Hé Eric, c'est vrai, tu nous à quitté, tu n'as pas pensé que tu laisse une amie de presque 40 ans derrière toi? ou avais tu la tête pour bruler les dernières années de ta vie comme une fume sa clope. Hé mon ami, tu ne sais pas la douleur qui brule mes yeux quand j'allume une bougie en pensant à toi. C'est vrai que t'étais un peu bizarre, avec tes motos en pièces détachées, celles qui ne démarraient pas ou celles qui faisaient un bruit d'enfer, faut dire que t'as pas tellement eu de bol on va dire ca comme ca.

Tu as fais pas mal de conneries, tu avais presque une carte de fidélité à l'hosto mais jamais envers les autres s'était toujours toi qui payait le prix de tes péripéties. Le mec un peu atypique était venu me chercher sous la pluie avec un petit blouson de cuir rouge me manque. Je t'avais dis "j'arrive ne bouge pas" en remontant fermer mon appartement et toi avec ton naturel gaffeur, ben, tu m'attendait sous la gouttière alors qu'il pleuvait, s'était tout toi Eric.

Le mec qui avait un coeur énorme, le mec que certains ont pu revager pour quelques bénéfices parce que tu n'as pas compris qu'il ne faut pas ouvrir la porte à n'importe qui. J'ai suivi ma route mais nous gardions toujours le contact, si tu m'entends on ne sait jamais va savoir je n'y connais pas grand chose à cet autre monde, saches que tu laisse un grand vide derrière toi.

J'ai de la chance de ne pas avoir l'age ou nous nous sommes connus, 20 ans, car je me serais sentie abandonnée comme jamais malgré que tes parents étaient un peu ma famille d'adoption et je me serais demandée pourquoi tu me laisses toute seule sur cette terre alors que nous avions tant de choses à nous dire de part notre profonde affection ....  Tu n'est plus sur cette terre mais dans mon coeur tu existe comme avant...  

Juste une lettre,

Je te laisse une lettre qui, peut-être te rappellera nos sourires, ceux qui resteront gravés dans notre mémoire. Qui t'amèneras qui sait, nos souvenirs de toutes les fois ou nous avons fait l'amour dans la même alchimie du coeur. Peut-être te rappelleras tu lorsque tu m'as dis je t'aime, quand tu m'appelais mon amour. Moi, je m'en souviens. 

Peut-être serais-je dans un petit coin de ta tête pour toujours même si je ne te reverrais plus. Ma maison, je l'ai imaginé pour toi parce que c'est toi ma maison. Oui, je sais la vie est plus dure que les sentiments, on doit se battre pour être digne, marcher droit pour avancer vraiment.

Tu as laché le fil d'acier que je t'avais tendu, tu t'es perdu dans le présent et le passé mais le temps te diras ou est vraiment ta place. Tu as tout détruit de nous pour partir dans l'inconnu, c'est ton choix mais un jour comme moi, tu chercheras ta vraie maison. 

Je serais là qui sait, si un jour tu as besoin de te retrouver au lieu de te perdre. 

Adieu,

A toi qui lache ma main pour toujours et à jamais

Qui ne regarde au loin qu'en ne pensant qu'a toi.

Toi qui as changé pour quelqu'un que je ne connais pas.

Toi qui me blesse sans pitié aucune s'en t'en appercevoir

Pour courir sans cesse en un lieu dérisoire

Tu ne fais que te perdre sur les traces du passé

N'emportant avec toi que des destins brisés

Sur cette route interminable maintes fois tracée 

Il n'y a que larmes, peines et rudes séparations

Mais quand tu fais ton choix qu'importe les raisons

Tu n'écoutes pas qui souffre jusque dans tes silences

Peu importe tes torts c'est ainsi que tu pense

Etre le plus faible mais paraitre le plus fort

Croire en dieu, se nourrissant du mal

Peu importe les moyens d'y parvenir encore

Utilisons les autres après tout c'est normal 

Tu t'enfonces chaque jour dans les sables mouvants

Noyant tes souvenirs jusqu'à ce que mort s'en suive

Dans les flots de l'alcool dont tu es dépendant

Ne vivant que besoin  d'être totalement ivre

Tu ne connais plus rien d'une vie comme avant

A part conflits, disputes et discours de la haine

Si je te plains vraiment, voyant là ou celà te mène

C'est que j'ai bien compris qui tu es à présent

Certaines personnes, heureusement rares ont l'art et la manière de vous utiliser. Peu importe le motif, la raison ou les prétextes plus ou moins ringards pour arriver à ses fins. On peut trouver cette démarche lamentable et on n'aurait tout à fait raison, en effet, c'est bel et bien le cas. C'est ainsi lorsqu'on est à la hauteur de ce que l'on est vraiment. Parfois on met du temps à s'en appercevoir mais toutefois lorsqu'on ouvre les yeux, ca fait vraiment pitié. Quelqu'un qui n'assume au final rien du tout dans ses comportements ne vous inspire pas grand chose, ni haine, ni quoi que ce soit mais plutot, à terme de l'indifférence. Quelqu'un encore qui attends des autres ce qu'il est lui même incapable d'apporter. Celui enfin qui n'a pas plus d'intelligence qu'une moule et pas plus de mémoire qu'un poisson rouge, à celui là je lui dis, ne t'en fait pas, aucun doute, tu auras vraiment l'avenir que tu mérites, c'est sur et certain...

Devoir fuir les situations douloureuses, celles qu'on vous impose. Rester discrète pour ne pas éveiller la bétise ou bien encore pire, la méchanceté. Cela vous laisse parfois comme un gout d'amertume au coeur. L'être humain est un bel égoiste duemoins, il en est qui le sont pour plusieurs personnes à la fois. A ne penser qu'à eux sans autres conséquences, ils se jouent de vous car ils ne savent faire que cela. Vous les voyez quand ils ont besoin de quelque chose en particulier mais le reste est éphémère car ils oublient bien vite pourquoi ils vous avaient alors sollicités. Dans un élan personnel, en ne pensant qu'à ses petits besoins pressants, ils font appel à vous.

Mais ne vous trompez pas ce n'est pas car ils remarquent  votre valeur, ni vos qualités mais pour combler le vide de leur existence immédiate. Au début, vous vous demander pourquoi et ensuite au fur et à mesure vous vous rendez compte qu'ils ont toujours procédés ainsi. Se considérant dans un autre univers, ils se donnent tout les droits. Vous jouer une belle musique, vous utiliser pour ensuite vous faire souffrir car vous étes bien entendu, trop gentil. Des mois s'écoulent et vous n'avez rien vu tant vous ètes naifs avant que ne coulent toutes les larmes de vos yeux car on vous brise le coeur. Biensur, c'est une forme de manipulation de la part de quelqu'un qui n'aime que lui même. Incapable de développer un sentiment sauf pour ses propres interêts, il se joue de vous directement. 

Quand vous en ètes enfin libérée alors vous comprenez que vous avez ignoré des signes parce que vous étiez aveugle. L'indifférence, les histoires compliquées venues d'ailleurs toujours motifs de tout ce que l'on veut, surtout ce que l'on ne veut pas d'ailleurs, on peut dire qu'il n'y a pas de fumée sans feu pourtant. Un passé complexe avec pas mal d'accrochages et de verres brisés derrière soi, un comportement bizarre puis pour finir, irrespectueux, vous étes dans une tourmente qui n'en finit pas. Une tourmente qui malgrés tout n'est pas la votre mais bel et bien la sienne. 

Mélangez tout ca à l'alcool et vous détenez un cooktail explosif dont il vaut mieux s'en éloigner très vite. Les circonstances déja désagréables forment une furieuse chimie à la fois acide et toxique et proche d'un caphernaum psychologique que vous ne pouvez par avance analyser.

Voila ce que vous étes invitée à partager, autant dire que ca donne le vertige et surtout la nausée. Vous avez tout les ingrédients, instabilité, bétise, méchanceté, insensibilité et l'on voudrait que vous composiez avec ca. A croire que la personne à perdue la raison il y a bien longtemps pour attendre de vous un truc pareil. C'est pourtant mes amis, la triste réalité.

Si vous connaissez un temps soi peu mon caractère, vous saurez que bien entendu, je ne me suis pas laisser faire, ce n'est pas mon style bien au contraire. Au début, j'ai tenté de voir les choses avec tact pour ensuite petit à petit sortir de mes gonds. Je ne peux comprendre qu'on arrive avec dans la poche de telles intensions, vous faire subir au lieu de vous considérer, vous perturber au lieu de vous rassurer, jouer sur vos sentiment au lieu d'être sincère et vous proposer pour tout bagage une sorte de matière fécale si vous me suivez correctement.  

Au jour d'aujourd'hui, j'ai bel et bien réalisé tout ca. J'ai compris que je n'étais que le jouet d'un comportement sordide. Mais le jouet n'est plus car la lucidité à repris sa place, finit d'être le joujou pour un amusement dont ce n'est pas vous qui maitrisé les règles. Finis que de n'avoir si peu de considération pour moi au point de me perdre dans une si grande erreur. Terminé de croire aux paroles avec des actes contraires pour distraire quelqu'un qui ne sait pas ce qu'il veut.  

L'épreuve du temps, de la vie en elle même, faut-il se battre sans cesse pour une parcelle de gloire ou de liberté. Rarement solitaire, l'épreuve nous donne du fil à retordre et maintenir ce lien n'est pas sans concession parfois. Tout pourrait-être tellement simple, mais les contraintes en elles mêmes ne le sont pas. Nous sommes enchainés à une société exigeante qui ne donne pas le choix, il faut avancer, marche ou crève tout le monde s'en fou. Une société devenue individualiste ou peu de gens te tendent la main car beaucoup vous mettent dans des petites cases car ils n'ont que celà. Ne serait-ce que lorsque ca arrive, on se demande alors pourquoi. Je ne connais le repos, celui de se dire, j'ai fais les bons choix. Pourtant quelque part, j'aime cette liberté de prendre du recul, ce luxe de ne pas suivre bêtement un destin tout tracé. Le chemin est sinueux mais beaucoup plus enrichissant que de ne pas y réfléchir à deux fois. Il me permet de penser, créer et parfois me plonger dans un monde que j'imagines plus juste. Bien sur beaucoup ne comprennent pas cette liberté d'analyse sur ses priorités, reste heureusement des gens qui me ressemblent. Ceux qui jugent que je suis pessimiste n'ont alors rien compris car c'est tout le contraire, il s'agit juste d'ouvrir les yeux. Se demander, c'est quoi ma vie, en quoi puis-je aider les autres et surtout progresser moi-même. Ce n'est pas prétentieux, juste altruiste. La vie m'a prouvé que personne ne vient pour te dire "t'en fais pas, tout ca est passager". Non, chacun voit selon son angle de vue, qui des fois semble très restreint, moi y compris. Nous ne voyons les choses qu'à travers ce qui nous est proche, observons avec nos valeurs, difficile de saisir quelque chose de différent. Celà étant, on est bien loin de la sollicitude, de la solidarité ou de la compréhension. On dirait que l'homme ne réfléchit pas et se fait à tout. Tout ce qu'on lui demande, reproche ou attend de lui. Nous avous en effet le pouvoir de dire non, enfin presque ca dépend de quoi on parle. Je pense au monde du travail de plus en plus exigeant. Ca devient fou de penser que beaucoup deviennent des robots, appliquent mais ne réfléchissent pas, c'est même effrayant. Ils sont les chiens de garde de l'injustice qui ne considère pas l'homme à la juste place ou il est. La betise gagne du terrain et c'est vraiment ca qui fait peur dans notre société. J'ai entendue ces temps-çi des paroles qui vous feraient saigner les oreilles tant elles sont ignobles. Pas étonnant que beaucoup subissent cette société ou les abrutis font l'affaire, certains sont prêts à tout. Ils dénonceraient leurs voisins, s'en prennent aux pauvres mecs alors qu'eux mêmes profitent cinq fois plus du système de l'état, confondent tout et n'importe quoi, semant sur leur passage "je suis con et fier de l'être". L'homme ne respecte pas grand chose dans ce monde ni les animaux, ni la nature, ni ses congénères. Plus acide encore, dans sa petite vie bien organisée ou seule compte la couleur de ses casseroles, il répend son venin envers plus petit que lui. Pauvre bougre, non, je ne veux pas de ce monde là...

Profiteurs, raclures de bidets, bons à rien, vous étes en plus aveugles. bien sur que je parles un autre langage que le votre car je ne connais pas le calcul de vos interêts. Dérisoires, minables et ridicules comme vous l'ètes vous même face à quelqu'un de démuni. Vous tondriez un chauve si les quelques cheveux encore dressés valaient quelque chose, aucune honte, aucun scrupules. Et non je ne suis pas chauve, je suis juste quelqu'un qui à forgé ses armes face à votre bassesse. Je ne dis pas quand j'ai froid, quand j'ai mal, quand j'ai faim. J'ai honte de votre indifférence, à vous croiser ainsi. Pas de larmes, pas d'humain, tout juste un comportement mécanique qui vous différencierait presque d'un robot ménager. Faut-il qu'une personne pleure pour que vous ouvriez votre coeur? qu'elle soit aux aboies pour verser ne serait-ce qu'une larme? Je ne suis qu'une goutte d'eau dans l'océan, celui de la détresse humaine. Mais vous, vous qui de votre égoisme marché sur le coeur des hommes, je vous hais. De vous donner bonne conscience au nom de notre sainte économie, de votre petit confort. Ca ne vous déranges pas que les petits vieux finissent leurs jours dans des conditions indignes? que des mamans tirent la ficelle pour quelques pates en plus? que des familles dorment dehors sous les ponts? parfois je m'en veux d'appartenir à une espèce aussi cruelle alors que tous le monde devraient avoir le coeur sur la main. Dites vous que vous ne savez rien, vous ne comprenez rien car vous ne voyez que vous.

Excusez ce petit coup de gueule mes amis car vous n'ètes pas concernés par ce que j'écris aujourd'hui mais vous avouerez quand même qu'il existe tout de même dans ce monde de véritable tas de merde..

Il est des jours ou ce que l'on ressent est confut. Une vague vous emporte puis se retire vous laissant en partie étourdie. On se ressaisit pour reprendre son souffle en se demandant qu'est-ce qu'il à pu vous arriver. Loin d'être un instant magique ou devant vous se dessine une plage de sable fin, vous distinguer des déchets qui jonchent le sol en vous demandant qui à bien pu les laisser là. S'il s'agit alors du décors de votre vie vous vous demandez essentiellement pourquoi et vous réfléchissez. La vie n'est pas un bouquet de roses vous sentez souvent les épines vous piquer les doigts. Il serait tellement bien de rester dans la plénitude pour profiter de la vie, mais non celà ne fonctionne pas ainsi. Difficile de comprendre son utilité à la surface de cette terre quand les trois quarts du temps les autres vous bousculent par leur attitude. Le respect de l'homme est limité à ses propres envies et que celà ne tienne s'il en à de nouvelles vous n'ètes pas grand chose à ses yeux. Ses yeux qui ne verraient pas à une centaine de mètres devant mais peu importe. La promiscuité ne donne pas tous les droits, pourtant l'homme en est exemple. Exemple tordu ou l'on ne respecte rien. L'on vous demande de la compréhension et gentillesse pour mieux vous marcher dessus curieuse vision. C'est pourquoi je préfères de loin mon monde ou le respect à bel et bien sa place. Il vous aide à vivre mieux et surtout en paix. 

Au clair de la nuit, je n'arrives à dormir. J'ai beau faire le vide pour trouver le sommeil, le repos tarde quelque peu à pointer le bout de son nez. Comme un  petit personnage que l'on arrive pas à apprivoiser, il se joue de vous en vous laissant les yeux ouverts. On se relève, grignote quelque chose, on écrit, puis finalement, il vous devient sympatique. Il vous souffle juste à l'oreille que chaque jour sera nouveau, que l'on peut toujours faire de belles choses. Il vous dit parfois aussi que dès demain, si vous réfléchissez bien, se lèvera le soleil se lèvera sur un avenir radieux. 

