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Pour tout savoir

les mots d'amour

Le 28/11/2012

Si seulement les histoires s'écrivaient avec des mots mais dans la vie souvent elles naissent avec des paroles. Plus belles les unes que les autres au début elles prennent au fil des années des accents acide par l'usure du quotidien. Ces mêmes paroles qui devraient servir à se soutenir, à se comprendre partent dès fois comme des flèches à destination de celui souvent, qui ne répond plus. Il faut dire que rien ne facilite la vie paisible enfin celle dont on pourrait rèver mais combien d'entre nous ne mesure même pas le poids de ses paroles.. Il reste encore les mots pour les écrire de façon plus jolie car au moins on peut y mettre un peu de rève, un peu de poèsie. Loin du tumulte de la vie, des désaccords, des séparations les mots ne devraient ils pas faire la liaison entre les choses incomprises.. J'ai souvent choisis d'écrire au lieu de parler car ce que l'on peut dire est réfléchi et non inconsidéré. J'ai choisis aussi de raconter des histoires de passer du blanc au noir pour qu'apparaisse une vérité. Savoir comprendre et regarder la vie devant soi en se tournant parfois sur une fraction de son passé. Savoir aimer malgré les coups du sort savoir te parler si tu m'aimes encore ne pas te laisser sombrer même si la n'est plus ma place. Si toi aussi un jour tu vis une belle histoire alors rappelle toi que rien ne s'efface en mémoire alors si tu ne sais pas par ou commencer ne dis rien plutot que de blesser. Ne regarde pas que toi si tu veux vraiment voir même sous la colère ne dit pas ce qui fais mal car un jour ce n'est que toi que tu blesseras pour de bon par ton indifférence. Prends confiance en la vie elle est belle et même si toutes les histoires ne le sont pas une seule peut te rendre heureux alors ne la gache pas. Ouvre ton coeur pour lui faire une place même si personne ne la voit encore un jour tu verras que l'amour c'est de l'or et que tu l'as dans le creu de ta main..

les sites de rencontres

Le 11/10/2012

sms.jpgLa jungle du célibat,

Qui pense célibat, pense souvent solitude mais la solitude est bien préférable à des relations stériles. Pas si stériles que ça d'ailleurs car elles amènent avec elles leur lot de pseudo complications stupides qui ne valent en définitive, rien de bien. Je devrais être rodée, j'ai vécue toute ma vie seule n'ayant connue pour tous intermèdes que des relations à distance dont une seule qui à durée presque 6 ans. Anarcho-sentimentale je le suis depuis bien longtemps. Peut-être ai-je perdue trop tot des êtres chers, mes anges au milieu des démons pour ne plus être capable sous de brèves excuses d'un peu de compassion. Ou vont les valeurs humaines dans cette mise à nue de soi, de sa recherche, voir même de son intimité. Tout le monde se dévoile sans même garder sur soi pour certains ne serait-ce que de la pudeur. On s'expose, on s'étale et le virtuel fera le reste pour vous présenter encore des aspects trompeurs. Et dire que j'ai connue la bonne époque celle ou on pouvait parler de tout sur les réseaux sociaux et connaitre de véritables amis. On se parlait encore en face à cette époque là.. Aujourd'hui on tape sur son clavier comme on rédige un bon de commande en choisissant sa marchandise. On n'aime, on n'aime pas, on choisit, on choisit pas.... quelle troublante sincérité derrière un écran de fumée qui nous aveugle. Tout celà dans l'ère du temps, on consomme, on veut, on choisit. Quand on à compris le mécanisme, on voit alors la toile du net se changer en miroir en regardant ses propres attentes. Des attentes parfois illusoires tant ce qui se cache derrière l'est tout autant. Personnes de tous bord, du plus sur de soi au plus paumé partage une simulation virtuelle, un semblant de conversation. L'exception est ici quand il y a matière, un peu d'humour, de respect, un coté naturel et de la spontanéité mais celà est très rare. La matière la plus courante est surement à la limite de l'exhibition et là nous parlons de tout autre chose qui nous ramène quelque part, à une vision proche de quelques excréments ou résidus d'un passé qui lui ressemble. Bien sur le tableau est sombre et cette vision caricaturale mais quelque part les traits sont bien là. Dans cette loterie à rèver, dans cette machine à phantasmer, combien sont bien dans leur peau au point de revétir un masque virtuel. Certainement beaucoup, pour moi, qui suis je pense rétrograde, même beaucoup trop.. N'existe t-il pas d'autre moyen de s'exprimer? de lier connaissance? que de tomber dans cette boite à mirages? je ne le sais pas. Ce que je sais est qu'à toujours croire en l'idéal on est souvent très seul et qu'il faut s'armer de clairvoyance pour ne pas se perdre dans les affres d'une pseudo facilité. Il y à quelques cas prédateurs qui rodent toujours dans cette jungle. Malades mentaux, paumés ou encore profiteurs. Et selon une expression à moi qui tape dans une poubelle ne peut renverser que des ordures ou des déchets et par là même se salira en même temps. Si c'est ca l'ère moderne, je laisse ma place aux autres à qui la veut pourvu que ce ne soit pas la mienne.  Pour peu que quiconque est un peu d'orgueil, tous le monde en ferait autant.

