Pour tout savoir

J'ai quarante six ans et je ne sais même pas pourquoi je suis seule dans la vie. Instinct de protection surement pour ne pas sombrer dans n'importe quoi enfin dans quelque chose qui ne me ressemble pas surtout. Des priorités à gérer? peut-être quelles sont autant d'obstacles qui me donnent l'impression qu'on ne me comprend pas vraiment. On passe sa vie au final à s'arrèter sur bien peu de personne ou celles dont on se souvient sont rares. Pourtant, je ne suis pas malheureuse, certaines personnes en valent la peine et il en faut peut pour que sa vie ne soit pas triste dans une sorte de solitude. Aimer n'est pas si simple non plus .Ce ne sont pas les opportunités qui manquent mais le manque de logique surtout.

Pourtant on à beau dire, la liberté est précieuse si l'on à peur de s'engager vraiment et ca peut durer longtemps. Depuis deux mois j'enchaine les difficultés comme des perles pour me faire un joli collier d'indépendance. Faut dire que je ne suis plus jeune et quant on est jeune " on à l'embarras du choix ". Avec les années, il ne reste " que le choix de l'embarras ".  Heureusement reste dans mon coeur les amours que je n'oublierais jamais. Bien sur ils ne sont pas nombreux, au pays des anges, ils sont à mes yeux immortels.

Ils nous protègent toujours de tout ce qu'il ne les vaut pas même d'ou ils sont. Célibataire, pourtant le mot sonne bien s'il ne raisonnait pas au bout d'une paire d'années comme incasable ou solitaire. Solitaire aussi s'est joli mais moins drole toutes les fois ou son coeur ne peut s'ouvrir pour telles ou telles raisons. J'ai quand même de la chance même si je n'ai pas toujours croisé des lumières qui ont éclairées mon existence. A force d'être seule, je ne sais pas si je pourrais être à deux un jour. Et c'est quoi être deux de nos jours, partager le quotidien? le bien et le moins bien? Faut sincèrement être balaise vu la vie de chien que la socièté nous prépare. S'épauler? ca existe dans la socièté du chacun pour soi. Les seuls qui partagent n'ont rien le calcul est donc vite fait. Le bonheur est devenu un luxe pour ne pas subir les problèmes permanent qu'on nous imposen jour après jour. Avant l'être humain était plus généreux, il ne protègeait pas comme un malade le peu qui lui reste. Aujourd'hui l'homme donne au compte goutte, attend que son investissement revienne et s'implique au ralenti en gardant un recul quasi permanent. Spontannée comme vision des choses que de faire des calculs d'apothiquaire avant de s'ouvrir aux autres. Je parles des gens de notre age car les plus jeunes donnent d'eux sans compter car ils ne subissent pas encore le poids d'une vie bien posée. Vient alors le calcul des années qui me sépare d'une autre génération. Trop de principes m'ont toujours fait fuir les situations compliquées. Alors voilà le célibat. Celui qu'on retrouve sur les sites de rencontres qui me font parfois bien marrer les gros, les moches et ceux qu'on ose pas regarder. Voilà la vitrine ou l'on met une photo alors que tout ca n'a rien de sentimental à la base. Recherche de cul ou fausses amitiés il y en à pour tout les gouts. Etalage de paumés pour ne croiser qu'un partie infime de gens équilibré. Et oui même les rencontres deviennent totalement égoistes dans une société qui nous laisse croire que n'importe qui peut trouver le bonheur en utilisant sa carte bleue. Dialogues illusoires et passions d'un jour défilent au point de ne plus savoir qui vous à dit quoi. Le célibat au final est le plus grand amour de sa vie celui ou rien n'est encore gaché ni salit celui ou tout est permit ni foutu celui ou l'on ne garde au fonds de soi que ce que l'on a au fonds du coeur. Finalement, je ne sais rien de l'amour, du couple dont on parle tant ou qu'on voit dans les films. Je sais juste que je suis née avec et qu'être deux pour moi, comme d'habitude, ce ne sera pas pour demain.