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Ce matin en ouvrant les yeux, tranquillement après ma grasse matinée, me vient à l'esprit une face du monde dans lequel nous vivons. Heureusement que je ne regarde pas la télévision car il me paraitrait encore plus moche que ce que je ne vois. Sur les réseaux sociaux, c'est la profusion d'actes de cruauté, de bétises, d'ignorance aussi. Merci à mes amis au passage de partager des sujets qui ont du sens et surtout d'aller dans le bon. Je pensais ce matin à tout ce qui à changé, notamment lorsqu'on tente de faire connaissance avec autrui. Autrefois, le langage était spontanné, naturel. A notre époque, il nous abreuve de deux sujets principaux dont on ne sort que difficilement, qui je suis et ce que j'ai. Le "Je" l'emporte pratiquement à tout les coups, comment voulez-vous que ca marche. Rien de précieux, d'humain, de quelque chose qui vous laisserait penser que l'on vous porte un peu d'attention. On dirait presque que quelqu'un vous connait pour étaler ce qu'il à. Bien sur que ce point de vue est caricatural, mais certains ou certaines le reconnaitront. On se suffit à soi-même tout en voulant partager avec les autres, c'est très bien à condition que vous ne pensiez pas qu'à vous et vous seul. Les états d'esprits changent mais les contradictions évoluent. J'ai connu le bon vieux temps ou tous le monde discutait de choses et d'autres quelque soit son profil social. A présent c'est plus, "je suis ouvert à tous" ce qui englobe "selon ma vision des choses". Je suis surement rentrée dans ce phénomène par la force des choses aussi mais le contemple en observatrice. Chacun dans sa bulle, chacun ses oeillères qui ne laisse passer que la lumière de temps en temps. On me trouve peu abordable, pour cause si l'on m'envoies la photo de son salon, j'aurais tendance à envoyer ceux de mes cabinets, ca démontre quoi? Ou est le partage, le bon moment? la générosité en ne sachant que partager ces tous petites parcelles de vie au compte goutte. Ou est le coté humain en soulignant "T'as vu comment je vis", "J'ai ca" oui mais le souci, tous le monde s'en fou moi y compris. C'est pour celà je pense qu'une page se tourne dans ce que j'ai envie d'écrire ou de décrire, cet égoisme là... pointer du doigt est toujours interressant même si l'individualisme isole, et ca j'en sais quelque chose..

http://www.lulu.com/spotlight/apartee

Pour mes amis littéraires..  à bientot..

Bonjour mes amis, chaque jour, j'ai la chance d'avoir votre visite. Comme vous le savez, j'ai publié mon premier livre. Vous pouvez le lire en format ebook sur kindle mais aussi l'avoir sous forme papier sur Lulu. J'espère que vous me suivrez dans cette nouvelle aventure d'autant, qu'un deuxième livre est en préparation. Merci à toutes et à tous. 

http://www.lulu.com/shop/sylvie-pon%C3%A9e/un-homme-traqu%C3%A9/paperback/product-24144724.html

https://www.amazon.fr/dp/B07T3QTGSB/ref=sr_1_7?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=un+homme+traque&qid=1560585381&s=gateway&sr=8-7

Si vous saviez mes amis comment il peut-être pesant d'être celle qui comprend, qui console, qui accompagne parfois. Je suis toujours là pour quiconque en à besoin cependant, il est est moins courant qu'on soit à mes cotés pour me comprendre et m'écouter. Il est vrai que je ne sais ce que je pourrais dire car pour quelqu'un qui ne voit pas ou ne vous comprends pas on ne trouve plus les mots au fil du temps qui passe en pensant que ce n'est plus la peine. Plus la peine de s'évertuer à parler de soi car tous le monde s'en fous. Beaucoup ne voit que leur petite personne et elle seule. C'est un dialogue de sourd mais pas muet. Vous, vous êtes la, mais je ne sais même pas si les autres l'on vraiment remarqué. Ca ne vous ai jamais arrivé de poser le téléphone et que l'interlocuteur ne remarques même pas que vous ne prêté plus l'oreille, bien c'est pareil. Pauvre de nous à écoutez parfois des balourdises plus grosses qu'un éléphant. Il est plus aisée d'être petite souris car malgré tout on n'a rien à voir dans l'histoire. Si vous ne vous préservez pas, l'éléphant finira par vous marcher dessus car la tristesse rend égoiste. De plus, vous ne pouvez rien faire à part protèger vos petites oreilles de quelque chose qui ne vous concerne pas. Quelle manie chez l'être humain de déballer son bordel au pied de ceux qui ne sont pas concernés. Je ne sais pas sans doute faille t-il qu'ils le déposent quelque part, au premier endroit venu. Heureusement, ce n'est vraiment pas une règle exacte car beaucoup m'apportent autant que je peux donner. En général, je suis quelqu'un d'aimé car assez solitaire, ils admirent peut-être ma volonté et ma force qui n'en ai pas une. Ils ont tous sans le savoir balisé mon chemin, éclairé ma route. C'est tellement bien, comme si vous étiez dans le noir et qu'une petite lumière s'allume, puis une autre, en marques d'affection. Vous n'ètes pas obligé de les suivre, non, mais vous savez qu'elles sont là si vous vous égaré un jour. Ce sont vos repaires, vos petites lucioles. Quand une seule personne tente alors de les éteindre, vous le semerez en chemin. Il comprendra un jour tout seul qu'il s'est égaré et que nul n'a le droit d'éteindre vos rèves. Ce qui me surprend également c'est que certains se comportent comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, c'est moi qui arrive. Ils pensent faire preuve de délicatesse mais manquent cruellement d'éducation et de respect. Les larmes des uns valent-elles la souffrance des autres? surement pas. Je pense que quand on est vraiment malheureux on à besoin de personne pour laisser échapper sa douleur. Au contraire, si tant est qu'on est besoin d'un témoin pour lancer le message "tu as vu, j'ai mal" c'est qu'on à pas aussi mal qu'on voudrait le faire croire. De plus, tous le monde connait les échecs, la douleur, les déceptions, au nom de quoi la sienne serait quelque chose à partager comme des petits fours à l'heure du thé. Certains ne sont pas avares pour distribuer leurs sacs de noeuds. Mais si on veut aider quelqu'un qui nous touche vraiment et ca arrive, on ne se perd pas en commentaires, on est là, présent, le temps qu'il  faut et l'on ne se noit pas en paroles inutiles ni en théories qui ne sont à prendre qu'au sixième degré au moins. L'amour  de l'autre ne se prévoit pas, c'est un simple regard, un soutien, une présence..Les difficultés sont bien réelles mais les solutions sont bien réelles aussi. Il faut avoir le courage de les voir, de les affronter, si l'on se dit si malheureux que ca pourquoi faire du sur place, ruminer pendant des jours, des mois, des banalités qui au final n'apportent absolument rien. Très jolies excuses pour ne pas voir la réalité en face. Ils y en a qui ont l'art de se compliquer la vie et celles des autres aussi mais comme c'est de l'art abstrait on reste bouche bée devant une oeuvre qu'on ne saisit pas vraiment. Pour peu qu'on voit plusieurs tableaux du genre, on s'en lasse très vite. On peut même se dire "mais qui peut peindre des trucs pareils" pour vous ca n'a pas de sens et ca vous parait même très chiant. Excusez mon esprit caricatural mais c'est grace à lui que je souris des situations les plus embarrassantes ou rengaines. Car si vous réfléchissez bien cette personne elle veut s'en sortir ou pas? si c'est pour vous laisser des tonnes d'images décousues c'est pas la peine. Pourquoi ne réagit-elle pas au lieu de s'en complaire. Si elle s'en complait c'est son souci, plus le votre car vous n'en avez rien à faire d'un puzzle à moitié usé qui ne vous appartient pas. Un qui compatit mais qui ne comprends pas, l'autre qui vous sort les pièces d'un truc qui ne collera jamais ca va un moment, faut vraiment avoir que ca à faire, de plus si c'est un loisir, il doit figurer parmi les plus chiants.

J'en profites pour remercier mes amis, combien vous m'ètes précieux mes petites lucioles, car votre amitié sera toujours la plus belle petite lumière à mes yeux...

Je viens aujourd'hui vous parler de quelque chose qui m'a vraiment interloquée et sincèrement c'est plutot aux femmes que je pense pour avoir envie d'écrire sur ce sujet. Nous avons tous une part d'égoisme en nous, c'est la base de nos choix d'une certaine manière. Mais nous les faisons en respectant les autres et c'est ce que je croyais jusqu'à maintenant. Je pensais que chacun avait un peu d'humilité mais j'étais loin du compte, très loin. Entre victime et bourreaux certaines personnes retournent les armes facilement. C'est surement le prix à payer pour acceder à un bien être total, sans conscience, sans forcément de logique et surtout sans une once de remords. On peut bien sur avancer dans la vie sans culpabiliser car celà ne sert à rien mais de là à avoir mis toutes morales de coté pour autant.. Même si la morale est un phénomène que nous inculque la société, je ne pouvais pas croire qu'on se complaise dans un égocentrisme exacerbé. Je n'ai pas d'explication logique sur ce coup là car au départ dès notre naissance on nous transmet au minimum des notions d'amour et de respect, le béa bat de l'éducation. Certes ce n'est pas un bagage formidable mais il y a des données interressantes, ensuite chacun en fait ce qu'il veut. On ne nous demande pas de devenir Mère-Thérésa ni Freud, chacun choisit en son ame et conscience. Mais j'ai découvert que certaines personnes n'ont pas de conscience justement. Je l'évoques simplement, sans jugements, sans amertume. L'amertume est pour celui qui à vraiment souffert de celà, exposé trop longtemps. C'est comme tout ce que j'ai pu découvrir, j'observe et je restitue sans tenter de laisser des raisonnements trop personnels. Je pense surtout à nombre de personnes qui ne comprendraient pas car à si méprendre le piège n'est pas si loin que ça. Je veux dire que quand on connait une personne on lui prête attention et lorsque vous découvrez ce qui vous parait incohérent bien vous vous interrogé donc vous rentrez dans le jeu d'une manière ou d'une autre. Puis on vous décoit car l'échange se fait au minimum à deux mais ne chercher pas vous ètes en quelque sorte transparent. La personne qui ne voit qu'elle, ne pense qu'à elle ne vous voit pas, ne vous écoutes pas et ne vous comprends pas. Bien sur il y à des nuances à ce que je dis mais en gros c'est exactement ca. L'individu à l'art et la manière de cacher ses exactions sous la forme qui l'arrange. Je parles bien entendu avec cette fois çi le reflet de mes valeurs et de ma sensibilité pour les autres. J'ai partagé toute ma vie en étant pourtant très solitaire les trois quarts du temps. Certes, la vie nous forge, nous endurcie, mais lorsqu'on à atteint un seuil de totale indifférence, la, chapeau. Je dois surement être très crédule de ne pas m'en être apperçue plus tot mais je n'ai pas croisé sur ma route avant quelqu'un qui ne pense qu'à son bien être et uniquement à celà. Je reste interdite car dans cette philosophie on peut faire n'importe quoi puisqu'on s'en fous. Tout est permit c'est royal, profiter de ce qu'on vous apporte sur un plateau d'argent en plus et se foutre de tous le reste. Etre avec soi, pour soi et rien à cirer du reste. L'inverse de moi en fait, même si je me protèges, j'ai toujours veillé à ne faire de mal à personne et quand j'ai rendu les coups s'était pour me défendre, je n'ai jamais eue d'autres intentions. Même ceux ou celles qui ne m'ont pas comprise et tenté de me faire du mal je mets un point d'honneur à leur tendre seulement un miroir juste pour qu'elle se voient dedans, rien de plus. C'est pas de ma faute si ensuite, elles paient le fruit de leur erreurs ou de leur mentalité pourrie. Car une mentalité peut-être pourrie je pense. Car au delà de l'éducation que l'on est pas obligée de boire comme une potion magique on à soit même ses propres notions, ce que l'on aime ou pas. Même un enfant de quelques mois sait déja ce qu'il aime ou pas, faut-il être à l'écoutes bien sur pour le comprendre. La vie n'a pas finit de me surprendre et me surprendre encore pas forcément dans le bon sens. Je pense donc à toutes ses femmes qui rament pour qu'on leur prête un peu d'attention. Surtout si vous voyez qu'on ne prête pas attention à vous ne prétez plus attention vous même sinon vous vous embarquerez dans quelque chose de toxique pour vous. On nous demande beaucoup, d'être l'égal de l'homme, d'éduquer, de consoler, de consolider, n'allez pas en plus compatir pour un égoiste totale moi je vous le dis. Vous ne savez pas jusqu'ou la manipulation peu allez pour les beaux yeux de quelqu'un qui ne pense qu'aux siens dans un regard vide de sens.. Surtout protègez-vous, l'amour est de l'attention à votre égard, pas de l'indifférence... 

A l'heure ou je me réveilles, mes idées s'éclaircissent comme je perçois peu à peu la lumière du jour. Pas mal de situations résonnent et me troublent parfois. Je ne sais pas si j'en ai besoin, je ne crois pas mais elles sont là bien présentes à m'offrir l'intensité des émotions. Quel destin d'être passionnée car ce chemin n'est pas facile. D'autres vous parasitent avec leurs comportements et il est bien difficile de s'en protèger lorsque l'on saisi leur dimension exacte. En somme dans la vie, c'est un reflexe normal que de chercher le vrai du faux, le pour du contre, le véritable et le dérisoire car nous n'avons pas besoin de tout pour avancer. La route est tellement sinueuse et les mots simples ne sont pas toujours adaptés. C'est la raison pour laquelle je pense que les paroles font parfois du mal et les mots font du bien à condition qu'ils soit franc jeu et pas un jeu tout court. Quelle idée déja lorsqu'on y pense de jouer sur les mots, de se jouer des autres et au final, de se jouer de soi même. Il est vrai que d'insufler un peu de délicatesse ne nuit à personne mais le dosage est un exercice compliqué. Toujours ce satané "Je pense à moi" avant tout ce qui explique les cicatrices laissées derrière soi. De celles dont je parles j'en connais la trace indélébile et ne nourris malgré tout aucune rancune envers celui ou celle qui vous blesse sans même le savoir. 

Demain, demain est un autre jour ou s'envolera ma peine comme des gouttes d'eau qui s'évapore après la rosée. Demain, je comprendrais qu'on m'a juste fait mal pour calmer sa propre douleur. Demain, je me rappellerais comment ce sont toujours les plus gentils qui trinquent et qu'on ne voit même pas. Un jour lorsque j'étais jeune je me suis dis "j'ai mal à en crever de cette séparation" mais mes paroles sont restées muettes car j'ai ma dignité. Je sais pleurer seule et sécher mes larmes aussi. Je sais que celui qui m'a blessé sera encore plus blessé lui même mais celà je ne le voulais pas. On ne peut toujours avoir le courage de se faire marcher sur les mains quand on les tends à quelqu'un qui souffre. C'est la vie et le monde des humains. J'ai le coeur en deux et les yeux qui me brulent seulement parce que j'étais aveugle bien avant. A toi mon journal,  je me confies tu es encore tout ce qu'il me reste...

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Tant qu'une parcelle de mon coeur fera battre le tien, je ne t'oublierais jamais..

Je tiens à souhaiter à tous ceux et celles qui me suivent régulièrement beaucoup de bonheur en cette fin d'année qui arrive. A tous ceux et celles que je ne connais pas, à ceux qui sont seuls. Sachez que mon coeur est avec vous et que le plus beau des cadeaux est encore de s'aimer. 

Tous les ans, quoi qu'il arrive, je crois toujours à la magie de Noël comme lorsque j'étais môme et que je regardais par la fenêtre, impatiente d'appercevoir quelques flocons de neige flotter ca et la dans l'obscurité. Cet espoir un peu fou auquel on s'accroche quelquefois comme une trève, pour ne pas affronter le lendemain les rigueurs de l'hiver. Les circonstances de la vie sont parfois glaciales pour certains surtout à l'heure ou nous vivons car il est bien difficile ne ne pas souffrir quand le froid vient de plein fouet vous fouetter le visage. Certains ont aussi la chance de rester au chaud. On peut avoir froid aussi moralement,  se sentir seul, même si l'on se donne toutes les excuses qui nous rassure au quotidien. On attend, on espère à la fois quelque chose de magique et chaleureux. C'est bien celà le plus beau des cadeaux, garder son àme d'enfant des étoiles plein les yeux. Partout des lumières à la tombée du jour, elles dessinent de couleurs vives les contours des villages, des maisons; à la nuit tombée. Même si l'on rentre seul, on emporte avec soi un peu de chaleur humaine. Je parlais il y à peu de temps des contrastes que j"apprécie particulièrement pour mettre l'essentiel en évidence. Je pense alors que l'on peut faire des comparaisons si l'on saisit les nuances comme s'il l'on peignait ses moments de vie pour mieux en observer l'essence. Pour cette raison, on ne peut pas dire qu'il fait froid sans mettre le nez dehors, avancer en prenant parfois des risques mais aussi en prenant sur soi. On ne peut-être sur de sa vision des choses ou de sa perception, seulement de son intime ressenti. L'être humain est ainsi parfois à épreuve sans même le savoir, de là nait la richesse de l'expérience. Mais après quelques pensées dans l'ombre, les lueurs d'espoir s'allument à nouveau une par une, le coeur s'illumine à nouveau. On redevient soi, on ressent un renouveau tellement fort au point d'avoir envie de le partager. Nul ne sait pourquoi, nul ne sait comment, l'étincelle de l'espoir brille à nouveau dans le coeur des hommes. Des instants trop rares, de ceux que l'on aimerait garder éternellement. 

