée devant le serveur qui se fait toujours attendre meme quand il y a que deux verres à servir, il était aussi glacial que les courants d'air qui me passaient dans le dos. Dans cette confusion, je me demandais comment il mettait autant de temps, meme s'il le fesait exprès. C'est la que j'ai remarqué un homme à ma droite que je n'osais finalement regardé qu'en posant mon regard un peu partout. Enfin servie et sortie de mon embarras à restée plantée la comme une plante verte, la juste à coté de moi un autre m'invite à danser. Un type un peu grand mais d'allure assez bizarre. Bon au point ou j'en étais, j'accepte mais je regrettais très vite, en profitant de la première occasion pour filer loin de se curieux personnage. D'instinct, par envie ou je ne sais par quel sentiment, je suis revenue à la même place ou se trouvais encore l'homme du bar. En fait, il n'avait pas bougé depuis. Je le voyais cette fois un peu mieux ( je n'avais pas mes lunettes) pour m'appercevoir qu'il avait les cheveux bruns. Soudain embarrassée de le regarder ainsi car je ne savais pas s'il était seul comme moi ou pas, s'il était sympa ou encore de bonne humeur, les secondes me semblaient longues à défiler dans ce laps de temps. A mon grand étonnement, il avait l'air sympatique. En m'adressant la parole il me demanda dans la première phrase si le grand spécimen auquel j'avais accordé 5 mn au début était mon ami. Pas tellement flatteur sur ce coup là. Je crois avoir au début ravalé ma salive, en essayant de revendiquer un " non " catégorique à la limite de la protestation. En une seconde de malaise ou je le regardais sans doute bêtement, il m'a proposé de boire un verre et la bien, je n'ai pas hésité. Depuis cette scène, beaucoup de monde était survenu d'on ne sait ou qu'il fallait éviter pour trouver un endroit pour s'assoir quelque part. Après avoir pratiquement fait le tour de toutes les salles, nous avons réussis à nous trouver une place. Vous savez les places que personne ne veut là ou on joue de l'accordéon pour les anciens et le passo doble pour les gens de la campagne qui ne connaisse que ca ( ironie ). Bref, nous nous sommes assis confortablement et nous étions face à face pour la première fois. Je découvrais peu à peu un homme souriant et plein de charme. Sans le savoir, il me parlait avec des mots que je voulais entendre ce soir là ( je n'en dirais pas plus ). La musique semblait exagéremment forte car elle enlevait toute aciduité à mon écoute. La musique et un peu la vodka aussi. Les lumières me paraissaient à présent trop artificielles pour garder toute mon attention. Je vivais le bonheur de parler avec lui même si dans ces cas la on perd toujours une part de la conversation. Toute la nuit, on ne s'est pas quittés comme si s'était normal. Je l'ai même attendu à la porte des toilettes instinctivement s'en m'en rendre compte sur le coup. Devant reprendre nos esprits à la fermeture proche et oui dans ces cas la le temps défile nettement plus vite, je n'étais pas très à l'aise à l'idée de ne pas le revoir, de partir chacun de son coté. Lui proposant de passer chez moi, nous avons finalement décidés de prendre la route ensemble pour boire un café et rester encore un peu tout les deux. Nous ne pensions ni l'un ni l'autre à un acte sexuel banal car ce n'était pas notre état d'esprit mais juste un peu de temps je crois nous était nécessaire avant de se quitter. Nous sommes arrivés chez moi vers 5h du matin. C'est vrai que ces quelques heures m'avaient fait tout oublier. Ma fille était montée dans ma voiture au retour mais je ne l'avais pas croisé de la nuit ou presque, et le pote à la maison qui dormait. Après nous être garés en bas de mon immeuble l'air frais me ramenais très vite à la réalité. Le jour commencait à se lever et le petit jour prenait une allure plus triste. J'étais presque genée de l'amener dans un milieu ou les cages d'escalier annonce la couleur. Montant les marches, j'avais hate d'arriver devant ma porte d'un bleu criard que j'avais alors bientot du mal a supporter. Enfin entrés, je réveillais la nounou de service chargée de garder mes deux fils qui dormaient. Pendant que nous nous asseillons, dans la cuisine, la nounou arrivait tout ébourriffé. Il faut dire que s'était un grand gaillard, ami fidèle depuis 9 ans en qui j'avais une totale confiance. Par un reveil difficile, il s'est dirigé vers la cafetière comme un automate sans meme nous remarquer specialement. Nous étions tous réunis autours d'une table, moi, ma fille, le pote et un homme qui ne m'a jamais apporté d'autre que cette soirée un peu magique après être reparti  en deux ans  non je corrige, un bouquet de rose et une bouteille de champagne.