Le piège, histoire insolite

Le 01/08/2012

Une petite histoire inventée de toute pièce, il y à longtemps : Le piège

La journée pour lui s'approchait de la nuit. Au fils des jours, la vieillesse s'installait. Les barriéres à surmonter pour vivre lui paraissait plus hautes tandis qu'il se voyait devenir de plus en plus petit à la surface du monde. Seules ses habitudes lui prouvaient son existence, personne pour les partager. Il pensait au passé souvent, comme pour retrouver ses années perdues. L'idée d' être prisonnier d'une voie sans issue le paralysait davantage.

Pas grand chose à voir, surtout pas un miroir reflèttant la décadence du temps écoulé . Trop tard pour s'en vouloir de n'avoir pas pris les bons chemins croisés. Comptant les mois sans que cela ne soit vraiment utile, l'échéance était longue. Les moments de cafard finissaient par être réguliers. Un monde le séparait des autres, de ceux qui vivent, qui s'aiment... Les heures semblaient des semaines, ses pensées centenaires dans un esprit fatigué.

Son avenir stoppé par les barreaux de la fenêtre, l'isolait de la réalité. Détenu depuis 7 ans quelques années encore devaient s'additionner pour solder sa peine.. Une peine infligée curieusement pour une affaire ayant entrainée la mort d'un vieillard.... Coup du sort que de regarder défiler le temps comme ce vieil homme l'aurait fait un peu en attendant que ne sonne la dernière heure... Le juste retour des choses peut être, pour une fois....

 

Solitude

Le 31/07/2012

Quand il ne restera plus que les formes spériques, les angles saillants d'une ville saignée en bleu, blanc, rouge.. Je chercherais toujours une rue tranquille respirant le parfum grisonnant des nuits trop tristes. Je chercherais ton regard en gardant espoir de s'évader ensemble de ses murs de béton qui nous emprisonnent..

Un soir, un nouveau départ

Le 20/07/2012

Arrivée de la gare, un soir de pluie à Rouen, capitale de la Normandie, j'étais arrivée encombrée de quelques valises aussi pesantes que l'angoisse qui m'envahissait dans une ville ou je ne connaissais personne. Je restais là plantée sous un arrêt de bus, en me demandant même si j'étais seulement du bon coté de la route. La nuit tombait et rien ne passait à par les voitures. Plantée entre mon inquiétude et le vent glacial du mois de décembre, je ne fixais que les lueurs orangées étendues sur le macadam par deux réverbères devant moi. J'étais perdue, curieusement livide de toute pensée concrète. Ce fut pourtant ici que commencèrent tous mes efforts vers un avenir plus clément. Je parvins ce soir là à destination dont à vrai dire je n'avais pas vraiment cherché l'orientation. Le froid, la panique et le manque d'argent m'avaient fait rater mon dernier bus depuis longtemps. La chance m'épargnait la honte lorsque qu'une voiture s'arrêta à ma hauteur. Je n'écoutais que vaguement les explications du conducteur qui, baissant sa glace s'évertuait à m'expliquer qu'il ne fallait pas rester là à une heure aussi tardive. Prise en charge bagages en main, je lui donnais la seule adresse que je possèdais dans ma poche. Le trajet me paraîssait long car je n'avais rien à dire. Je regardais défiler les rues. Enfin déposée au pied d'une sombre batisse, je balbutiais surement un merci avant de chercher l'ombre d'une sonnette. Je voyais enfin au bout d'un moment un couloir s'allumer à travers la porte vitrée puis une amie descendre de l'escalier. Elle était charmante d'ailleurs, je l'avais rencontré plus tôt dans un stage ou elle m'avais laissée son adresse en cas de besoin. Elle s'appelait Mireille et travaillait à l'époque dans un restaurant routier à la bouille un carrefour à l'entrée de Rouen. Elle avait un coeur d'or, elle n'a pu m'hébergée que deux jours mais m'a aidée pour tout trouver du boulot et une chambre à coté de la sienne. Nous avons donc passées deux jours dans la même pièce car la superficie de son studio et l'humeur de la propriètaire ne permettait pas d'en faire autrement. J'ai voulu la remercier quelques temps plus tard, mais la vie est con et je ne l'ai jamais revue. On ne se parlait pas beaucoup mais on à rigolé pas mal de fois le soir ou on avait regardé un vieux film en noir et blanc. Elle était une fille simple et sympa, une fille bien en somme. Elle était accaparée par son travail la journée et moi dans ma petite chambre de 18m2, a décrocher un emploi. Je me rappelle encore de son parfum, poison. Ayant à présent les clefs géantes d'une chambre je n'avais qu'un lit, une commode et une fenêtre devant moi. Cela me suffisait pour contenir ma fierté à l'intérieur. Je pouvais penser, dormir, recommencer à vivre normalement même au prix de toutes les épreuves qui m'attendaient par la suite....