Bonjour, 

Voilà un moment que je n'avais pas consulté mon site internet.. Vos visites toujours nombreuses me font chaud au coeur surtout dans des périodes compliquées. Certaines personnes ne me comprennent pas vraiment mais heureusement je peux utiliser ce terme uniquement au singulier dans des moments ponctuels de l'existence. C'est ce que vous allez bientot découvrir en prenant connaissance de ce que je peux traverser parfois. Dans ces moments là, j'essaie de rester digne et droite dans ma façon d'agir. Vous constaterez qu'on peut sans le vouloir vraiment rencontrer des personnes blessantes pour des motifs futiles car je ne changerais pas un mot des échanges fructueux que j'ai pu avoir ces temps çi sur un plan plus personnel. Comme souvent pas de doute l'auteur se reconnaitra mais peu importe.. ce qui m'interresse, c'est votre point de vue.... Peut-on blesser sans cesse au nom d'un soit disant sentiment? Peut-on reprocher constamment à quelqu'un sa façon d'être ou de penser? Quel plaisir particulier peut-on ressentir à s'acharner sous prétexte d'avoir raison? Je vous laisserais seuls juges pour répondre à ces questions en racontant mon histoire....

C'était l'été, à vrai dire, j'avais envie de vivre autre chose que de travailler seulement et assumer le quotidien, j'avais besoin d'un bol d'air, de me changer les idées d'autant qu'être seule à des avantages mais aussi des inconvénients. Je discutais avec quelqu'un de temps en temps depuis trois ans mais je ne voulais pas aller plus loin. Je sentais quelque chose qui n'allais pas, quelque chose de négatif. J'avais fais des rencontres dans mon célibat mais elles n'avaient pas été très fructueuses et surtout elles ne me ressemblaient pas alors j'ai décidé d'avancer d'un pas semble tt-il dans la mauvaise direction...J'ai donc rencontrer cette personne. Au début, même si je n'étais pas emballée car je ne connais pas beaucoup de gens plus vieux que moi, j'ai tenté de m'attacher au fait de découvrir une personne différente et à s'y méprendre tout se passait bien. Je n'avais rien vu venir en d'autres termes. Les liens étaient très proches, qui sait peut-être trop proches, cette personne à fait le projet de rester chez moi apparemment, ce que je n'avais pas du tout anticipé.. Mais trois semaines plus tard, premier pétage de plombs, trop de bruit dans la rue qui l'empèche de dormir, les enfants font du bruit dans la chambre d'à coté et mon chien trop exalté aussi.. J'essaies de calmer la situation mais en retour, je recois un "dégages" et quand j'essaies de temporiser on me sors tout net "pousse toi sinon j'appelle les flics pour séquestration". En d'autres circonstances ca m'aurait fait rire mais la non, pas vraiment. Mes amis doivent déja se demander commnent ca se fait que j'ai pu me retrouver dans une situation pareille et sur ce point, je vous comprends. Bref, le lendemain mon fils demande des explications et ca part encore en vrille. Sur ce coup la, j'étais presque soulagée qu'il s'en ailles. Il revient à nouveau un soir, alcoolisé et comme une conne je passe l'éponge.. quelques temps plus tard, c'est reparti au sujet de ma belle-fille... Je n'arrivais pas à m'expliquer pourquoi quelqu'un vient dans ta vie et au final ne la supporte pas alors je cherche à comprendre et là vous avez encore raison si vous pensé qu'il faut être un peu con. Ben non j'essayais de savoir le pourquoi du comment qu'est ce qui pouvait justifier ce type de comportement au lieu de rester tranquillement chez lui s'il n'appréciait pas certains angles dans ma vie. A chaque fois qu'il venait s'était toujours pareil, ca allait bien et au bout d'un moment encore et encore des choses qui n'allaient pas.. des reproches et encore des reproches, puis des ultimatums et enfin des mots blessants, cerise sur le gateau.Je ne compte donc plus les aller et venue, sauf que je ne me laissais plus faire au bout d'un moment. Au fur et à mesure, j'ai compris,que j'étais tombée sur une personne à tendances narcissiques. J'ai compris surtout que personne n'à le droit d'avoir le pas sur une autre non plus. C'est vrai, j'ai mis du temps à capter la gravité de la situation car une personne plus faible que moi aurait pu sombrer face à un tel comportement.. je n'écris pas non plus ma mésaventure pour me plaindre mais plutot pour protèger les femmes plus faibles que moi. Si je devais lui laisser un message et le dernier, alors je lui dirais que la méchanceté n'atteints que celui qui l'à nourrit et que tot ou tard on en paie le prix.   

Tot ou tard des regrets apparaissent lorsque l'on est passé à coté de quelque chose de bien. Il faut surement du temps pour s'en appercevoir mais encore plus pour en souffrir. Penser à ce que l'on à pas fait, ce que l'on aurait du. L'amour n'est pas un jeu, ni une farce.  Pas même une plaisanterie mais à force de jouer avec le feu de la passion pour ceux qui s'en amuseraient on finit par se bruler par un besoin ardent.  Plus les jours, les mois, les années passent, plus elles nous apprennent ce que l'on à pas dit au bon moment. Il efface les blessures en laissant quelques traces gravées au fonds du coeur à tout jamais. Apparait une histoire fragile à l'abri dans ses souvenirs comme une fresque dessinée sur le sable menacée par les vagues et le vent. Quelque chose de beau est la sous vos yeux, quelque chose que l'on à pas vu à sa juste valeur. On comprend plus tard, donnant un sens à une oeuvre que l'on à voulu éphémaire par manque de compréhension. Les plus aveugles de nous ne trouvent pas réponse et finissent par confondre le pourquoi du comment, continuant à ne rien déceler. On s'interroge, se revoit en contemplant parfois cette ombre du passé. Elle nous manque comme si s'était hier. Pour comprendre faut-il avant avoir tenté de batir à l'aube d'une relation avec enthousiasme même si l'on ne réussit pas. La passion dessine l'amour éternel au fil du temps qui passe. Personne n'a dit que tout était facile, écrit, il suffit juste de regarder la vie avec un coeur artiste. J'ai gardée cette image forgée par le temps que seules deux personnes peuvent percevoir. Faut-il la laisser ainsi ne tentant surtout pas de la dénaturer ou au contraire ajouter des sourires et des larmes au risque de ne plus la reconnaitre. Les choses sont parfois compliquées et les choix difficiles à faire en matière de destinée. Le temps de réfléchir est alors au combien précieux, ni trop court, ni trop long. Le secret, comme la clef d'un doux mystère est de laisser parler son coeur même s'il ne dit plus rien. 

Souvent je reprends des écrits celui-çi a déjà quelques mois voire une bonne année... n'y voyez rien d'actuel.. merci.

L'alcool

Certains se noient en pleine mer

D'autres dans le fonds d'un verre

Bien mal appris qui voulait s'évader

Payant le prix des erreurs passées

Tout au plus, il prendra l'air

Semblant soudain en être fier

Avant qu'un jour enseveli

Il n'y est rien autours de lui

Mais chaque jour il recommence

Bien mal acquit celui qui pense

Il n'y a de plaisir sans ivresse

Peu importe qui l'on blesse

Chaque jour c'est le même refrain

Tenir sa vie un verre à la main

Dans son esprit soudain embué

Tout disparait et s'envole en fumée.

***Pour celui qui se reconnaitra.. A la tienne..

Coup de gueule du jour... Parfois j'écoutes puis j'analyse... Ensuite remonte comme un coup de gueule que j'ai envie de partager avec vous. Dans la vie, j'essaies de partager des bons moments le plus possible autours de moi. J'essaies d'avoir le sourire car c'est tout de même plus agréable pour notre entourage. Mais, certaines paroles ne me font pas sourire lorsque je suis confrontée parfois au mur de l'égocentrisme. Invisible il sépare dès le début les uns et les autres face aux ambitions, près à vous marcher dessus à la première occasion. Ce n'est certes pas très fair play. On y réfléchit car nul n'est censé ne penser qu'à lui même pour être heureux ou alors c'est une nouvelle théorie de l'inutile. Mettre des barrières à l'avance en disant "tiens tu as vu, toi tu resteras de l'autre coté". Ce n'est vraiment pas joli. Je sais que l'épanouissement est difficile à maintenir car nous vivons dans une société ou règnent les égoistes justement mais je pense que l'on peut trouver la sérénité tout en étant généreux. Générosité du coeur et fidélité de l'esprit, je le disais il n'y à pas très longtemps. Si les autres ne vous interesse pas, je le comprends mais alors n'en profiter pas. Ne tirez pas profit du meilleur pour soi-disant rejeter le pire car c'est juste très petit et primitif comme raisonnement. L'égocentrique à toujours une bonne raison de vous fuir de toute façon après avoir servit ses interets. Je ne dis pas qu'il faille être au service des autres en permanence mais être correct est le minimum dont on puisse faire preuve. Quand je n'en croise pas tout va bien, mais quand un de ses spécimen vient sur mon chemin, je me vois dans l'obligation de le virer en fonction de ma philosophie. Si vous saviez au combien ils sont nombreux vous seriez surprit. Quoi que vous fondiez comme relation assumez sinon ne la commencé pas. N'utilisez pas des prétextes futiles histoire de vous lavez les mains alors qu'elles sont déja salies. Ne les mettez pas non plus sur les autres après juste au prix d'entacher ses sentiments sincères. Ca me met en colère de voir toutes ses excuses bidons défiler ces temps ci. Vie compliquée, bien assume, la personne que tu a en face de toi n'est pour rien dans ta problématique. Mauvais souvenirs du passé, c'est bien toi qui à fait tes choix passés alors ne les fait payer à personne. Egoisme, un jour tu connaitras le retour du baton avec lequel tu à frappé les autres auparavant.Pas étonnant qu'on soit dans un contexte aussi compliqué ou le social soit au troisième plan sinon au quatrième si chacun ne sait déjà pas se respecter suffisamment. Souvent je ne dis rien, j'écoutes mais ce que j'entends me suffit pour comprendre que certains comportements ne sont vraiment pas positifs pour les autres ca donnerait presque le bourdon. Un mélange d'imbécilité avec un peu de piment, dommage que la recette soit aussi lourde à digérer. Vous me direz personne n'est obligée d'en faire consommation. Je vous répondrais qu'on ne choisit pas lorsque qu'on s'ouvre un peu aux autres. Etant donné que les femmes me semblent les plus touchées, il faut donc bien quelqu'un pour le dire....

Le cactus illustre bien mon texte, curieuse plante qui pique qui à l'intérieur est constituée d'eau en grande majorité. 

Il y a ne serait-ce qu'une semaine, je ne savais pas ce qui m'attendait. Je viens tout juste de terminer mon livre, reste encore quelques corrections. J'ai été absorbée par son écriture pendant presque trois mois passant d'une vision de Frantz kafka à la caricature des bidochons. Bref, je pense qu'il révèle pas mal de surprise. Lorsque j'ai eut terminé, l'écriture me manquait comme si je ne voulais que la fin ne se termine pas ainsi. Elle est pourtant bel et bien terminée croyez moi même si je ne dévoile rien pour vous laisser la surprise. Ayant pourtant plusieurs projets en cours, une exposition sur le thème animalier composée de sept toiles afin de poser un regard un peu plus humain sur le monde qui nous entoure, je travaille également sur projet social depuis deux ans et demi après une formation d'un an. Malgré tout ce qui occupe ma vie, je ne savais pas qu'elle direction serait la plus simple toutefois d'autant que je mène tout en cavalier seul. Je pensais à tout ca ne serait-ce que vendredi dernier. Puis, comme il arrive souvent, la loi du hasard m'a envoyé une petite étincelle celle là même que l'on peut percevoir lorsqu'on le mérite vraiment. Cet état de fait m'a touché en plein coeur moi que l'on pourrait croire solide et indifférente en extérieur. J'ai passé trois jours à planer un peu car je me suis appercue au combien à quel point les chemins devant moi avant pouvaient être scabreux. Mais plus on avance plus on distingue d'autres routes que l'on avait pas vu auparavant et s'est bien ce qui vient d'arriver. Tellement contente qu'il n'existe pas que des directions pleines de ronces et de cailloux ou l'on s'écorche encore , on appercoit soudain une plage dont on aurait seulement jamais réver. Rien que celà est un moment magnifique même s'il l'on ne sait pas si l'on voudrait de vous. Biensur, vous pensez surement que rien n'est paradisiaque et vous avez raison mais tout n'est pas question de décors mais de regard aussi, j'en sais quelque chose aujourd'hui. Alors il me plait à croire qu'un jour je connaitrais un petit coin tranquille sans repartir sans cesse avec mon sac à dos d'aventurière. Ne vous en faites pas j'écrirais toujours car il me reste encore multiples histoires à vous raconter avant que mon imagination ne s'éteigne. Je pense que ca me ferait vraiment du bien d'avoir un petit coin que j'aime au point de m'y installer. Pour les simples d'esprit, je vous rassures, non, je ne parles pas d'un nouveau déménagement je pense à retrouver quelque chose qui ressemble au chez moi que j'ai perdu il y a déjà bien longtemps. Comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, je vous expliquerais aussi comment mon projet va bientot évoluer. La encore, la chance à frappé à ma porte m'apportant au passage peut-être une réelle opportunité de fonder quelque chose de bien pour ceux qui n'ont pas de trèfle à quatre feuille entre les mains. Voilà mes amis, je ne vous remercierais jamais de votre fidélité. Vous étes à présent 14 000 personnes à me connaitre ayant lu 50 000 articles. Merci à vous tous c'est vous qui me donnez la vigueur de me battre pour créer et le coeur de partager;.. Merci aussi à celui qui m'a dit que j'avais une petite étoile au dessus de la tête, je crois que tu as raison sans trop m'avancer non plus... à très vite car lorsque je n'écris pas vous me manquez de toute façon.

Bonjour, toujours partie de l'écriture plus que de mesure, je viendrais peut-être bientot partager mon premier roman. Un thriller psychologique plus exactement. En attendant, je remercie tous ceux et celles qui me suivent en leur livrant bientot mon premier ouvrage. Merci à tous et toutes, vous me donnez par votre présence le courage d'écrire ce que je nourris du fonds du coeur.. à bientôt....

Comme cela fait du bien mes amis de se sentir en parfait accord... une expression que l'on utilise rarement mais qui pourtant est tellement précieuse. L'art de vivre n'est pas inné et surement ne s'apprend pas dans les livres cependant, cela fait tant de bien. Dans la vie des vagues énormes vous submergent parfois et après coup nous pouvons tous être désorientés, mais le principal est de retrouver le cap qui donne un sens à son existence quelque soit son but. Comme je le disais il y à peu de temps se comporter de facon humaine selon les situations est déja en soi un progrès de taille ensuite faut-il savoir bien s'entourer.... On essuie toujours des déceptions biensur quand on voudrait tant que les choses se passent comme on le souhaites mais la n'est pas l'essentiel, l'essentiel est de persévérer. On a des passages difficiles mais après la pluie vient le beau temps et je remercie le hasard de me donner l'opportunité de croiser des gens bien. Des gens droits généreux qui ont le sens du respect car c'est avec eux que l'on peut construire les plus grandes choses.Il y a toujours dans ce monde quelqu'un qui est à même de vous comprendre et capable de vous aimer c'est le coté magique de l'existence... Ca fait tellement de bien de rencontrer des personnes aimantes et respectueuses que l'on oublie bien vite les embuches du passé. Un message d'espoir en cette nouvelle année pour vous mes amis si vous n'avez pas la chance d'être aimé comme vous le méritez ce qui m'étonnerais car vous le méritez tous...

La voie de la guérison après avoir subie des blessures incisives et essuyer des déconvenues douloureuses est un long chemin. Ou toutefois, un chemin qui nous parait long tant on a tendance à se retourner sans cesse vers les moments qui nous ont fait du mal. Quelques petits conseils utiles comme des raccourcis? Il faut déja effectivement penser à ce que l'on nous a fait vraiment, à ce que l'on nous à fait subir et se dire si possible que finalement ca aurait pu être pire encore... Quand on sait à quel point tous cela est injuste envers vous alors on sait aussi qu'il faut avancer car lorsque cela se passe ainsi la personne que vous avez pourtant tant aimé continuera à vous faire du mal... Ouvrez les yeux, elle se fout de vous avoir blessé, des conséquences lorsque vous ne trouvez plus le sommeil, que vous n'avancez plus dans votre vie. Rien n'à d'importante pour quelqu'un d'égoiste et de profondément indifférent et je peux vous assurer que ca existe. Demandez vous combien de fois vous voulez qu'on vous blesse encore et encore, croyez moi je suis bien placée pour savoir. Dites vous que vous n'avez pas à vous laisser traiter ainsi et que vous ne ferez pas de quelqu'un de néfaste quelqu'un de bon par magie même en y mettant toute votre bonne volonté. Evitez de donner le baton pour vous battre car il s'en servira encore et encore. Il existe des personnes bien alors ne perdez pas votre temps avec ceux qui vous font subir avant de vous aider, à ceux qui vous ignorent avant de vous aimer, à ceux qui sont tellement imbues de leur petite personne qu'ils n'hésitent pas à marcher sur les autres par n'importe quel prétexte... Protégez vous des gens qui n'ont pas plus de coeur que de matière grise...