Pensées 2003

Le 11/07/2012

Depuis que je suis née, je rève du bonheur, de l'amour, d'un sentiment qui m'accompagnerait pour le reste de ma vie.... et je puis dire que de ce coté là, je n'ai pas vraiment été gatée et ce, pendant un bon nombre d'années.. J'ai d'abord perdu de vue mes parents, qui à force de disputes succéssives, on finit par ce séparer. De ce fait, je me suis retrouvée seule dans une sorte de solitude. Rien ne m'était acquit bien au contraire, j'ai du creer un équilibre éphémaire sans m'appuyer jamais sur de bancales relations qui ne me semblaient pas en définitive dignes d'interêt. Cela n'a pas toujours été facile et j'en ai même parfois franchement bavé. Juste obligée de me forger une personnalité à toute épreuve dans une phone que je ne connaissais pas. Je promenais mes sentiments comme on marche dans les rues à la tombée de la nuit mélée d'une sorte d'assurance indispensable et de craintes aussi, l'essentiel n'était-il pas d'éviter les moments les plus durs. Certains souvenirs restent gravés comme autant de cicatrice au fond du coeur. J'ai seulement appris à les accepter pour vivre, vivre en ayant ce sentiment d'avoir été plus souvent seule qu'en apparence accompagnée. J'avais bien sur des copains, ceux qui me voyait jolie, sympa, tous ceux qui avaient un vrai chez eux, une véritable famille qu'il ne respectaient même plus, une vraie histoire. Moi je n'avais rien que moi et mon honneur projetée la ou la dans telle ou telle situation. Personne ne voyait rien car j'aimais apprendre et d'une école d'architecture je suis arrivéé en masquant mes faiblesses jusqu'a l'université. Beaucoup me connaissait mais personne ne me voyait vraiment à part un couple seulement. J'habitais un petit appartement rue Orbe à Rouen dans une petite rue pavée au rez de chaussée. Les poutres de cette vieille batisses avaient plus de choses à raconter que les gens qui semblaient me connaitre je crois. Je me suis demandé souvent ou étaient les lois du coeur ayant par trop de fois connue des déceptions. Je n'arrivais pas à vivre des sentiments car on m'avait déja trahis, ignorée et oubliée aussi... Je ne nourrissais même pas une sorte de vengance, je prenais ma revanche et la vie comme je la voyais. Je vivais très mal les sentiments car dans mon coeur ils sonnaient toujours faux comme si je n'étais pas encore à ma place mais qu'elle place peut on avoir " au sud de nul part ". j'avais vraiment la régulère impression de ne pas être à ma place ou pire de nager dans une modeste illusion. Je voyais bien que la plupart des échanges n'étaient pas dénués d'un interêt quelconque et qu'il n'est pas si facile que ca d'ouvrir enfin les yeux. J'en ai donné du temps sans voir que je perdais le mien, écouté des heures sans que personne ne m'entende, apporté de l'espoir alors que je n'en avais pas moi même plus que les autres. Je n'ai pas toujours réussi ce que j'ai entrepris de bon coeur prise dans les affres de la jeunesse entre les faux et les bons amis, les projets d'avenir, les petits boulots purement alimentaire pour aller plus loin. Les idées pour se construire défilent. Essayer d'aller plus loin, d'y voir plus clair. Je gardais à l'esprit que l'homme contrairement à nos amis les bètes,est capable de se nuire sans motif apparent. A bien y réfléchir, à cette époque ma seule grande qualité n'était- elle pas d'éviter tous les dangers et à toutes les dérives que j'ai pu voir parfois. J'ai toujours gardé l'essentiel au fonds de mes poches après tout... est-ce suffisant....

 

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Poésie

Le 10/07/2012

Je referais le monde et ses couleurs pour toi. J'y mettrais du soleil et des larmes de joie. Je peindrais un oiseau en déployant ses ailes, la mer puis un bateau je repeindrais le ciel......coucher-de-soleil.jpg