Je ne sais pas ce qui est le plus dur, être avec quelqu'un ou s'en séparer. Dans les deux cas rien n'est facile. Je ne sais pas ce qui est le plus compliqué le manque de passion ou la passion qui dévore. Je suis seule dans ma vie encore une fois mais je ne sais pas ce qui à été le plus dur jusqu'à présent. Toujours est-il que je suis surement maso car je préfères encore cette vie à celle ou il ne se passerait rien. Pas mal de gens sont mariés mais je ne les envies pas car tout ne doit pas être drole. La liberté c'est en quelque sorte de l'or quand on a rien de bien à vivre. Je ne me plains pas je me suis surement trompée sur les gens que j'ai rencontré peut être en voulais-je de trop en voulant le bonheur. Celui ou on ne se prends pas la tête pour rien celui ou l'on pense humainement et non pas individuellement. Celui enfin ou tu seras la mais qui sait quand....

Je me rends souvent sur des sites de sauvetages comme équilibre ou rescue. Pas pour me faire du mal mais parce qu'il faut bien le faire, il faut bien aider comme on le peut et pourtant je ne roules pas sur l'or.... Mais je peins et je me dis que si ce qui sort de mes mains peut aider à ralentir le massacre des animaux abandonnés maltraités ou menacés par l'euthanasie alors je n'hésites pas une seconde. Il me reste plus de cinquantes peintures que je laisse à un prix dérisoire pour participer à des actions. Je n'ai que ca pour aider mais je me dis que si tout le monde en fesait autant il y aurait moins de malheureux à la spa et autres refuges. Equilibre est un forum pour tous les animaux dont les équidés mais ils souffrent aussi bien plus que l'on ne peut penser. Moi je suis allée chercher ma princesse, il y a quelques mois chez une personne bien qui l'avait déja sauvée et je peux vous dire que chaque jour dans ses yeux quand on partage un calin elle me redonne au centuple l'amour que je lui donne avec une immense joie. J'ai aussi trois chiennes sorties de la fourrière et deux chatounes Kéops et Sakara qui sont mes yeux et mes oreilles alors n'hésitez pas à me poser des questions pour en savoir plus, merci à tous, merci pour eux