Tu me manques mon amour... moi non plus tu sais l'amour je n'y croyais pas avant que tu me regardes dans les yeux pour me dire "j'ai envie de t'aimer". Je pensais vraiment que tout se passerait bien ensuite... Les jours suivants ont été à la fois passionnés et surprenants. Passionnés par cette envie commune de nous aimer surprenants car je te voyais un verre à la main une bonne partie de la journée. Je n'ai rien dis avant une semaine ou deux avant de te dire qu'il ne fallait pas noyer sa vie pour quelques moments d'euphorie passagère mais voila tu avais déja changé en 15 jours seulement. Je pensais avoir été entendue, mais non. J'ai continué à me dire que s'était provisoire avec je ne sais quelles excuses mais à chaque fois que l'on se voyait l'alcool finissait toujours par avoir le dernier mot. Je suis venue dans ton univers pour comprendre et la encore pas d'explications logiques même si tu t'es confié à moi quelque fois. Tu avais pour moi tout pour réussir et je ne comprenais pas pourquoi tu foutais ta vie en l'air ou parterre à ce point. S'étaient un peu des vacances quand je venais alors quelques abus, je n'y prétais pas attention. On se voyait comme ca pendant quelques temps. Les abus d'alcool étaient toujours la meme si de temps en temps tu fesais quelques efforts. Le temps à passé et les crises aussi toujours pour le même motif auquel venaient se greffer forcément d'autres problèmes la vulgarité, les sautes d'humeurs et tout le reste... et pour finir des suggestions auquelles je n'avais jamais été confrontée dans ma vie privée...As tu seulement imaginé quel amour faut-il seulement pour supporter tout ca car c'est bien à moi que tu donnais des conseils, rappelle toi. Il faut un amour énorme, un amour fou pour prendre sur soi lorsque l'on traverse autant d'incohérences  en si peu de temps alimenté par un poison qui goutte à goutte te fais mal au plus profond de toi.  Tu ne peux rien construire car rien ne peut être bati en passant des journées dans le vide, mais pourtant c'est bien toi qui m'a dis "tu ne veux pas vivre à deux".  Tu ne peux avoir confiance en l'avenir non plus car le présent ne repose que sur l'instant présent justement sans s'occuper du reste des conséquences de son comportement parfois choquant. Tu redoutes seulement le prochain souci car tu sais qu'il arrivera bientot en vue de cette façon de vivre qui n'est pas cohérente à mes yeux quand on dit aimer. C'est vrai parfois on es perdu et même il est possible de faire le contraire de ce que l'on souhaiterais mais pas indéfiniement. Comme tu m'as dis "Ma facon d'aimer est beaucoup plus simple que la mienne" c'est vrai que j'ai un coeur énorme mais j'entends aussi être respectée pour ce que je mérites. Je mérites de l'amour, du respect de l'attention et des intensions nobles. Je ne mérites pas qu'on me juges avant de me connaitre vraiment , qu'on soit grossier avec moi, que l'on me fasse de curieuses propositions personnelles sans connaitre mes aspirations et surtout je ne mérites pas de souffrir. Pourtant ca à été le cas... j'ai tout fais pour comprendre une situation là ou il n'y à rien à analyser. Tout ca part amour.... et même aujourd'hui c'est con mais je t'aime toujours. J'espère que sans moi tu réaliseras vraiment à quel point. En tenant compte pour une fois de ce que j'ai ressentie. J'espère que tu auras un déclic en disant mais pourquoi je me suis comporté comme ca car tu partage souvent sur ta page facebook "si vous tombez amoureux assurez vous que cette personne ressents la même chose que vous". Alors pourquoi j'ai pu passer par tout ca à ton avis, parce que je suis maso, parce que je m'ennuies tellement que je me suis dis "tiens faut que je souffres un peu".. Non, je suis passée par tout ca car je t'aime car jamais sinon ca n'aurait été le cas alors l'amour tu vois je peut t'en parler. Je peux te parler d'une vie à deux normale aussi celle ou on se respecte, celle ou l'on construit ensemble autrement qu'avec une bouteille, celle ou l'on échange, celle ou on partage, celle ou l'on trace un chemin en commun... C'est dommage au plus profond de moi je le voulais vraiment. Je ne t'en veux pas depuis des années tu tente de tenir le coup comme tu m'as dit grace aux médicaments. Mais qu'elle dose devrait-je prendre pour ma part aujourd'hui face à tous ce désordre amoureux? C'est con, j'aimerais t'en vouloir mais même pas... J'espérais tant que tu ouvres les yeux, j'ai même gardé le silence afin que tu admette enfin qu'une relation ne peut pas se construire ainsi..... Je ne me comprenais même plus moi même de me laisser emporter vers ce qui me ressemble peu à une exception près que j'ai rejetée naturellement et tu connais laquelle. Je pense que j'ai assez eue l'esprit large jusqu'à maintenant et que cela suffit. Jamais tu n'as prété attention à la manière normale dont je voulais vivre en s'amusant certes mais en assumant l'essentiel aussi. En partageant tout certes mais avec des limites... mais rien n'à été entendu même pas le fait que tu ne m'entende plus. Alors oui tu me manques mon amour malgré tout le mal que tu m'as fais, peu de personnes t'aimeront autant mais ca c'est la vie qui te le dirat. Je n'attends pas de pardon ou excuse moi juste "Je te promets j'ai vraiment compris et je veux changer" mais ses paroles sonnent comme une belle musique à mes oreilles mais elles n'existent pas et malheureusement je ne le sais que trop bien...

Lorsque je ressents un grand vide... j'essaies alors d'y mettre un peu de joie, de la bonne humeur et beaucoup d'amour. Même si la vie n'est pas toujours juste avec vous, on se doit alors de l'être encore plus avec soi et de ne pas se blamer de ce que l'on à pas commis. Parfois la vie n'est pas facile, parfois ca tort un peu au fonds de soi mais ce qu'il me reste est le courage de voir la vie en face. Certains se noient dans l'alcool au point de ne plus rien voir autours d'eux, d'autres dans les médicaments qui les abrutissent et d'autres encore cumulent les deux et vivent quelque part par procuration. A coup d'ordonnances ou de verres remplis jusqu'au col alors tout devient plus facile et l'on peut même cracher sur ceux qui sont auprès de vous pourquoi pas. Oui la vie n'est pas forcément juste mais la chance que j'ai reste le courage qu'il me reste à chaque fois. J'ai faillis perdre la vie et je chérie surement plus le coté protèger ceux qu'on aime avant de les exposer à je ne sais quoi. Je saisie tout autant la fidélité, l'amour et les valeurs qui ont fait de moi ce que je suis. Il m'arrive sur ma route d'être trompée mais quelque part le suis-je vraiment car celui qui se trompe le plus est celui qui me fait du mal et le paiera de lui-même surement un jour. Je ne suis pas rancunière car je trouve que s'est un sentiment stérile comme la jalousie, je suis simplement entière et peut-être un soupcon possessive avec ceux que j'aime je l'avoues, mais rien de bien méchant. En attendant, je ne veux pas qu'on salisse ce qui est beau, qu'on marche impunément sur ce qui est puissant, qu'on tourne le dos à la sincérité, qu'on joue sans même le savoir avec l'essentiel d'un être humain..

Bonjour mes amis, comme vous le savez, mon petit journal est mon petit défouloir, un espace ou je peux tout dire, tout confier même si je tente pour la majorité de rester modérée. En voila une belle amie que la modération, toujours fidèle, de bons conseils pour rester dans le droit chemin. Si j'étais plus crue, je vous dirais que j'ai surement croisé trop d'égoistes, d'idiots ou d'insensibles pour être une femme heureuse pleinement alors je dis seulement, j'ai croisé des gens différents. Pour être différent, je sais de quoi je parle car pour l'essentiel, beaucoup ne pensent qu'à eux. C'est vrai que tout le monde pense à soi c'est normal mais l'on ne peut toutefois ne penser qu'à soi seulement. Penser de façon tellement personnelle que vous bousculé tout autours de vous sans même vous en appercevoir. Pourtant très sure de moi, j'ai toujours tenté de comprendre, de tendre la main peut-est-ce la l'erreur de croire en l'humain. J'aurais pu aussi me dire directement que chacun ne pense qu'à l'argent ou à satisfaire son anatomie en particulier sans ce soucier de quoi que ce soit. Cela aurait été mettre tout le monde dans le même panier de crabes et ce n'est pas trop dans la nature. Pourtant, je ne calcules plus le nombre d'égocentrique que j'ai pu croiser si je tentais de faire un bilan. Insensibles aux autres à leur façon de voir les choses, à ce qu'ils ressentent .... Juste profiter du moment présent et du couillon qui passe par la même occasion. Je trouve tout cela navrant. C'est facile, on ne cherche pas à comprendre et on utilise le moins possible pois chiche qu'on à dans le cerveau quand ca nous arrange. Je suis en colère car hormis ce que j'ai pu croiser comme situation limite et je dis bien limite car il y en à tot ou tard forcément, je suis désarmée contre le fléau de l'imbécilité. J'ai toujours révé d'un monde ou on se soutient au moins à deux si ce n'est plus... Soutien le mot parait banal et je ne dis pas ca pour vous mes amis, sinon je ne vous aurais pas choisis. Soutien au féminin si vous préféré, avoir l'impression que l'on vous comprend, qu'on ne vous laissera pas tomber, qu'on tient à vous comme une réponse à l'essentiel. J'espère que ce cadeau me sera offert un jour loin des propositions venant du moyen age qu'on à pu me soumettre....

Adieu mon amour,  je trace mon chemin loin de celui ou nous nous sommes croisés. Je ne sais pas encore quelle direction prendre, alors,  je fais une pause sur le bord de mon existence pour t'écrire une dernière lettre avant de m'en aller. Tu n'as pas cru en moi aussi fort que j'ai pu te penser, il aurait été trop beau de comprendre qu'un amour est unique, il ne pouvait pas en être ainsi, surement trop simple. Il fallait forcément quelque chose de plus compliqué pour rajouter une dose de piment, celle là même qui nous empoisonne. C'est con, pourquoi faut-il sans cesse compliquer les choses avant qu'elles ne soient simples. Je souffre d'un amour sans concession, je l'avoues. Sans même m'en appercevoir, j'ai pu parfois  froler les bords du raisonnable à force d'incompréhension. L'essentiel est de savoir ou il se situe. C'est vrai nous ne sommes pas partis du même endroit, nous n'avons pas le même parcours mais c'est la que nos sentiments prenaient naissance pourtant.  C'est la, malgré le fait d'être différents que l'un ne voulait pas lacher l'autre dans la  quète du bonheur qui semblait tellement compliquée. Plus irrésistible que la réalité nous ressentions le besoin de nous retrouver. Moi en cherchant gravé en toi les lettres de l'essentiel et toi vivant au jour le jour dans une apparence tronquée. Resteront dans ma mémoire les images et les sensations d'une alchimie parfaite que l'on ne peut expliquer, peu importe, comme une belle histoire hors du commun que nous ne vivrons jamais deux fois. Tu me pensais littéraire, non, je suis seulement sincère, sentimentale et entière. Tu as raison tout le monde peut toucher le fonds un jour ou l'autre encore faut-il le vouloir en connaissance de cause. Je pars pour ne pas salir ce que nous avons de plus beau, ce grand de folie qui sait nous rendre pleinement heureux. Je le garderais précieusement au fonds de moi, loin des situations idiotes que nous aurions pu connaitre sans y prendre garde. Il n'est pas simple crois moi d'aller à l'opposé de la direction  tant convoitée lorsque rien ne s'y prète réellement. Ni les valeurs, ni les principes ni même les aspirations. C'est la raison pour laquelle je laisse derrière moi un dernier "Je t'aime" et ce qui aurait pu nous faire souffrir en gardant tout contre mon coeur l'amour que j'ai pour toi....

Cette nuit je me suis réveillée à 3h du matin, en fait j'étais explosée de rire en pensant au rève que j'avais fait. C'est rare et ca fait du bien car en ce moment je n'ai pas vraiment l'occasion de me payer une franche rigolade. L'action se passait en pleine mer, apparemment nous étions (car il y avait plusieurs personnages) sur un bateau de 6 ou 7 mètres environs. Au début, nous étions a bord à l'intérieur et ce qui est surprenant il y avait un bar à l'intérieur. J'étais avec une autre personne, j'étais invitée sensiblement. Je tente de passer derrière le bar surement pour trouver deux verres et quelque chose à boire, mais comme tout est petit en vu de l'exercice physique pour passer, je n'ai pas vu une bouteille de produit vaisselle, que je fais tomber sans faire exprès. La personne en face de moi ne voit rien, je ne lui dis rien car je ne veux pas paraitre pour une maladroite. La personne en face de moi à l'air un peu stressée pour une raison que je ne connais pas. Bref, je continue mes recherches, mais après avoir ramassé la bouteille de produit, je la fais tomber une nouvelle fois, cette fois ci devant le meuble. Je m'apprètes à la ramasser une nouvelle fois en fesant le tour  et le type pour une raison que je ne connais pas s'était vétu en noir et s'était mis une cagoule de la même couleur. Je m'en appercois quand je me penche avec un regard noir pour nettoyer le produit sur une que j'ai fais tomber sur une sorte de moquette par terre. Je m'apprètes à tenter de nettoyer donc quand je remarque qu'il est habillé ainsi et j'en profites pour lui dire que j'en ai fais tomber de l'autre coté aussi (stressé pour stressé, il était plus à ca près). Il me jète un regard énervé et sans un mot et c'est la le plus comique, il me montre en soulevant le tapis que c'est une sorte de tapis de salle de bain (qui se lave en machine) ca à du me faire rire intérieurement même dans mn rève. D'autant que le tapis bleu clair à poils épais était posé sur un tas de linge qui lui même était posé sur une sorte de siège pour enfant. Bref, je sens la tension palpable et de mon coté j'avoue je m'en fous complètement en vue des circonstances après tout ce n'est pas mon souci si une personne vit dans un contexte aussi curieux. On apprend souvant des autres quand on les connait dans leurs contextes finalement mais dans le cas présent, il n'y avait pas grand chose à comprendre. Pour calmer le jeu, je décides de faire un tour et la pour une raison que je ne connais pas mon fils arrive sur un petit bateau en plastique dur. Je monte à bord pour fuir la tension palpable plus que par la motivation réelle de me retrouver la dessus en pleine mer on va dire, mon fils rame. La cote est pas mal éloignée, il y à un courant important mais on finit par accoster sur une plage directement. Je sais pas ce qu'on fou la mais on ne reste pas longtemps. Le mec, et la mystère, je ne sais pas comment il à fait est déja la quand on arrive et nous engueule en disant qu'on est fou de prendre la mer avec un truc pareil. Comme moi j'en sais rien d'origine je me dis qu'il doit passer son temps à gueuler sur tout ce qui bouge, à disparaitre, apparaitre (et oui c'est un rève) et à changer de frinques comme un caméléon change de couleurs. Nous reprenons donc la mer dans l'autre sens, il nous dirige pour nous aider soit disant. Nous avancons avec peine car le courant est encore pire dans le sens inverse, il nous dit d'aller à babord, tribord, on à l'impression qu'il n'y à que lui qui se comprend. On voit enfin un bateau blanc, sensiblement on arrive. On monte à bord, enfin je monte avec lui car je pense que mon fils à du se casser lorsque je sents que le mec est de moins en moins communicatif (il ne l'était pas vraiment non plus d'ailleurs). Il me demande de bosser sur un logiciel en me pretant un pc. Me demande de lui établir des bulletins de salaires fictifs pour 6 personnes mais comme je n'ai pas les éléments à jour, je fais ce que je peux. Je sens qu'il va être encore plus con si je n'y arrive pas mais j'essaie surtout de garder mon sérieux car tout ca me parait dans mon sommeil si comique que j'ai du mal à me concentrer. Pendant ce temps la, il fouille partout mais je commence à réaliser qu'il avait en tête de fouiller un autre bateau en fait. Je me dis intérieurement, il est quand même pas assez con pour se cambrioler lui même. Apparemment... si. Je continue à faire semblant d'aligner des chiffres en me demandant ce qu'il allait bien pouvoir en faire par la suite. Lui continue à s'agiter comme un malade dans le peu de place qu'il y avait à l'intérieur. Une fois terminé, il me demande de lui emettre les chèques correspondants au bulletins de salaire et la je commence à avoir une idée plus nette de ses intentions. J'imprime et je fais les chèques correspondants que je mets dans des enveloppes comme on le fait normalement. Il arrive vers moi avec une apparence un soupson aggressive et la j'ai déja compris qu'il souhaites tout simplement les encaisser avec des mouvements bancaires bidons sur le compte d'une société tout aussi bidon. Mais voila, il y a bien longtemps que je n'ai pas fais de bulletin de salaire et surtout j'avoues même au bout de 8 ans de compta, 4 ans de gestion mon cerveau s'y refuse obstinément (heureusement ca ne va pas jusque la dans la vie). Il me prend les enveloppes des mains et la c'est bien se qui m'a réveillée à force de rire aux éclats, je m'étais plantée en mettant les chiffres et surtout au niveau des virgules si bien que le mec prenait des risques inconsidérés pour une somme de 17 euros 53 centimes. Vous avourez que c'est vraiment drole comme rève enfin moi je l'ai vu sur un fond burlesque. Le mec m'a bien fait rire en tout cas au moins pendant une bonne demi-heure. Et comme souvant mes rèves reprennent des choses de la réalité. Réfléchissez bien....