Les remises en question

Le 25/06/2012

Les remises en question... vaste sujet... sont elles toujours utiles, moi je le crois. Indispensables, je le pense aussi car au coeur de notre vie nous ne sommes pas tous seul. Pas facile de voguer sur les vagues de l'existence. Certains naviguent sur une mer d'huile pendant longtemps d'autres sur une mer agitée. Pourtant nous menont tous notre barque au point de ne pas sombrer quand une tempête se lève et balaye tout sur son passage. Faut-il avoir de l'intuition pour arriver à destination sans encombre? Je ne me sents pas comme une aventurière née cependant la vie m'a conduite vers des univers bien différents. Celà participe à une certaine ouverture d'esprit sans aucun doute. Après bien des traversées dans des départements, je suis arrivée dans le calvados pour poser mes valises depuis 3 ans.. Je m'y sents bien je trouve toujours aussi belle la suisse normande ou les rivières et ruisseaux arpentent les roches qui se dressent devant vous fièrement. J'y ai trouvé un coté paisible, le calme, une certaine sérénité. Nos vies sont parfois agitées à l'inverse de tout principe que représente une nature paisible. Il faut tenir bon. Le simple fait de regarder défiler l'eau d'une cascade nous fait peut etre comprendre que notre course matérialiste n'est pas si importante que ca. Notre système pourtant nous impose de ne pas avoir assez de temps pour ce qui nous environne parfois même pour le respecter. Les constructions apparaissent partout et les endroits sauvages sont encombrés de sacs et objets divers jetés sans état d'âme. Tout cela n'est rien en comparaison de ce que résulte la pollution de notre planète mais a micro échelle, on commence à prendre conscience de l'évolution de la dégradation des sites naturels. L'homme ne devrait-il pas se remettre en question dans son comportement, dans sa facon de consommer, dans sa facon de vivre aussi? je pense toujours qu'il le devrait...convaincue qu'un certain art de vivre commence par comprendre ce qui nous entoure.

Le matin, en partant au boulot

Le 21/06/2012

Et oui, un matin ou je vais au boulot... mais détrompez vous; j'y vais avec le sourire.. un boulot que j'ai choisis en somme et ou je me sents bien. C'est pas si courant, je veux dire au cours d'une vie...Au plus près des difficultés de chacun, j'essaies de trouver ma place parfois secondaire parfois utile pour retrouver l'autonomie et une certaine confiance en soi. 

La douleur d'une mère

Le 29/05/2012

olb3l6e9.gifLa vie ne fait pas de cadeau pourtant moi j'en ai eue. Certes des cadeaux qu'on a pas voulu de l'indifférence jusqu'a la méchanceté. Je ne m'attendait pas à la cruauté de la part d'un enfant qu'on a mis au monde. La nature est parfois si cruelle qu'elle vous déchire le coeur et le plus profond de vos entrailles. J'ai eue trois enfants. Il est vrai que les circonstances pour les elever étaient loin d'être idéale mais je me suis battue pour qu'ils aient le plus possible. Ils grandissent affirment leurs différences puis leurs indifférences au point de vous faire mal. Je ne suis pas victime juste de moi même en ayant seulement cru que mon mérite leur sauterait aux yeux. Au lieu de cela ma fille part à la dérive depuis longtemps et comme elle est loin, je ne peux pas faire grand chose. Mon grand fils est la personne la plus dure que j'ai rencontré, il vit sa petite vie dans des petites escroqueries auprès des personnes les plus faibles et me fait énormément de mal quand je le croise. Reste mon petit dernier et lui heureusement j'ai su le protèger des mauvaises valeurs, il est adorable. Son propre frère nous à porté des coups et proféré des menaces à 16 ans à peine et rien que d'y penser mon coeur de mère saigne encore aujourd'hui. Je ne sais pas d'ou vient autant de bétise et de haine de la part de ceux que vous avez chéri le plus. Ma fille a 30 ans et je ne la vois pas. Mon grand fils en à 20 et je ne le vois plus. Reste mon petit dernier que je voudrais toujours protèger, il à 13 ans. Et dire que je travaille dans le social à présent et que j'ai toujours aidé les autres comment pourrais t'on comprendre que vos proches soient aussi bêtes ou méchants c'est un grand mystère pour mon coeur de mère.

A l'aube d'un certain jour

Le 18/07/2011

A l'aube d'un certain jour, j'essaies d'y voir plus clair dans mon décors, comme si une brume ne parvenait à se dissiper au coeur de ma vie. La réalité de ma vie est surement moins poètique et en tout cas beaucoup plus terre à terre. Et oui le quotidien banal de quelqu'un qui ne se rangera jamais à l'idée de se que l'on se fait du raisonnable surement. Le couple par exemple, quelle masse de concessions, rien qu'une relation solide s'est déja compliqué...... de la à jouer les infatigeables amoureuses, il y a des limites. Je plaisantes car moi je ne sais pas ce que sera mon avenir sur le plan affectif et confidence pour confidence, je ne veux pas le savoir non plus. Trop de gens je trouve se complaisent dans un avenir tous tracé c'est bien pour eux mais pour moi ca ne collera jamais car la vie en soit  est une aventure et je ne veux pas me contenter d'une modeste demeure sans fenètre pour voir le soleil qu'il fait dehors. J' éxagères je sais et si j'écris c'est le but aussi de grossir à l'extrème ce qui en définitive n'est pas si grand que ca.

L'homme à besoin de se sentir aimé que cela ne tienne mais il ne faut jamais pour autant renier ses attentes profondes, son goût de la découverte.

Si l'amour est une découverte parfois le décors se dévoile peu à peu comme un vaste désert, un bord de rivière le matin quand il fait froid avec juste un voile de brume qui me masque les yeux....