J'ai souvent essayer de t"écrire mais de la même façon que j'essaies de te parler, je n'y arrives pas. Alors pourquoi ici pourquoi mon site, pourquoi? surement pour me vider la tête et ce que je pense est bien trop dur pour te le confier. J'ai pensé pourtant à plein de manières de le faire mais au bout du compte elle restera lettre anonyme, lettre dans le vide ou une lettre à jeter. Ce n'est pas facile de parler le même langage il faut dire que tant de choses n'ont réussies qu'a nous éloigner un peu plus. J'aurais peut-être du te dire certaines choses mais encore aujourd'hui, je ne le sais pas. Je disais avant les paroles font du mal et les mots font parfois du bien, je ne sais pas si cela peut être vrai aujourd'hui. Je voudrais bien reprendre certaines choses depuis le début pour que tu me comprennes ou au moins qu'on puisse dialoguer.Ce qui me tracasse c'est que je n'arrives pas à comprendre les choix que tu adoptes dans ta vie n'as-tu pas le choix? ne cherche tu pas à savoir ce que sera ton avenir? Je ne sais pas. Je vois ta jeunesse s'écouler en milieu clos sans ambitions sans véritable projet et sans avenir et ca me fais du mal. Nous n'avons ni les mêmes personnalités ni le même caractère d'ou une distance énorme entre nous. Il est peut-être tant même si c'est dur pour une mère de te dire certaines choses. Quand j'avais 15 ans, je vivais comme tu sais surement chez mes parents enfin sous le toit bancale de ce qu'il restait chez eux. Pourtant durant mon enfance, je ne me suis pas rendue compte de ma souffrance. D'avoir été élevée mais pas très haut et parfois même très bas si je puis dire. On peut dire qu'à la maison ca gueulait tout le temps à cause de l'argent, de la politique et tout était passé au crible et critiqué dans le moindre détail. Mais je vivais dans cet équilibre éphémaire des opinions gratuites des contestations à bon marché et d'un couple de référence qui hurlait sans arrèt. Ma soeur était barrée dans sa tête et complètement disjonctée on peut dire surement les frustrations l'ont-elles conduites à tout ce qu'elle m'a fait subir étant petite mais marquée à vie, je ne lui pardonnes pas. Bref, mes parents étaient quand même instruits, il faut bien des qualités même si dans certains cas ca ne sert vraiment à rien. A la maison pas question de l'ouvrir de trop, de s'exprimer ou de se mettre en avant. Il fallait pas chercher à comprendre et marcher droit même si on sait pas ou. J'étouffais ou du moins je me sentais mal dans un univers qui s'arrêtais à la fenètre et je révais. J'aimais la poésie, j'écrivais je m'inventais un monde qui n'existait pas pour compenser cette vie qui n'offre rien à un individu pour grandir favorablement. Ton père à connu mes parents pour une histoire de location de garage. Rien que de voir de nouvelle tête, c'est un monde qui s'ouvre un peu d'oxygène qui entre. Je savais pas ce que s'étais que les hommes sujets interdit à la maison au début il me tenait la main j'avais 15 ans et lui 20 je crois. Mes parents me chariait au début, ils craignaient que je succombent à un paysan comme il disaient un bouillette cousin des voisins qui étaient attardés mentaux. Je m'en défendais un peu puis je sais pas comment j'ai accepté sa compagnie. J'étais pas avertie sur la sexualité et la première fois qu'il m'a emmené dans la campagne s'était dans un chemin. Je peux pas dire le dégout et la peur que j'ai eue se jour la de me sentir salie ou plus affranchie je savais même pas j'avais 15 ans et un coeur de môme. Apparemment pour lui s'était sérieux moi je savais juste que j'étais rejetée ca n'était plus pareil, la je n'avais plus personne. Qui s'en préoccupe à 15 ans et demi j'ai fais une fausse couche et j'en ai parlé à personne. Ton père ca y est il je l'avais définitivement sur le dos ou est le mal je lui appartenais non? Je suis tombée enceinte de toi et encore une fois je n'avais personne à qui parler. Mes parents m'ont mis dehors j'ai habité un moment une caravane en plein hiver ensuite Marie Thèrèse sa mère à eue pitié et a fais les démarches pour un appartement. 19 rue Louis gillain 17 ans un bébé et un ton père qui détruisait mon adolescence avec un sourire de victoire. Mais moi je voulais apprendre faire des études tous les jours je pleurais d'avoir connu un homme aussi bète que ca le rends méchant. Un homme tout juste doué d'un instinct animal et qui en est fier. Ce qui me fais le plus de mal malgrés toutes ces blessures car j'ai réussie a partir à construire ma vie et aller à l'université pour mes études c'est qui l'a tué mon chien sous mes yeux à bout portant Moulouk il s'appelait. J'espère que de la haut il saura se venger car moi à l'époque entre stupidité, injustice et malheurs je n'ai rien dis. Voila pourquoi ma fille être une personne qui réfléchis est important car les imbéciles laissent des blessures dont on ne se remet vraiment jamais.