***Un peu d'humour noir ne fais jamais de mal à personne***

Le comble du sans gène est qu'il est toujours disposé à partager tout ce que tu as.

Celui du grossier personnage est de te manquer de respect et de t'insulter ensuite.

Le défaut principal du crading est de se laver peu souvant sans utiliser d'eau.

Celui de l'abruti est de toujours croire fermement que tu es plus con que lui.

L'habitude d'un salopard est de ne respecter personne, pas même lui.

Si la somme de toutes ces déductions existe alors vous avez découvert sans le savoir

une épave échouée depuis longtemps.  

L'amour est à lui tout seul une foule de sentiments. Tendresse, attachement, dépendance, attention, intentions ou encore colère ou rage. Cela semble logique lorsque vous étes à la fois amoureux tout en souffrant de frustrations fussent-elles au plurielles. Ne pas se comprendre, ne pas partager, ne pas construire ou envore ne pas se voir peuvent en être les exemples. Deux positions paradoxales auquelles ont peut ajouter si l'on veut quelques problémes ce qui n'aide pas évidemment. Ces situations nous amènent à faire des choix pas toujours de gaité de coeur mais simplement pour nous préserver. La vie est parfois bien compliquée et les habitudes ont belle et bien leur place dans tout cela. Même si l'on croit qu'elles n'ont pas d'importance, elles amènent dans leurs sillons, nos valeurs, nos raisonnements et notre comportement, ce qui creuse un fossé parfois. S'il n'y a pas rapprochement, complicité, compréhension si t'en est qu'elle soit possible l'écart se creuse encore et encore. Certains parlent de temps, pense qu'il fait bien des choses mais il n'en est rien dans la situation. L'amour est plein de contradictions. Ne perdez pas de vue ce qui vous sépare, une heure, des semaines ou toute une vie car vous pouvez laisser s'envoler sans le savoir l'amour que vous ne retrouverez pas...

Je t'aime mon amour, comment pourrais-je faire autrement.

Tant de jours passés pour t'aimer plus qu'avant.

Biensur il y à nos différences,  quoi qu'il en soit auquelles je pense.

Bien plus que seul à deux tout commence, ou que l'on soit c'est une chance.

Ne laisse pas le temps nous séparer, ni les paroles nous blesser.

Plus qu'un trésor bien caché, ne restons pas sans nous aimer.

Et fesont fi de la distance, pour enfin nous retrouver.

Je viens vous parler aujourd'hui d'un animal que j'ai découvert il y a peu de temps, le béruchet. Un spécimen particulier ressemblant à un oiseau aux plumes hirsutes. Il est muni d'un grand bec qui lui permet de boire toute une journée durant. A en croire des spécialistes, il peut ingérer des litres et des litres sans la moindre soif. Surprenant étant donné qu'il ne risque pas la déshydratation. Ses yeux sont très caractéristiques étant bridés à la tombée du jour, vous ne savez donc pas ou se porte son regard. Pour tout vous dire, si vous l'observé de plus près il vous parait  un peu hagard voire ébété si l'on s'en tient à la définition du dictionnaire. En trois mots, dans le vide. De quoi se nourrit-il? de tous ce qu'il trouve à proximité pourvu qui remplisse considérablement le  ventre prédominant de sa stature. Vous vous demandez certainement d'ou vient-il? Celà reste une énigme pour la science et le corps médical réunis aucune piste ne peut-être affirmée aujourd'hui. Il ne vole pas car ca corpulence ne lui permet pas de s'élancer dans les airs, loin de là. Il avance tout juste en fesant de petits bonds en arrière car il reste le seul être vivant sur cette terre se déplacer à l'inverse de sa destination, si bien qu'il n'y parvient jamais. Ses couleurs évoluent à mesure de sa croissance, si l'on puis dire, car la encore n'est pas coutume, plus il grandit, plus il devient petit. Rosé à la naissance, il se teinte de noir certains jours de la semaine ce qui vous laisse dans l'expectative la plus complète. En général, le mardi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche ce changement radical est variable selon les individus étudiés. Plus les années passent plus son plumage tourne au rouge écarlate et il se met à gonfler considérablement on le dirait même prêt à éclater. En pleine nature, en bord de mer, son endroit favori, il est d'un tempérament plutot calme mais garder vous bien d'en croiser un en captivité. Son comportement change alors rapidement et devient pour tout dire relativement agressif. Il fait ses besoins ou bon lui semble et ne fera pas cas de vos recommandations pour qu'il devienne bien élevé. Il deviendra très vite associable avec les humains et si par malheur vous essayer de communiquer, il vous répondra d'un coup de bec ce qui coupera court à vos bonnes intentions et peut être quelques doigts de la main si vos reflexes ne sont pas assez vifs. Pour toutes ses raisons, il est souvent solitaire même si on le trouve souvent détours d'une rue avec d'autres de ses congénères à s'abreuver jusqu'à plus soif. On le rencontre souvent dans les coins sombres au petit jour, au crépuscule à l'heure ou les éboueurs ne sont pas encore passés. Oiseau de nuit ou simple curiosité? Il vaut mieux rester prudent car sans en avoir l'air il reste à l'affut d'une proie. Personnes sensibles amoureux des animaux peuvent être piégés dans leur grandeur d'ame. Alors mes amis, garder un oeil ouvert en sortant d'une soirée personne n'est à l'abri car si votre esprit est faible ne serait-ce qu'un instant il sera dans votre voiture avant que vous n'ayez déverouiller la portière, chez vous avant que vous n'ayez tourné la clef. Ironie du sort, il adopte une parade et fait le beau devant qui veut l'entendre en période de reproduction.

Ci dessous une esquisse en cours d'un béruchet royal..

Une fleur ainsi posée, se meurt d'être arrachée, arrachée à sa terre natale, arrachée sans aucun mal.

Le mal n'est pas apparent, ne laisse ni trace, ni larme, ni  gout d'avant.

Avant que le bourreau ne vienne poser sa main contre la sienne.

Les larmes n'y peuvent rien faire, rien ne peut empècher l'aveugle d"exister sur  terre.

A l'aube d'une année de plus, je ne risque pas de l'oublier en cette période trouble. La bougie de plus que j'aurais pu souffler n'éclaire même pas ma modeste lanterne pour les semaines à suivre. Je me retrouve à passer les jours comme je l'ai toujours fais, en solitaire. Quoi de plus normal que de vouloir être seule quand on vous à blessé. De nature, je fais confiance, j'essaies de prendre les choses comme elles viennent mais souvent je ne les comprends pas. Des attitudes dépassent mon entendement et surtout enferment mon enthousiasme dans une sorte d'armure. Je me retrouve alors avec deux sentiments. Celui de vouloir comprendre et celui qui ne veut pas tant ca outre passe mes conceptions et heurtent mes valeurs. Vous pensez surement pourquoi je me mets dans telles situations, bien parce que je ne juge jamais personne, j'apprends à connaitre seulement. Personne n'est parfait et surement moi non plus mais c'est vrai qu'on à tous ses gardes fous. Ce qui me fait le plus réagir c'est quand quelqu'un s'en contre fou de vous choquer, s'en contre fiche de vous décevoir et s'en contre tamponne de vous blesser profondément. La on peut se dire qu'on est vraiment pas futé. On ne sait pas alors ce qui fais plus souffrir se sentir abusé ou ne rien voir autours de soi. Mais peu importe, il faut relever la tête..se dire qu'on va arriver... A mettre surtout ce qui pèse de coté sinon on avance pas... Ce qui me surprends aussi c'est que je pense être assez explicite et s'il on écoute pas ce qui est véritablement important pour quelqu'un c'est qu'on s'en fou tout simplement....Heureusement ces situations je vous rassures ne sont pas dans mes habitudes....... 

Comme une lettre laissée là dont on ne connaitrait la fin, la vie laisse parfois un sentiment de vide... Un sentiment que l'on ne peut comprendre car on à tout juste que quelques pages d'une histoire, d'un commencement tumultueux. Nul ne sert de se poser des questions lorsque s'effacent  les réponses et c'est bien la ce qui arrive lorsqu'on essaie d'y réfléchir alors on s'en remet à la loi du hasard qui nous à fait vivre quelque chose que l'on ne comprends pas. On aimerait dans la vie que tout soit limpide, que tout s'éclaircisse pour prendre chaque jour le bon chemin, celui ou l'on avance, celui ou l'on découvre sur sa route un doux paysage que l'on ne connaissait pas. Mais il n'en ai rien. On tente de sortir de son environnement pas à pas pour marcher sur un caillou en écoutant quelqu'un qui vous dit "Mais si c'est par la.." puis on marche encore sur un obstacle puis un sur un autre puis sur un autre encore. Concentré à les éviter constamment on ne voit alors pas grand chose autours de soit et l'on commence sérieusement à douter de sa destination. Bien sur, cela nous arrive à tous de nous tromper de direction ou de choisir une voie qui n'en est pas une. Pourtant on continu à marcher. On tente d'avancer au mieux et puis au détours d'un virage on se rend compte qu'on est tout seul... et la apparait le chagrin et la question du "pourquoi". Mais aujourd'hui j'ai trouvé la réponse, elle se trouve dans le fait de ne pas suivre quelqu'un bêtement en souhaitant tellement fort de continuer la route à deux pour le reste de votre vie. Elle se trouve aussi dans le fait que vous n'avez pas fait attention car personne n'était vraiment à vos cotés depuis le début. Je pense particulièrement à vous tenir la main, à vous encourager, à vous soutenir et c'est bien la raison pour laquelle on se retrouve seul en ouvrant les yeux. Pas besoin d'aller très loin pour se sentir encore plus seul qu'avant, juste tendre la main et faire confiance vous y mène tout droit. Car on se fou de qui vous ètes vraiment, de ce que vous valez ou de votre courage dans un moment ou vous étes tout juste "une agréable compagnie". Parfois je suis décue par la nature humaine en ce sens ou il n'y à pas grand chose d'humain justement. Biensur nous ne sommes pas en plein désert mais si l'on veut être vraiment deux on ne peut pas vous connaitre comme n'importe qui, projeter sa petite histoire sur vous sans échanger véritablement et vous demander votre avis même sur le plus petit détail. La dernière raison est que personne ne s'arrète quand vous souffrez, personne ne se penche sur vous, pire on vous ignore... Le pire des cas envisageable, le gens foutisme ou l'égoisme peu importe car ils ne redorent vraiment pas votre blason. On vous tourne le dos, penché sur son verre en ne vous donnant aucune explication, à rester muet. On vous prend au final pour une imbécile de compétition si vous arriver à gober que ca s'appelle de l'amour. J'avoues que l'on peut atteindre parfois un niveau international dans le domaine car nous méritons tous de l'attention. Au nom de quoi faire vivre à quelqu'un un parcours cahotique et douloureux, de son égocentrisme en se disant on verra bien, dans sa divagation sans calculer trente secondes les conséquences autours de soi? dans sa bétise au point de ne voir personne? sur ce point je n'ai pas encore trouvé la réponse bien que je soupconne que ca ressemble à de l'errance sentimentale mais au bout du compte je ne sais pas à quoi ca correspond pour celui qui passe par là. Bref, la vie n'a pas finit de me surprendre mais j'aimerais au combien qu'on me tienne la main un jour sincèrement pour ne plus la lacher. Qu'on arrètes de me prendre pour quelqu'un de fort même si j'ai une forte personnalité et qu'on raisonne un peu plus avec le coeur au lieu de peser sur le mien. Comportement adulte je dirais seulement même si rien n'est jamais acquit dans la vie et qu'il faille se battre pour trouver un rail solide qui nous emmène là ou l'on est heureux.

Depuis quelques jours, le soleil à disparu derrière les nuages et les jours passent au gré du ciel revétu de couleurs de tristesse. Moi qui est si souvent connu la grisaille des villes ou l'on se sent plus que solitaire, je ne devrais même pas le remarquer. Cependant parfois on observe beaucoup plus autours de soi au point de s'en appercevoir. On se dit que les nuages font partie de la vie et qu'ils ont leur charme même dans la nostalgie. On reprend le cours de sa vie en ce rappelant le proverbe, "après la pluie vient le beau temps" alors que l'on sait très bien que la chaleur humaine n'est pas due au hasard ni due aux caprices d'un anticyclone. Le même anticyclone qui balaye tout sur son passage lorsque l'on donne sa confiance mal ordonnée. Les épreuves sont des fois difficiles, surtout quand elles vous amènent à lutter à contre courant mais elles aussi sont présentes depuis la nuit des temps quand une douce brise vient emporter tous les espoirs auquels vous teniez tant....

Il m'arrive de porter un regard souvent de porter mon regard autours de moi et de découvrir à ma grande surprise de nouvelles mentalités. Surtout chez les personnes qui ont connu une expérience pas très riche dans leur vie en terme de complicité affective. Avant j'avais déja connu plus jeune certaines philosophies comme celle de ne pas s'attacher à quelqu'un de continuer sa route ce qui peut se comprendre lorsque l'on à d'autres priorités ses études ou autres. Déja à l'époque ce n'était pas facile à comprendre et surtout on peut se demander comment canaliser ce qui devrait être tout à fait naturel et spontanné. A présent on atteint une marche de plus dans l'égocentrisme car certains décident apparemment de ne pas aimer. Trop fort en vérité, ca m'épate.. souvent dans le cas ou ils souhaitent ce consacrer à eux, à leurs impératifs ou autres. Ca ne me déranges pas du tout dans le sens ou quelque part je m'en fous royalement mais je trouve cela curieux et surtout révélateur d'une société vraiment individualiste. Du style "Je pense à moi avant tout" quitte même à ne pas préter attention aux autres que je mets systématiquement dans telle ou telle boite dans mon petit cerveau. Ca amène qu'on peut juger avant de connaitre de penser à soi sans penser aux autres bref qu'on est purement et simplement en admiration devant son nombril. J'avoues, je n'ai jamais été très douée avec toutes ses nouveaux courants d'indépendance qui quelque part n'en sont pas. J'aime sans restriction les gens qui en valent la peine et si je suis encore seule au quotidien c'est que je préfères au combien ma liberté, celle d'ailleurs ou je peux tout exprimer à une situation à laquelle je ne pourrais pas faire face. Ce n'est pas que je n'aime pas, c'est que je me suis trop brulé les ailes et qu'il me faut à présent quelqu'un de sur mesure pour que je puisse raisonner autrement. En attendant, je ne reste pas sans projet mais il n'ont pas attrait à une forme de couple ou autre car je n'en ressents pas le besoin. Mais comme je dis souvent, je ne sais pas grand chose de l'amour, je sais juste que je suis née avec..

Ballader les gens est-ce un loisirs ou un passe temps.

Sous prétexte d'avoir souffert avant

promener les gens dans son enfer

dans ses abimes les plus sévères.

Est-ce une vengeance inavouée que de vouloir manipuler

avant que la vérité n'éclaire et mette à jour en un éclair

ou l'on comptait vraiment vous emmener.

Est-ce folie que de pouvoir se comporter ainsi

sans un remords, en toute gloire, envers autrui

celui qu'on croise et qu'on détruit.

Je vous le dis non sans colère

mais bel et bien les pieds sur terre

tot ou tard l'objet du délit

reviendra vers vous dans votre vie.

Que rien n'est jamais gratuit.

J'ai survolé un article sur facebook qui expliquait que ce certaines personnes étaient mal à l'aise avec d'autres, en l'occurence des personnes qui ne savaient pas ce qu'elles voulaient. Sans blagues, j'imagines la première personne concernée qui adore rester dans le flou total... C'est sur ce n'est pas très agréable et c'est sur ce point qu'on apprécie les personnes objectives qui savent ce qu'elles font et pourquoi elles le font. C'est vrai qu'il n'y à rien de plus chiant de ne pas savoir sur quel pied danser si je puis dire (car à ce moment là on à pas vraiment envie d'entamer une samba) à force de ne pas savoir à quoi s'en tenir. J'en profites pour saluer chaleureusement toutes les personnes franches car elles le méritent amplement. Avoir le courage de dire ce que l'on pense tout simplement dans ces cas là c'est une véritable qualité. A vrai dire,dans la situation ou certaines personnes ne savent pas ou elles vont il y à à mes yeux trois hypothèses. Une, elles sont perdues et ca peut arriver à tout le monde d'avoir besoin de recul dans la vie, auquel cas rester un peu tout seul ne fait de mal à personne. Deux, elles pourraient être très claires mais continuent à semer le doute en se donnant le droit de semer un épais brouillard autours d'elles. Pour la troisième, un peu plus abrupte, je crois qu'elles s'en foutent tout simplement et fond passer leur nombril en diamant brut avant toute autre chose.. C'est vrai qu'il n'y à pas une situation plus enviable les unes que les autres pour le moment; Je base aussi mon raisonnement à partir du moment ou la deuxième personne concernée tente d'emmener l'autre je ne sais ou... Pour l'instant même compliqué, ca parait assez clair. Mais dans tout celà ou est l'enthousiasme, c'est très simple, il ne peut pas vraiment avoir une place. Je pense avec beaucoup de recul qu'il faut avant tout de cet enthousiasme justement pour passer du temps amical ou plus avec quelqu'un, l'écouter, la connaitre et tenter de ne pas la décevoir. Loin d'un sentiment égoiste justement, il faut apprendre à donner pour qu'une relation soit-elle amicale puisse durer en créant des liens solides par ce que l'on fait.. Il faut s'interresser à elle, à elle seule pas seulement à ce qui gravite autours d'elle pour se détacher des circonstances ou faire avec les circonstances mais il faut alors de sacrés pastèques dans certaines situations. N'embarquez pas quelqu'un avec vous si vous ne savez pas ou vous allez car à la longue c'est fatiguant et inutile. Au contraire, prenez le temps de connaitre quelqu'un et le jour ou vous lui proposé vraiment quelque chose c'est parce que vous en aurez profondément envie et la vous ne vous tromperez pas. Je dis ca parce que l'amour et l'amitié sont des sentiments magiques qu'il faut préservez comme le bien le plus précieux qui soit. Je garde en mémoire une des très belles paroles très d'un ami qui m'à dit une phrase qui résume un peu tout celà très joliement "Je ne sais pas ou on va mais on y va"...aimez vous mes amis...