Juin 1997

Le 18/07/2012

J'écris pour me défouler, pour me vider la cervelle qui semble s'activer de façon féroce en ce moment. Ou trouver un refuge de tranquilité dans un chapelet de difficultés qui m'entourent. Comment me faire comprendre sans crier, réagir calmement quand tant de choses m'atteignent profondément. L'être humain est-il vraiment stupide, en suis-je une représentante acharnée, que dois-je prouver pour être comprise une bonne et  simple fois pour toute. J'ai du mal à me retrouver sur le chemin des efforts qui me semblent parfois illusoires. J'ai du mal à passer ma route sans croiser un regard de tendresse enfin à la croiser du regard surtout. tout me semble un peu calculé pour être aussi agréable gagner sa vie, gagner la confiance, se tenir droit devant les autres, suivre le bon exemple... l'éclate totale en somme. Une ligne de conduite est difficile à trouver pour moi qui ai précher moi même pendant longtemps le bon exemple. Difficile car les concessions à faire sont souvent accomplies pour ou contre quelque chose en l'occurence, le simple fait de pouvoir se regarder dans une glace, nous amène à être digne. La dignité à la base est un sentiment purement personnel qui ne se partage pas. Les opinions se partagent , les points de vue, car nul ne peut apporter réellement sa vision qui lui reste propre. Néanmoins, certains éléments peuvent toucher ce bonheur en un rien de temps, en plein dans le mille.

Deux cas me reviennent en tête.

Les difficultés qui se suivent et qui fatiguent même le plus expérimenté et le plus courageux, sourire aux lèvres.

Le jugement de ceux qui vous entourent, qui cernent rapidement le problème et vous enserrent au milieu.

Les deux réunis, pour peu que l'on soit émotif, c'est la pagaille assurée ce qui à souvent été mon cas.

Les motivations filent comme des courants d'air, il fait bon être de très bonne compositions pour relever parfois des défis comme un sportif passe des barrières de volonté dans les épreuves. Les idées se brouillent comme un décodeur fonctionnait mal dans votre tête. La fierté et l'honneur prennent une bonne claque et moi en même temps. La vraie dignité ne serait-elle pas de ne pas atteindre une personne au point de lui faire du mal, assaillie déja par ses difficultés, par ses doutes aussi?

Le doute en voilà un fou la merde qui vient inscidueusement squater à la première occasion. Un petit ami m'a dit un jour qu'il pouvait me toucher moralement très facilement. Tu parles d'un mérite, je le croyais ferme, j'avais déja un genoux a terre....

Je pense en résumé avoir trouvé la solution. Prouve que tu es fort et le meilleur des mondes t'ouvrira ses portes sinon tu resteras derrière en demandant la charité affective. Prouve que tu assumes car un monde se prépare ou beaucoup de galères t'attendent prêtes à te faire ovation sinon tu deviendras malheureux. Souhaites au fonds de toi être aussi claire que quiconque respecterait sans aucun doute. La vie possède bien des retords mais le premier de tous les pièges est de ne pas avoir les yeux grands ouverts sur la réalité. Tente de faire au mieux sans idée de conquérir. Essaies d'être heureux sans batir au détriment d'autrui. Aime la vie car elle est belle même quand les yeux remplis de larmes ton regard se brouille soudain sans voir l'avenir devant toi. Entre rires et larmes rien est facile mais c'est ma vie à moi. Ma fierté et ma richesse aussi . Alors, plutot que de rester entre peurs et ambitions, je veux bien aller plus loin sans savoir ou celà me mène, un univers nouveau tout juste montré du doigt. J'irais a mon rhytme, avex prudence, ni sous la contrainte, ni sous contrainte morale stupide car ce que j'attends au coeur de mes espoirs ne sont pas des obligations, des concessions idiotes par orgueil personnel. J'attends une petite étoile qui brille. L'art de vivre n'est pas un vain mot ni une fausse vocation. L'amour n'est pas non plus cinq lettres qui se suivent de façon ridicule. Je n'ai jamais vécu ce sentiment dont tous le monde rève ou exibe à volonté, je sais seulement à mon grand regret, que je suis née avec...pivoine-rouge-scintillante.gif

Aimer

Le 17/07/2012

N'oublies jamais que seul le temps d'aimer fait éclipse à la mémoire et que dans cet univers ou tout peu paraître pour le moins désert et trop peuplé à la fois, dis toi que seul ton coeur n'as pas d'attaches de couleur ni de formes. Dans ce fracas qui te mènes au larmes, saches que je suis la et que je t'aime.. J'aurais écris des pages pour que tes larmes coulent de mes yeux et ne noient plus ton coeur. Mais elles n'ont pu verser sur mes espoirs que la longue tristesse de l'absence. Si les larmes me viennent aux yeux sans couler sur tes espoirs c'est que je sais qu'il est trop tard et finalement c'est moi qui devient malheureux...