Dans la vie, il y a de curieux hasard... moi qui n'est pas toujours été gatée, j'ai eue la chance de rencontrer un véritable ami. Aussi précieux que le plus grand des trésors l'amitié entre homme et femme est une vraie richesse. D'univers totalement différents on s'est liés d'amitié un jour alors que j'étais Angers pour des documents administratifs.  Ses deux molosses m'ont flairés les premiers et une complicité s'est liée immédiatement après qu'on est discuté un peu. Moi qui venait de ma campagne, mal a l'aise dans une ville que je n'aime pas trop et lui qui vivait dans la rue à cette époque avec ses deux nounours, ses chiens. Mal à l'aise moi qui avait une maison à la campagne que quelques détails pouvaient tourmenter, je  comprenais la vie de mon nouvel ami facilement. Pourtant ce n'est pas cette différence qui m'a rapprocher de Romain mais une profonde complicité. Je venais de temps en temps le voir et on se retrouvait sur une place car pour les sans domicile tel est leur quartier général la et dans les rues. Les gens passent souvent sans même voir quelqu'un assit par terre d'autre en font de trop en se donnant le droit de taper dans le dos comme un vieux copain. Moi je pensais a mon ami souvent, très souvent. Puis je suis allée le chercher et on a passés ensemble des moments super des crises de rires a faire la popotte comme si nous nous étions toujours connus. Il fallait ensuite le ramener à la dure réalité parce que sur notre route seul chacun de nous peut y marcher tout seul mais c'est le coeur bien lourd qu'on partait chacun de son coté. Même les loulous étaient tristes de nous voir dans la voiture sur la même place mettre plus d'une demi heure à se dire au revoir. Plus fort que l'amour parfois l'amitié est une matière aussi solide que de l'acier que personne ne peut détruire de toute facon nous étions tout les deux célibataires. On a presque passé un an, un an de bonheur de rigolade et de franche amitié. Bien sur ils nous fallait tracer son chemin à l'un comme a l'autre et je priait de tout mon coeur quand il avait une copine pour qu'il soit enfin heureux. Sur ces conseils, j'ai rencontré quelqu'un  et partie de cette région je laissais derrière moi de facon cruelle mon petit frère de coeur. Seule chose qui me réchauffe le coeur il ne dors plus dehors se reconstruit après la rue dans une vie modeste et son appartement. Comme on peut le deviner, on ne sort pas de la merde qui nous entoure comme on voudrait et je suis sure, il se bat encore de tout son coeur. Un coeur comme j'en ai jamais vu d'aussi grand . Ce matin mon petit frère je pense à toi, a tout ce qu'on a vécu les larmes aux yeux car tu me manque même si l'on garde contact sur internet.

A tous, si vous croiser un petit Romain dans la rie passer à coté de lui serait la preuve que vous étes bien ignorant et que le coeur n'a de barrière que sa sensiblilité.

Je n'arrive pas à dormir, alors j'écris. Moi qui ne donne pas souvent des nouvelles, je me plais à coucher sur papier libre ce qui ne va pas. Une fois de plus, je me suis à nouveau pris le bec avec ma mère vendredi dernier et pour une fois c'est moi qui commencais à pêter les plombs. Je préfères faire ma vie de mon coté et je me suis emportée afin de lui faire comprendre. Et j'ai mes raisons. Je n'arrive pas à la suivre et pourtant j'ai passé pas mal de temps avec elle. J'ai compris pas mal de choses aussi au fil du temps, il aurait fallut être aveugle pour ne rien voir. Ses loisirs se limitent de l'écran de télé au canapé, du canapé au lit. Il est vrai quelle à un coté dynamique, faire son marché, ses courses aussi presque tous les jours.. Je ne sais pas vraiment exprimer ce que je ressents. A force de vouloir se confier il arrive un moment ou c'est tellement difficile que l'on finit par abandonner. C'est mon cas même si les raisons qui me poussent à me révolter ne manquent pas. C'est con de ne pas parler tous les langages du coeur, de ne pas pouvoir donner tel que l'on voudrait. En tout cas, je n'aime pas que l'on se joue des autres, que l'on essaie de les apprivoiser pour avoir la conscience tranquille et d'éviter le reflet de la glace pour ne pas y voir ce que l'on a à se reprocher. Lui dire combien je souffre de cette fausse complicité me pèse au plus haut point. Mais il ne faut pas se voiler la face et encaisser les faux semblants. Je m'étais déja appercue combien le coté tape à l'oeil de cet amour maternel pouvait être superficiel. Il fallait juste gratter un peu pour s'appercevoir ce qu'il y avait en dessous n'était pas de la même couleur. Je n'ai d'ailleurs jamais demandé que l'on me manifeste d'ailleurs un amour éclatant après des années de vide. La sincérité m'aurait suffit et serait plus belle à mes yeux. La franchise ne s'altère pas au fil du temps. Je préfères être seule, j'ai assez soufferts de l'injustice, des mauvaises paroles que l'on crache sur les autres pour libérer son venin. Je ne connais pas de plus grands défauts que des sentiments tronqués et faux pour bonne figure et considéré son attitude comme une bonne action. Mais la meilleure action quand on ne peut pas changer est sûrement de laisser les autres en paix, de les laisser vivre tranquillement et selon leurs propres valeurs si eux même n'en n'ont pas la moindre. J'espère ne jamais faire aussi mal aux autres, un jour. En lui disant de me laisser tranquille, je lui ai aussi dit que je l'aimeais mais ca c'est très difficile à comprendre..... Comme elle cite souvent " réchauffe un serpent contre ton coeur, il te prouvera son amour en te tuant.. " c'est bien pensé j'en conviens aisement. Comme je l'ai déja fais, je déccroches, je jètes l'éponges, j'abandonnes. J'en ai pris plein la gueule dans mon enfance, on m'a jetée au lion ensuite, maintenant à la trentaine qu'ils me foutent un peu la paix. A chacun sa conscience moi la mienne est tranquille.   J'aurais tellement aimé que les choses en soient autrement que régies par l'égoisme et la méchanceté. J'ai fais mon maximum avec tout les moyens dont je dispose. A présent, je demande juste que l'on m'oublie un peu en gardant si possible l'image de quelqu'un de pas trop con et de pas trop pourri. L'être humain sera toujours un bel enfoiré, surtout certains qui écraseraient n'importe qui pour une parcelle de pouvoir débile. Le vrai pouvoir n'est-il pas le fait de comprendre car il réunit les montagne sans qu'elles ne s'affrontent. A vous qui avez su me faire du mal, c'est bien visé mais un jour tout vous retombera sur le coin du nez et votre souffrance n'en sera pas la moindre. La vie ne peut pas être idéale avec des champs de coquelicots partout mais il y a des limites. Le tablau est vite brossé, le seul d'ailleurs que je n'aimes pas peindre car ce paysage est triste et de mauvais goût.Combien de fois me suis-je laisser avoir à écouter des conneries, je ne sais pas mais j'espère que celle là seront les dernières. Au pied du mur on voit le maçon et coté construction dans la mentalité ce n'est pas qu'un peu minable. Démunie de morale d'orgueil et de bon sens envers les autres, il faut pas avoir froid aux yeux mais plutot dans le fond du coeur ou il n'y a qu'un blog de glace. Je préfères faire ma vie à moi, tout recommencer encore une fois, tout effacer et ne plus remuer ses souvenirs qui remontent déja assez a la surface de ma vie pour me faire du mal. Je les enferment eux et leurs représentants au fond de ma mémoire même s'ils ne le méritent pas. Je ne donnerais cette nouvelle à personne car de toute facon je suis seule, seul le silence apaise..... Pour illustrer ce texte, je laisse une de mes peintures, juste un décors peint a l'huile