Avoir un coeur c'est peut être avoir des yeux trop grands lorsque l'on pose son regard sur les autres.. C'est surement être trop réveur au delà des apparences ou des circonstances, c'est être là. Pour moi et je m'en rends compte c'est tout à fait valable en amour comme en amitié. Je pense que mon meilleur ami Romain se souvient des fois ou nous avons pris des vacances ensemble. S'était toujours des périodes d'une vingtaine de jours lorsque j'allais le chercher sur Angers. On passait une semaine s'en s'en appercevoir à s'organiser au quotidien naturellement sans même y réfléchir dans la grande maison tout en long ou j'habitais à cette époque. Souvenir au top, il préparait du pain perdu pour le petit dèj le matin quel bonheur quand on prenait un bon café en terrasse au soleil. Je garde ses bons moments. Malgré que nous ne puissions nous voir pour le moment, il est toujours la à me téléphoner parfois au mauvais moment, mais il est irremplacable à mes yeux. C'est lui qui à fait qu'en m'expliquant le pourquoi du comment je tente une relation durable à force de me donner de bons conseils, merci pour tout mon bon Romain.. Très soucieux des autres plus que de lui même, il a toujours les paroles justes vis à vis des autres ce qu'il n'applique pas vraiment pour lui n'étant pas calculateur pour un sou. Réveur il l'est aussi et j'espère bien qu'il le restera.. Dans ma vie souvent on m'à dit aussi "ne change pas" à vrai dire je n'ai auxcun mérites, je ne sais pas faire autrement même si parfois les choses ne sont pas toutes simples. Parfois je m'emportes un peu mais c'est dans mon tempérament que de ne jamais faire les choses à moitié.. Chiante mais attachante j'espère mais jamais bornée...

Mon petit journal, mon confident, comme ca fait du bien de me confier à toi même si personne ne m'écoutes. Peut-être demain quelqu'un viendra lire mes écrits, la magie d'internet, car j'écris depuis mon plus jeune age sans que personne ne l'entende. J'écris pour ceux et celles qui comme moi lisent à travers les mots sont sensibles à une autre façon de s'exprimer que de raconter sa vie. Parfois les nuits ou je n'arrive pas à dormir alors je profites de cette liberté la. De celle qui ne rendent pas plus triste ni plus joyeux mais celle qui laisse apparaitre un peu de soi avec pudeur juste pour le plaisir de laisser s'échapper quelques idées. J'en ai écris des pages et des pages, uniquement pour que cela puisse ne serait-ce qu'apporter une petite lumière à quelqu'un que je ne connais pas. Bientot, je reprendrais la peinture et comme d'habitude, je vous la ferait partager aussi. J'ai toujours quelques idées en tête, quelque chose qu'il me plairait à réaliser en prenant mon temps. Comme tant de fois, je ne vous remercierais jamais assez pour votre fidélité sur mon site vous mes amis qui me suivez depuis longtemps et vous que je ne connais peut être pas encore......

Ca m'as fais du bien d'avoir une belle discution et d'aborder de facon presque toute simple le sujet sur le fait de se sentir rassurée hier soir. C'est vrai que la maturité nous apporte expérience et recul alors que les années s'accumulent comme quoi... Mais ce soir, j'avais envie de le dire ou de le penser très fort et encore plus fort que d'habitude "c'est normal de se sentir rassurée au coeur d'une relation". Pour ceux qui ont déja une relation de longue date ca parait tout à fait logique pourtant, ce n'est pas forcément évident. C'est vrai, j'ai vu plus souvent des femmes craquer parce que leur copain ne leur disait pas si ou ca en gros n'étaient pas expressifs dans les sentiments comme j'ai pu le dire moi-même l'ayant vécu aussi. Mais tout dépend de la situation. Si un homme se coupe en quatre pour vous, que vous ètes dans un cadre rassurant et agréable faut pas toujours poussez le bouchon de champagne non plus trop loin. En revanche, s'il ne tente pas de vous connaitre, de se projeter avec vous qu'il reste distant dans sa petite vie au bout d'un bon nombre de mois alors tout porte à croire qu'il veut bel et bien la garder ainsi et c'est à ce moment la qu'en effet vous pouvez, nous pouvons toutes nous demander qui suis-je à ses yeux. La encore tout dépend des caractères et de la facon de le dire. Le pire est de ne rien dire car lorsque que ca pète le bouchon de champagne n'est rien à coté du résultat tout à fait intime d'une bonne et franche engueulade. Le plus simple est de se montrer tel que l'on est et le plus tot possible on a besoin de savoir ou l'on va, il faut poser la question même si l'on obtient pas de réponse car c'est fou le nombre de personnes atteintes de surdité à ce stade entre deux individus. Rien ne se précise alors je pense qu'il faut encore répéter son besoin de savoir ou votre pied va se poser après l'autre. Les sourds finalement ne sont pas si nombreux les aveugles sont plus fréquents alors si vous voyez que l'on ne vous regarde pas, ne perdez pas votre temps, ce n'est pas une science exacte mais quelques petits conseils. Normalement on peut discuter de tout et il ne faut pas passer sur tout croyez moi même si l'on ne veut pas être lourd ou contraignant il faut savoir rester soi-même avec ses attentes, ses espérances ce que l'on aime ou on aime pas, car sinon le résultat est de ne pas être heureux véritablement ( la je parles plus pour les filles). Merci toi qui à bien voulu quoi qu'il ten coûte participer à la discution, je sais que tu te reconnaitras.....

J'attendrais, que nos regards se croisent pour se perdre à l'infini.

J'attendrais que l'émotion nous envahisse un jour comme aujourd'hui.

J'attendrais que le temps passe et nous mette à l'épreuve du temps.

J'attendrais que les années passent balayées comme  souffle le vent.

Je ne sais pas si cela vous est déja arrivé de vous sentir comme un fidèle toutou, peut être est-ce totalement féminin. Bien qu'un chien c'est sur n'attendra pas un coup de téléphone, ni de signe particulier, pourtant comme nous ils sont capables d'attendre pendant des heures. Couchés sur le tapis ce qui n'est pas mon cas bien entendu , ils lèvent alors la tête dès qu'il percoivent un bruit familier. C'est d'ailleurs incroyable la manière dont ils sont sensibles aux sonorités qu'ils reconnaissent parmis tant d'autres. Une voiture qui démarre, un autre chien dans la rue, il est vrai que nous les femmes n'avont pas tout ca pour percevoir les choses autours de nous. Pourtant, je me demande pourquoi parfois nous attendons avec autant d'enthousiasme ne serait-ce qu'un signe, une marque d'affection. Pourquoi et comment les mots tous simples nous vont droit au coeur et peuvent restés gravés. Comment nous pouvons être sensible au point d'avoir l'impression que les heures semblent des jours et des jours des mois. Je ne sais pas, je n'ai qu'une vague idée mais pas encore de réponse...

J'ai pensé il y a peu de temps à quel point il est dommage de confondre une oeuvre d'art avec  simple le fait de jouer grossièrement avec de la pate à modeler. Je pense à cela car j'ai en tête biensur une métaphore que je vous laisserais deviner peut être au fur et à mesure des mots. Non que je n'aime pas les créations toutes simples non, cela n'a rien à voir, je pense à tout autre chose. Je pensais plus précisément à la manière d'approcher une femme à ciseler une relation et la je pense que les femmes qui me lisent comprendront.Il est certes évident que les hommes et les femmes n'ont peut être pas la même façon de percevoir ou de ressentir les choses pourtant il est beaucoup d'hommes doué d'une grande sensibilité et surtout je n'écris pas en pensant à ceux la. Plus j'avance dans le temps, plus je pense que les échanges sont précieux même si nous ne les voyons pas sous forme de pépites d'or. Un homme à mes yeux (excusez par avance ma vision un soupcon rétrograde ) se doit d'être délicat et attentionné. Entreprenant et suptil c'est d'ailleurs tout ce qu'il sera capable de donner, de créer ou de façonner qui forgera jour après jour une oeuvre aussi belle à regarder qu'à vivre. Les artistes sont devenus rares et pardonnez moi messieurs, je ne vous mets pas dans le même sac, mais quand il m'arrive aux oreilles d'entendre ceux qui parlent de la relation avec une femme comme une sorte d'argument, une notice de ce que l'on peut faire avec, je n'aime pas. Je ne juges personnes mais ca me fait penser à quelqu'un qui assemblerait des blocs sans aucune forme et n'importe comment aucune passion, aucun recul aucun don de soi. Une relation en papier maché et encore... C'est tellement beau l'amour, pour moi c'est comme une oeuvre d'art que l'on crée avec passion. C'est vrai la passion ce n'est pas facile à vivre mais tellement plus riche et plus intense. Voila juste une pensée pour ceux qui ont peut être une satisfaction de créer quelque chose de pas si mal que ca mais qui ne résiste pas longtemps à l'usure implacable du temps....

Texte écrit il y à quelques mois, une nuit sans sommeil...

 J'aimerais dormir parfois mais la contrariété entrave mon sommeil, je peine à fermer les yeux. Comme les déceptions peuvent faire du mal même si l'on ne les perçoit pas encore à leur juste mesure. Si seulement elles allaient jusqu'au bout, jusqu'aux portes du chagrin ce serait surement plus facile. Je n'aurais qu'à pleurerpour m'en libérer un peu. Mais même pas, car au fond je sais que s'est à moi à qui je fais du mal à m'exposer ainsi.  On essaie d'avoir toutes les qualités, on s'investit puis on s'épuise peut être parce que l'on s'adresse à un mur dressé devant soi, que l'on ne voit pas. On se réconforte cent fois au même et malgrés tout on ne comprend pas. Surement passionnée et exigente à travers la vie, je veux parvenir tous à mes projets avec détermination c'est vrai. Tous étant un bien grand mot quand il s'agit simplement de tout mettre en place pour être heureux. Je me sens un peu comme un voyageur qui traverse un ou deux pays mais qui ne reste pas. Quelqu'un de bien mais avec qui on ne peut pas composer facilement, trop entière et trop franche. Mais malgré tout je sais que je ne changerais jamais...

La nuit dernière, j'ai fais un rève qui, au réveil, à peine sortie du sommeil m'a paru vraiment interessant. Malgré le peu d'actions et de personnages, il m'a aidé à comprendre que le cerveau possède bien des capacités d'analyse même cela semble un peu flou en ouvrant les yeux; Il y avait trois personnages, un homme, sa mère et une jeune femme d'une trentaine d'année qui s'appelait Jennifer. Pour le décors, il était restreint car les images pas très nettes tout juste de quoi comprendre que sensiblement nous étions dans un appartement à Paris. Apparemment, il y avait quiproquo entre l'homme, la jeune femme et moi et surtout une grande confusion à la suite de quoi je décide de me rendre chez la fameuse Jennifer. Dans mon rève, par le plus curieux des hasard, elle habitait bizarrement sur le même palier que l'homme et sa mère, au fond d'un couloir. Je paraissais en colère en entrant dans un appartement dont le mobilier était aussi pauvre que le décors précédent. Les rèves sont toujours surprenants et pour une raison que j'ignore, en regardant le peu qu'il y avait dans la pièce, le micro ondes fait des siennes au moment ou je regarde ce qu'il y avait à l'intérieur. Je sors et il me vient à l'esprit que ce qui me tenait vraiment à coeur, un chat que j'avais confié car mon premier souci était de savoir ou il était. Je retourne donc chez eux en frappant à la porte, l'homme ouvre mais ne répond pas à mes questions pressantes prononcées sur un ton explosif plongé dans une sorte de mutisme. Sa mère qui arrive juste derrière lui essaie de me rassurer en me disant "Il ne faut pas faire attention, il souffre de disphasie". Pas la dysphasie avec un Y  que l'on connait déja par des troubles d'expression et d'interprétation, sur le coup cela me laisse sans voix. J'entre sans réfléchir, l'homme quand à lui sans va dans une autre pièce. Je reste là à coté de sa mère que je juges un peu trop compréhensive vu les circonstances qu'il m'est encore difficile de cerner avec exactitude. Au bout d'un moment quelqu'un revient mais la je reste bouche bée, un tout petit bonhomme qui lui ressemble comme une caricature arrive dans la pièce. De moins d'un mêtre de haut il s'approche avec assurrance et résignation en venant vers nous. Je n'avais jamais vu ca, le même homme mais comme qui dirait atrophié, réduit à une taille de moins d'un métre de haut et ce qui me surprenais plus encore, il avancait pieds nus posé sur une sorte d'engins à roulettes qui lui permettait d'avancer. Plus stupéfiant, on aurait pu surement lui mettre des chaussures pour enfant tant ses pieds étaient potelés mais petits par leur taille.Son visage était fermé avec une expression dure que je ne connaissais pas jusqu'alor.s J'étais effrayée en silence et commencais à me demander si tout cela avait attrait avec sa maladie. Tellement effrayée que je suis parvenue à me réveiller en comprenant petit à petit ce que tout cela pouvait bien pouvoir dire en tout cas dans l'essentiel. La réalité est que l'on ne voit toujours pas vraiment une personne comme elle est intérieurement et que comme dans mon rève ce n'est pas possible par le visuel. J'ai alors pensé que ca serait génial de pouvoir voir une personne non par son aspect physique mais dans son aspect en terme de valeur en tant que personne. Bien sur nous aurions peut-être des surprises et des surprises de taille mais quelque part ca serait trop fort. Face à cela mon rève qui peut en effet paraitre pour un semi cauchemar m'a fait comprendre que dans la vie nous n'avons que nos impressions pour pouvoir dessiner le portrait moral de quelqu'un et qu'il est normal d'engager la méfiance avant la confiance. J'ai toujours pensé que la confiance soit on l'accorde soit on la donne et en cela il ne vaut mieux pas ce tromper. Cette vision nocturne n'était certes pas très agréable et surement rattachée à ce que j'ai vécu ces derniers mois mais dans la vie lorsque l'on fait erreur cela n'est pas agréable non plus sauf qu'on peut toujours se raccrocher à la gentillesse, la tolérance ou encore des excuses pour tenter de comprendre. Pas mal de sentiments ont traversés mon esprit avant que je ne réussise à me lever mais une chose est sure il m'a tout de même conduit à une réflexion très instructive...

Texte écrit il y a quelques temps...

Je ne sais pas si contrariété rime avec confusion ou encore préoccupation. Même si l'une est la résultante de l'autre. On pourrait considérer aussi que le cumul des préoccupations abouti à la contrariété. Alors y a t-il une formule pour résoudre ses préoccupations? "Première donnée" considérer ses problèmes surtout l'un après l'autre sinon vous ne vous en sortez pas pris dans une spirale imaginaire....

Bonjour à toutes et à tous,

Je n'étais pas très présente ces temps ci, comme cela m'arrive souvent. Bien des choses étaient compliquées, j'ai surmonter quelques embuches et des déceptions aussi.... Mais que cela ne tiennent je ne vais pas me plaindre en vue des évènements tragiques des derniers jours même si cela au fond n'a rien à voir. Je publierais demain et les jours suivants les échos de ces jours restés muets.... J'ai traversé une foule de sentiments successifs avant d'écrire à nouveau dans "mon petit journal". Et pourtant, l'écriture m'a toujours permise de relever la tête contrairement aux paroles qui ont plutot tendance à donner l'effet inverse. C'est vrai que lorsque je parle je ne prends pas de gants, je ne fais pas de détours et de contours même si j'essaie de faire attention. C'est ma nature d'être entière, pas dans le but de brusquer les autres mais parce que l'on appelle un chat, un chat. L'ambiance est morose après une onde de choc à encore secoué notre pays mais je continue à croire en la solidarité des hommes capable résister aux pires dérives de ce monde. Chacun réagit comme il peut en espérant que les mots s'enchaineront un à un pour une vie plus clémente pour beaucoup d'entre nous... Merci à ceux qui me suivent et clin d'oeil pour tous ceux qui sont chers à mes yeux....

Comme promis, je viens partager avec vous un beau projet qui va prochainement voir le jour et comme vous en vous doutez aussi pour tout ceux qui me suivent, une belle aventure humaine aussi. Voici quelques années que je réfléchis à utiliser mes compétences pour le mettre au service de ceux et celles qui en ont besoin. Pas que je ne fasses rien puisque je travaille dans la presse écrite mais parce que mon deuxième métier est l'encadrement technique d'insertion dans le maraichage.

Vous penserez pour certains, curieux choix car l'écriture est une activité beaucoup plus tranquille et vous n'auriez pas tort mais, s'investir pour les autres est une toute autre dimension qui n'est pas incompatible de toute facon avec le fait d'être proche des gens comme je le suis sur un territoire rural. On me demande donc souvent pourquoi ce projet dans les administrations, les réponses, parce que je pense qu'il faut que notre économie redeviennent locale et que nous manquons cruellement de structures de développement économique de proximité dans notre région. La dernière raison aussi est que j'aime cultiver jour après jour des légumes de bonne qualité, des aliments sains que nous offre la terre sans la contraindre avec des produits chimiques qui la polluent chaque jour.

Pour terminer sur ce chapitre, travailler en équipe avec des personnes de tous horizon fertilise aussi les esprits en leur apportant des connaissances, un rapport humain en avancant ensemble sur les objectifs de demain. En portant toutes ses valeurs j'ai donc longtemps réfléchis pour donner naissance à un jardin d'insertion. J'ai rencontré des intervenants sociaux, des responsables locaux, des administrations.... tous les interlocuteurs possibles pour valider toutes ses idées.

Puis j'ai rencontré Paulette en prenant des contacts. Difficile de vous parler de quelqu'un avec lequelle j'ai fais connaissance jour après jour et avec laquelle je suis devenue amie, une véritable amie. Je portais mon projet avec mon compagnon qui porte biensur les mêmes valeurs que moi quand après un échange téléphonique nous avons visité sa ferme. C'est un peu la que tout à commencé véritablement. Nous avons parlé de tout de l'histoire que porte cette terre, de son vécu et de sa volonté de la protèger contre l'agriculture intensive. Je n'ai pas pu rester insensible à ses valeurs car le passé de nos petits producteurs de mon enfance ne s'est pas effacé de ma mémoire.  Les souvenirs de ceux qui vivaient plus que modestement et là je pèse mes mots pour produire le beurre fermier, le poulet que l'on mangeaient le dimanche en famille, le lait frais... toutes ses saveurs dont on perd le gout au fil des années. Je suis convaincue que tous ces hommes et femmes font partie de notre patrimoine et que nous ne devons pas effacer leurs histoires, leurs savoirs avec un simple formulaire. C'est pourquoi un vrai échange humain à pu prendre naissance, comme un second souffle avant de prendre racine peu à peu par notre volonté. Une aventure peu commune que de s'appercevoir que nous portons les mêmes valeurs sans même avoir besoin d'en parler. La vie est ainsi faite que l'on peut un jour croiser quelqu'un très proche que l'on ne connaissait pas auparavant. 

Avec sa complicité, je viens donc partager cette belle aventure avec vous pour que ce lieu chargé d'une parcelle de nos valeurs à tous puisse acceuillir les amoureux de la nature, des produits d'antan et des valeurs humaines. Biensur, dans cet échange, je tiens à lui laisser une place à Paulette à mes cotés car quand nous ouvrirons les portes croyez moi vous serez les bienvenus pour partager les fruits de nos efforts. Près d'une soixantaine de variétés de légumes et fruits, initiatives culturelles (Merci par avance Eva et Bruce ), concerts, spectacle, théatre ( Merci mon homme), sentier découverte et camping nature, bons vins (Merci Léo) et produits du terroir. Nous aurons peut être besoin d'un coup de main car nous donnerons vie à "La Terre des Saveurs" pierre par pierre mais je sais par avance que certains parmis vous serons heureux de mettre ne serait-ce qu'un petit rien dans cet édifice. Promis, je vous tiendrais régulièrement au courant et vais essayer de mettre en ligne un site internet pour vous donner des infos en temps réel ou presque (je suis pas très rapide, je sais..). Je vous tiens au courant... merci à tous de votre fidélité d'esprit, c'est bien l'essentiel.... à très vite...

Je remercie encore une fois mes visiteurs même s'ils restent irrésistiblement muets, à moins que ce ne soit moi qui ne sois pas très douée sur les règlages ce qui est fort possible. Non seulement il me faut travailler et oui quand on écrit on travaille quand même, préparer mon exposition qui se compose de sept peintures et je m'investis d'arrache pied pour un superbe projet, "Les saveurs de la terre". Je devrais dire aussi les valeurs de la terre car non seulement partis du projet de produire des légumes et des fruits de qualité, je souhaites avec mon compagnon, développer un espace de solidarité par un chantier d'insertion. Cet aspect social est très important. Si je vous racontes ma dernière expérience en tant qu'encadrante technique d'insertion alors vous comprendrez pourquoi. J'ai toujours eue une bonne équipe sans jamais jouer les petits chef. Les gens se retrouvent facilement dans ce rapport à la terre et personnellement, je préfères travailler dans une ambiance agréable. Je transmets mes connaissances et surtout je veille jour après jour à chaque personne dont j'ai la charge soit dans l'échange avec les autres et dans la construction personnelle. La reconstruction devrais-je dire car notre société peu abimer les plus faibles d'entre nous. Aussi au terme de mon dernier contrat à durée déterminée, quand on s'en va, on à toujours le coeur serré et on ne laisse rien paraitre les derniers jours. Les salariés me harcelaient pour que je vienne à une soirée à Flers. J'ai finis par céder et vous savez quoi, ils m'avaient fait une surprise spécialemet à mon intention en m'offrant des petits cadeaux, des fleurs.... J'ai été vraiment touchée surtout lorsque certains on pleurés à cause de mon départ et je vous dis encore merci Juliana, Marlène, Lionel, Jean-Jacques, Calixte, Patricia et ceux dont je n'ai pas les prénoms en tête.. J'ai caché mon émotion mais dans la voiture en partant croyez bien que j'avais la gorge serrée. Toutes ces personnes n'avaient pas grand chose à la fin du mois ou presque. Des salariés en contrat aidés à qui j'ai simplement donné des compétences, une rigueur et de la chaleur humaine. J'ai toujours travaillé en contrat à durée déterminée et je n'avais pas le choix même si ce n'est pas de gaité de coeur lorsque l'on s'en va. Comme dit un ancien collègue, même si une seule personne vaut la peine d'être aidée alors ca vaut la peine de se lever le matin aux aurores. Il avait raison.  A terme, nous souhaitons aussi soutenir et acceuillir des artisans comme un ferronnier d'art, un maréchal ferrand ou encore un souffleur de verre car nous pensons que nos petits métiers sont aussi nos valeurs. Nous pensons proposer pour terminer dans un avenir lointain, un volet culturel que nous pensons aussi une valeur fondamentale. Un pari fou en somme à l'aube ou beaucoup se découragent. Mais si l'on veut avancer, il ne faut pas penser à ca bien au contraire, car avancer est aller à la rencontre des autres et s'investir. Partie d'une idée bien construite, elle se concrétise peu à peu par toutes ses valeurs de volonté, de travail et de très belle rencontre aussi. J'espère très bientot vous raconter une belle et longue aventure humaine.

En illustration, Les jardins dans la ville ou Jean-Luc Tabesse m'a acceuillir en tant qu'encadrante stagiaire à Argentan

Cette personne s'investit beaucoup faites un tour si vous passer par Argentan en attendant de venir nous voir... à bientot

Juste un mot pour dire que le défi des Virades de l'espoir cette année est de collecter un maximum de jouets pour lutter contre la mucoviscidose. Peluches, jeux de société, vélos, jeux vidéo ou autres en bon état, qui fonctionnent biensur sont les bienvenus pour soutenir cette action. Un geste à notre portée à tous que de mettre de coté ce qui ne sert plus pour les donner pour plus de renseignements 06.09.10.95.91 ou 02.43.05.57.14. Merci d'avance pour tous les bénévoles qui se mobilisent en Mayenne.

Toujours en plein travail pour l'expo

Il était la sur un banc depuis un long moment. Personne ne sait depuis combien de temps. Il avait même laissé la nuit tomber sur ses épaules à rester là. Son regard ca et la scrutait autours de lui le moindre détail. Même s'il ne se passait rien. Il était là peut être pour ne pas réfléchir. Devant lui scintillait sur l'eau des paillettes d'argent et des reflets orangés sur l'eau. Plus loin, de l'autre coté de la rive, les lumières des fenêtres des immeubles découpaient l'obscurité. Presque toutes identiques. Il préfèrait rester la car il ne voulait pas être bien rangé dans une vie ou tous les jours se ressemblent. Comme toutes les fenêtres, la sur l'autre rive. Il n'avait rien à faire ici mais peu importe, il était libre de penser à tout, à rien. Peut être était il la pour oublier malgrés le balai incessant de la circulation, tout près sur le pont. Peut être était il devenu sourd à une vie toute tracée. Cet instant loin d'être triste respire simplement la liberté.

Deuxième jour sur une toile de récupération... mais pas seulement de récupération car elle à une histoire secrètement. J'ai choisis de faire paraitre le deuxième jour en noir et blanc ...à bientot..

J'ai choisis de vous faire partager une nouvelle peinture qui n'en est qu'au tout début... pour vous restituer son histoire en image... elle n'a rien à voir avec l'expo que je prépares pour le mois d'aout à bientot ...

Après une vague difficile à prendre de front, l'horizon parait plus calme. Non, je ne reste pas à scruter l'éventuelle tempête, je retourne dans "mon atelier" pour préparer une série de peintures animalière. Pour rendre mes sujets vivants, il me faut rentrer dans l'antre du fauve pour en capturer les tons justes. Peindre est une sorte d'évasion, une véritable dimension ou l'on se promène en solitaire. Cet espace particulier m'a beaucoup aidé déja car on oublie tout. Mais on ne maitrise pas tout non plus, certains jours on se surprend soit même et d'autre on se demande si ce monde magique n'a pas disparu et malgré les gestes précis de son pinceau la porte de l'imaginaire reste fermée. Rien d'étonnant à se plaire dans une dimension que la civilisation égyptienne antique restituait alors dans une dimension mystérieuse. Juste quelques pensées matinales..

Je prépares actuellement une exposition sur l'expression animalière.. Je me remets donc prochainement sur mes toiles et mes pinceaux pour vous les faire partager ensuite. J'ai choisis quelques sujets mais reste à l'écoute de toutes suggestions pour développer ce thème. Merci à vous... toutes les idées sont les bienvenues.

Je voulais vous dire merci à tous pour vos visites. Je constate encore aujourd'hui 130 pages lues sur mon site et il n'est pas encore 22h00. Ces venues me font chaud au coeur et il me tarde de vous présenter mes nouvelles peintures comme tourner une nouvelle page. Je n'ai pas encore trouvé tous mes sujets mais tout cela va se construire petit à petit  mais encore une fois merci pour votre interet qui ne faillit pas à l'usure du temps...

Comme les larmes versées sur un profond chagrin

Comme une rose posée sur une froide pierre

Comme il est difficile d'être genou à terre

Se relever encore pour aller vers demain

Dis toi qu'en toi tu portes

la vie des souvenirs

Que rien ne les emportes

Le meilleur comme le pire

Alors sèche tes larmes

Garde au fonds de toi

Cette petite flamme

Qui ne s'éteindra pas

Mon père s'est éteint... en un moment ou les sentiments se mèlent, ce que je regrette le plus est de ne pas avoir plus de chagrin. C'est vrai que l'on s'était déja perdu de vue dans un monde ou l'on ne communiquait pas de toute façon. Je n'ai plus connue de lui que les silences et les secrets, les coups de gueule et les échecs. Il n'empèche que quelques souvenirs sont là, lointains pour la plus part et peu nombreux. Au volant dans la voiture, une chambord à l'époque, je lui peignais les cheveux du siège arrière. Comme il disait " en ailes de pigeons". Plus tard, en grandissant tout c'est compliqué dans une spirale infernale et il ne donnait même plus d'affection. Les soucis quotidiens remplacaient la communication au point de ne plus se dire que des banalités du style "passe moi le sel", au point d'en être transparent.Trop de problèmes accumulés l'empèchaient surement de penser autrement. Je me souviens aussi vers l'age de 12 ou 13 ans qu'il se levait toujours aux aurores pour préparer le café. De celui qui sent bon, moulu avec un moulin en bois qui fermait toujours mal. Je me souviens alors de l'odeur du café qui embaume la maison, au réveil. Je me souviens aussi des briques qu'il mettait à chauffer le soir sur la cuisinière pour que nous n'ayons pas froid au pieds. Il était dans son monde surement et de plus en plus, au point que nous ne parlions même plus le même langage. Je suis partie très jeune car je n'étais qu'un fardeau de plus avec ceux qu'il portait déjà en silence, toutes les paroles auraient été déjà superflues. Après, on ne s'est pas beaucoup revus. Je l'ai dépanné à la maison lorsque j'avais 19 ans mais après quelques semaines chacun repris sa route. On ne pouvait pas se dire grand chose à cette époque car la loi du silence s'était déjà installée depuis longtemps comme si ouvrir son coeur fesait encore plus souffrir. Comme si garder pour soi une certaine amertume était digne, des lois qui nous échappent à tous. La vie de chacun de nous était devenue compliquée et instable au point que les états d'ame étaient un luxe qu'on avait pas. On ne disait rien, on prenait les choses telles qu'elles se présentaient. Je l'ai revu ensuite vers mes 25 ans entre deux portes et la j'avoues que mes parents ne devaient pas être très heureux car ils étaient dans une caravane. Les années se sont enchainées avant que je ne le revois qu'à 35 ans. J'ai tenté de retrouver un dialogue, je suis même allée avec lui à la pèche au bord du Loir. Mais la encore, les poissons piègés à l'hamecon avaient encore plus de conversation entre eux. Ma mère vient de m'appeler et de me prévenir de son dernier souffle, sur le coup, je n'ai su quoi lui dire. Je lui ai seulement dit qu'il fallait créer des liens avant que le silence ne viennent les briser à tout jamais. Peut-on souffrir autant ou plus qu'avant, certainement pas plus de mon coté. Pas un seul mot ne peut à présent libérer quoi que ce soit à l'heure ou ce que je pense fait déjà partie du passé, à par les écrits qui soulage le coeur. Je garderais donc le peu de souvenirs joyeux que je possèdes dans un tout petit écrin dans ma mémoire. Ceux qui remontent quand j'étais toute petite, qu'il emporte avec lui tous les mauvais car après tout personne ne les à voulut. J'espère qu'avec lui s'envoleront aussi les souffrances qu'il à du connaître ici bas.

Je me suis trouvée incapable d'écrire par la peine due aux massacres des jours derniers. Moi qui pensais avoir une certaine aisance pour m'exprimer, je n'ai pu que rester muette. Une profonde tristesse retenait surement les mots ainsi que la pudeur. Des mots me semblent encore difficiles à mettre bout à bout tant la perte de ces géants de la dérision est une atteinte au coeur. Biensur, je n'oublie pas tous les autres hommes et femmes qui ont été victimes d'une folie meurtrière. Les mots ne ressemblent plus à rien et me semblent bien dérisoires  depuis quelques jours. Mon grand père en aurait pleuré surement s'il était encore de ce monde, car ce sont "des gardiens de la liberté" qui ont été assassiné. Ce qui me console un peu est de savoir que partout dans le monde, les hommes et les femmes se rassemblent dans une dignité inconnue jusque là duemoins à ma connaissance. Je n'ai pu d'ou je suis géographiquement participer à un rassemblement travaillant humblement pourtant dans deux groupes de presse et autant dire que la mobilisation de tant d'hommes et de femmes m'a surprise. Les larmes de certains ont fait couler les miennes car enfin une union existe contre l'extrémiste, la folie et aussi contre la bétise tellement dangereuse à mes yeux. Ceux qui fréquente mon site, sont j'en suis sur de ceux qui ont eu autant de peine que moi. Pour une fois, je ne sais plus vraiment écrire car les mots me serrent la gorge quand je pense à tous ces libertaires que l'on à abbatu. Ce sont les notres que l'on à tué ceux qui ont souvent poussé les portes de la provocation pour ouvrir celle de la liberté.. Juste avant le drame, je parlais justement qu'il était grand tant que les hommes s'unissent pour un monde meilleur, après le chaos que nous venons de vivre, je crois que je le vois naître et j'espère de tout mon coeur qu'il sera durable pour nous tous..

A deux pas de Noël, j'espère que vous passerez tous de bonne fëte. Au pied du symbolique sapin, j'espère que vous pourrez trouver un cadeau pour l'amitié, plusieurs pour la gentillesse, un petit pour la simplicité, un autre pour la sincérité et le plus gros pour l'amour autours de vous. A l'aube d'un jour ou tout le monde serait un peu plus solidaire le sapin brillerait alors de milles étoiles pour tous... N'oubliez pas ceux qui sont malheureux ... un beau geste ne coute pas grand chose mais enrichit au combien les êtres humains.