Dés le matin, si je puis dire ainsi, j'ai envie de me mettre au travail. Ecrire, une des taches les plus difficiles, la plus agréable aussi.                  Des pages qui me feront sûrement du bien des textes qui me feront sûrement du mal et des pensées sans réelle importance. Sans chercher, sans savoir, broyer toutes les couleurs de l'espoir du vert obtimiste au gris des instants passifs. S'exprimer est un don que l'on perfectionne.                  A 16 ans déja j'écrivais mes premiers poèmes, trouvant l'inspiration en regardant par la fenêtre de ma chambre.Un jour mon père a vu mes écrits et m'a demandé " c'est de qui" honnètement je lui ai répondu " de moi ". J'ai pris deux giffles car il pensait que je le prenait pour un imbécile. Du coup j'ai tout brulé pensées, textes et rimes ont brillé  du même éclat dans les flammes. Plus tard, je les ai gardé comme des souvenirs, comme des flashs, le film de ma vie en miniature. Il n'est pas le principal de bien écrire en ficelant les mots de telle ou telle ponctuation mais simplement de libérer ce qui me tiens à coeur. L'écriture elle même n'est pas des plus appliquée mais peu importe seul le temps d'aimer fait éclipse à la mémoire. Il es l'heure à la pendule, de bouger, de faire des choses , non pas attractives mais nécessaires pour vivre. Pourtant, dans mon coin, je n'ai pas envie de faire grand chose à part faire quelque chose de bien c'est à dire ne rien faire... Similitude de pensées? oui bien sur nous ne vivons pas dans un illogisme profond mais ceci explique cela de façon sympathiques ( certains vont avoir du mal à me suivre ).

• Pour illustrer ce petit texte, j'ai choisi une de mes peintures acrylique qui s'appelle Cléo