Tite pensée pour Brindilles qui met toujours de bonne humeur....

Vous pouvez éteindre la lumière

car le noir est ce que je préfères.

Quand je chante, autours de moi s'éclaire

tout l'amour qu'il existe sur terre

J'suis Brindille de Paris, je brille dans la nuit

brillent mille paillettes et c'est la fête

Car sur la scène soudain je m'éverveille

Pas un jour, ne peut être pareil

pour donner tout ce qui étincelle

à tous ceux ou bien à toutes celles

J'suis Brindille de Paris, je brille dans la nuit

Brillent milles paillettes pour faire la fête

Aujourd'hui le sapin en préparation.. vous pouvez laisser une boule scintillante en commentaire... on commence la déco de Noël sur le net... à bientot

Le père Noël... j'y ai cru pas mal de temps.... Souvent, il s'est planté soit de cadeau, soit d'adresse mais comme s'était bien d'y croire pendant ma jeunesse. Je me souviens encore quand je regardais la neige tomber dehors, quand ce tapis blanc se teinte en bleuté et qu'on voit les flocons virvolter doucement avant de tomber de la nuit. J'y croyais encore peut être, de toute façon, je n'avais que ça pour espérer. Chez moi, si je puis dire ainsi, quand j'étais môme, on ne croyait en rien, même pas en l'avenir si bien que s'est peut être pour ca que je fuyais dans l'imaginaire, pour voir les choses autrement. Je n'ai pas été malheureuse car en fait tout paraissait à l'époque tout à fait normal. Aujourd'hui les enfants regorgent de tout mais à l'époque, il fallait vraiment beaucoup de volonté pour obtenir ce que l'on convoitait. Je ne pense pas que s'était mieux loin de là, mais on avait beaucoup plus d'éducation et de respect car on ne pouvait pas faire autrement. L'essentiel n'est pas dans les conneries qu'on achètes à nos enfants mais dans toute l'éducation qu'on leur donne, dans les valeurs qu'on leur apporte et l'amour qu'on leur offre. L'important, j'ai toujours connu Noël ou presque en essayant de faire avec ou de faire au mieux.. Avec ses quelques petits souvenirs, j'espère qu'il vous comblera de cadeau sans se tromper de destinataire surtout ceux qui vous font le plus chaud au coeur..

Vous l'aurez surement remarqué, on ne croise pas des dindes qu'en périodes de Noël. Essentiellement concentrées sur les étals en fin d'année, on peut cependant souvent la croiser à la campagne ou si vous avez de la chance assise dans un bar à siffler un coca. J'extrapole, non la dinde ne soupçonne pas toutes ses possibilités.... elle n'en sait rien...car elle passe le plus clair de son temps dans son poulailler à regarder dans le vide et répendre de la fiante autours d'elle.  On pourrait penser que pauvre volatile, ne connait que le sort de se faire plumer, mais justement, c'est souvent l'inverse. Après tout ce n'est jamais qu'un énorme poulet qu'on dispose au milieu de quelques marrons. C'est sur que dans la vie, elle finit toujours par ce ramasser des marrons.. quel triste sort mais heureusement ... même ca elle ne le voit pas venir. Son intelligence ne dépasse pas le coéfficient intellectuel d'un poisson rouge et bizarrement, elle attend les fêtes pour se manifester... Heureusement les temps ont changés et cette volaille traditionnelle à laissée place à d'autres mets beaucoup plus fins, car la dinde pour être honnète est parfois est lourde à digérer ou faut-il de fabuleuses recettes pour qu'elle ne soit pas fade voire farineuse ou enfarinée. Bref, dinde ou pas, le débat reste ouvert à tous les amateurs....

Juste une petite boule de Noël .... pour décorer la journée .... et bientot le traditionnel sapin...

Je passe les détails trop sordides de mon existence car malheureusement ils ne sont pas dignes d'interet. Je ne connaissais rien de la vie et en cherchant un échappatoire, j'ai eue une enfant bien trop jeune. Je ne regrette rien même si j'ai connu le plus sordide qu'on puisse imaginer. Je suis partie de tout cela car l'ambition de connaitre une autre vie m'a sortie la tête de l'eau et de m'enfuir de cette région ou à l'époque être complètement stupide était une fierté. Il faut dire que dans la petite ville ou j'ai connu tous ces déboires, ils sont réellement stupides à un point que c'est encore plus étrange que l'auberge ou se trouve l'arpenteur dans le Chateau de Franz Kafka. La seule différence est que j'ai réussis à partir à Rouen. Je n'avais rien qu'une petite chambre car une copine connue en stage m'avait hébergé un peu plus d'une semaine. J'étais arrivée la et le plus fort avec une pelle de valises et seulement que deux mains. Je me suis débrouillée donc j'ai trouvé une chambre et un travail dans un magasin, Place St Mars. J'étais rentrée au culot pour avoir du boulot parmis une file de demandeurs qui attendaient tous devant la porte. S'était pas génial comme taf mais je m'en foutais, de toute facon dans la grande distribution c'est un concours permanent pour celui qui sera le plus con. Les autres ne me calculaient pas, moi je les observais s'agiter et se tirer dans les pattes pour la gloire et la considération du patron. Un patron qui s'en foutait d'ailleurs car à part compter ses billes on ne le voyait pas plus que ca. Moi venue direct de la campagne reculée, quel choc.... les bars, le bruit des bus, la pollution, la pluie sur le macadam orangé lorsque l'on rentre quand il fait nuit. J'ai vite épousé la sollitude car au fond de moi j'en avais besoin. Ce phénomène qui fait que tant de gens se croisent mais ne se regardent pas, ou l'on est seule dans les rues peuplées pourtant de gens de toutes sortes, j'aimais bien. Un peu sauvage, je ne m'arrétais que chez un bouquiniste en rentrant car je voulais tout reprendre à zéro et je m'interressais à tout. J'ai travaillé des nuits entières en allant au boulot le jour pour maitriser un francais correct. Je m'interessais à tout, aux Beaux Arts, aux expositions, à la sculpture, à la photo, tout m'attirait. J'adorais apprendre de la vie, des autres avec une distance suffisante dont j'avais besoin. Les idiots m'avaient tellement empéchés de vivre et fait de mal dans ma jeunesse que je me retrouvais libre à Rouen en appréciant la liberté d'apprendre, de construire mes valeurs et mon expérience en oubliant peu à peu les imbéciles....

Bientot Noël... dans un mois exactement.... j'espère que vous passerez tous de bonnes fêtes car dans la vie, il ne faut jamais oublier de passer de bons moments. Un peu de chaleur humaine dans ce monde est toujours la bien venue alors en avance ..... de bonnes fêtes pour tous en perspective.

Je ne m'étais pas encore appercue combien la bétise humaine peut être néfaste. Elle ravage tout sur son passage comme un troupeau de moutons d'ailleurs on ne sait pas vraiment pourquoi, on sait seulement comment. Au début choquée, puis dépitée avec du recul pour mieux réaliser, je n'arrives pas en comprendre les véritables raisons. Est-elle volontaire innée ou pathologique. Est-ce un cheval de bataille pour certains de se ridiculiser ainsi en trimballant des valises pleines d'incohérences? Heureusement assez rare, mais certaines formes d'imbécilité vous surprennent véritablement. Même si l'on est pas dans la peau de l'autre, la bassesse devrait pourtant avoir des limites dans ce monde mais apparemment pas. En y réfléchissant, je pense que non ca doit être de naissance selon les cas extrèmes et desespérés. Pour revenir au raison d'une idiotie sans bornes, peut être n'y en a t'il donc pas et à vrai dire hormis le manque de connaissance minima. Je n'ai pas envie de perdre mon temps dans le genre cas de figure stérile car tant de gens valent la peine qu'on leur tende la main dans ce monde. Ceux la on ne les voit pas, on ne les entend pas, tandis que l'idiot incurable parle beaucoup mais n'agit jamais. Il brasse perpétuellement les mêmes problèmes et les mêmes histoires qui ne tiennent pas debout. Attend des autres sans se prendre en main lui même, vous aurez reconnu, le véritable boulet. Pourtant s'instruire de nos jours n'est pas difficile, ouvrir et agir va de soi que  lorsque l'on possède un soupcon volonté. Je peux choquer certains en pensant ainsi mais je pense avoir de bonnes raisons. La bétise fait assez de dégats comme ca dans les quatres coins du globe. Je tire mon chapeau à ceux qui ont encore le courage de soutenir les insoutenables, merci quand même pour eux même si pour ma part j'ai eue ma dose...

On aimerait que ses enfants est la plus belle réussite qui soit. On tente de les accompagner le mieux possible, de leur montrer le bon chemin, mais je ne sais pas si tout cela est possible enfin plutot je me pose pas mal de questions... Les voir en échec est une douleur, en difficulté comme un échec, rien n'est facile dans une vie de mère. La femme que je suis aurait tant aimé leur éviter les aléas de la vie. Tant bien que mal j'essaie de tenir un cap vis à vis d'eux. J'ai trois enfants, deux sont grands à part le plus "petit". Tout trois différents, le plus jeune bonne pâte, à un caractère plutot cool, il continue ses études pour être informaticien. Il est gentil, pas beaucoup de défaut à lui reprocher vraiment. Son frère, plus énergique à beaucoup plus souffert des aneries cumulées plus jeune, il reprends aujourd'hui sa scolarité en main pour se construire un avenir. Et ma fille malheureusement en souffrance. Une souffrance qui est tellement loin de moi et de ce que j'ai pu connaitre de la vie que je ne sais plus comment l'aider. Expliquer le pourquoi du comment serait trop long et surtout trop douloureux. Sur le passé, j'ai mis un couvercle car il ne sert à rien. J'aimerais seulement qu'elle soit heureuse et surtout épanouie. J'ai l'impression parfois que rien ne colle, que rien n'est logique, aussi portais-je ce poids comme un échec. Je me réfugie dans le silence dans ces périodes la pour ne pas laisser place à une colère intérieure qui gronde au fond de moi. Je n'ai que des références bien éloignées dans la vie en m'étant battue pour suivre des études et travailler pour gagner ma vie. Bien trop en décalage face à une réalité que je ne comprends pas, je reste impuissante. Je garde au fonds de moi comme une révolte lorsque rien ne me parait logique, comme une distance à ce qui me parait néfaste et surtout comme un poids de ne rien pouvoir faire ou tenter. Je sais que chacun ne se construit pas sur le même modèle et heureusement mais lorsque la construction ressemble fort à de la destruction alors je ne comprends plus rien. Si proche de Noël qui fait la joie des familles, qui unit et qui rapproche dans la logique, je ne tiens pas à fuir seulement à m'éloigner. Je pense avoir fais tout ce que je pouvais certes pas toujours intelligemment mais j'y prêtes aujourd'hui beaucoup d'attention. Si j'ai un message à leur laisser est d'avancer, chaque jour, pour construire un avenir ou l'on se sent épanouit. Prendre garde surtout à construire sans détruire, être courageux pour aborder la vie. Réfléchir avant d'agir et surtout ne pas attendre de facon perpétuelle que les autres réparent tant bien que mal, vos erreurs. Malgrés tout ca, du fonds du coeur je vous aime...

Je ne boudes pas mon site internet, loin de la mais parfois, il se passe plein de chose dans la vie, de nombreux rebondissements dont j'espère vous faire profiter un jour dans mes écrits. Un peu de bonheur ne fais de mal à personne et j'avoues le connaitre depuis quelques mois, le parfait bonheur. Mais il faut reprendre le travail sérieusement et comme je travaille pour deux rédactions à présent, c'est un peu compliqué.... Je tenais cependant à vous encourager tous, mes lecteurs anonymes pour faire de votre vie un éclat de rire et de joie, car les années s'écoulent au cours d'une vie comme les minutes à la pendule. Pensées à vous tous, à très bientot ....

Merci à tous mes visiteurs pour leur fidélité. La fidélité n'a pas de prix mais à mes yeux, elle a une valeur encore bien plus grande. Je présumes que ceux qui viennent me lire sont profondément humains car entre rire et larmes entre le réel et l'imagination telle est une gymnastique que seuls les gens généreux sont capables de pratiquer. Alors merci encore, la vie n'est pas un bouquet de roses mais elle est belle pour celui ou celle qui la rend généreuse autours de soi. Je pense souvent à vous qui m'accompagnez dans mon petit journal ou et dans la peinture, sachez que vous étes dans mon coeur à chaque fois que j'écris. Peu importe si les textes sont un peu décousu c'est en tout cas avec beaucoup de franchise que je vous les livre ici. Alors à tous à très vite...

Juste un peu de poésie matinale......

Ne m'en voulez pas si je suis morte, j'ai déjà tout donné autours de moi

Ne m'en voulez pas si le vent m'emporte et peu à peu efface mes pas...

Je précise à tous que tout va bien....

L'écriture et la peinture mes deux valeurs refuge au coeur de ma vie... pour ceux qui en ont effectué un petit survol, rien n'à été vraiment simple et vous vous en doutez. L'écriture me permettait surement de poser des lettres de noblesse, la ou il n'y en avait pas. Elle me permet encore aujourd'hui de laisser s'échapper mes états d'ames silencieusement. Je garde toujours en tête que quelque part quelqu'un à pu aussi traverser autant de situations que moi, même si ca isole un peu quelque part. La peinture pour moi est une facon de saisir ce qui m'interpelle, de le rendre vivant en y mettant de moi. D'en saisir les couleurs et les expressions, la dimension et la distance aussi. Quelque part les deux sont en quelque sorte complémentaires, allez savoir... enfin voila ce qui me conduis régulièrement sur mon site afin de partager même avec mes lecteurs silencieux. Croyez toujours en vos passions pour qu'elles vives et vous emportent la ou vous n'y croyiez pas. A bientot pour les petites aventures du petit journal...

Un grand merci à tous mes visiteurs comme je le fais souvent 3000 pages lues en deux mois ca fait plaisir et ca touche le coeur profondément à bientot pour les aventures du petit journal.....

Bientot le centième article..... vive l'écriture à très bientot pour les notes dans le petit journal.... demain ou après demain merci à mes visiteurs fidèles...

Pas facile d'être d'humeur égale, de trouver la bonne place au bon moment. Je garde seulement la bonne attitude sans chercher à comprendre le pourquoi du comment. Il y a des moments ou je ne sais pas pourquoi je me sents fragile, ou je perds pieds à force de mettre de coté ce qui me tiens forte normalement. Comme une sorte de vertige qui ne ressemble pas à de la peur non plus. D'habitude, je n'en finis pas de me battre pour avancer et non à me battre contre moi. Parfois, je me trouve fragile et stupide bien incapable de maitriser ce qui se passe autours de moi. J'ai tant besoin de repères que quand ils me semblent disparaitrent aussi vite que je les avaient imaginé, j'ai comme de la peine de me confondre autant. J'ai tant besoin qu'on croit en moi que je me trouve parfois instable sans savoir poser pierre après pierre. Je ressents alors comme une sorte de tristesse sans vouloir y trouver d'explication cette même tristesse que l'on voit parfois dans mes peintures, cette même tristesse qui ne mentirat jamais. Je laisse alors couler ces instants dans mes veines au point de les aimer pour toute la sincérité qu'ils représentent. Bien incapable de faire des calculs, des plans sur la comète ou des projets au détriment d'autrui, je m'aime aussi comme ca. J'ai tant de fois changé les choses, remis en question ma vie que je souhaites vraiment ne plus être seule à regarder l'horizon. Je le souhaites de tous mon coeur même si ce ne sera jamais au prix d'être égoiste, je ne le pourrais pas. Je prends bien trop sur moi pour prendre sur ceux qui m'entourent, je ne veux que leurs bonheurs car il est aussi le mien. Mes principes sont aussi ma philosophie, le bonheur de ceux qu'on aime est encore plus fort que celui qu'on ressent jalousement. Je me sens dans un virage à 180° et c'est un peu normal de ressentir comme un trouble intérieur. Un cap à franchir dans la patience et la lucidité, une corde de plus à mon arc qu'il faut savoir se forger intelligemment. Ces sentiments ne sont pas négatifs mais tout simplement humains et je préfères au combien les traverser, que d'être autrement plus stupide encore. A toi qui me comprends, saches que mon coeur est à tes cotés même si mon esprit ne connais de cesse que de te voir heureux.

Aimer est un mot que je découvre avec toi

Un sentiment profond, pourtant si délicat

que je n'ose effleurer de plus tendre avenir

que celui de t'aimer jusqu'au dernier soupir

Par expérience je sais que mes visiteurs restent discrets mais pour une fois un petit message me permettrait de mieux les connaitre alors j'ai tout prévu pour que vous me laissiez un petit mot avant de vous déconnecter de mon site... à bientot

Clin d'oeil à une collègue correspondante de presse écrite qui vient de nous quitter brutalement. On avait appris à se connaitre un peu et surtout à travailler dans une intelligence réciproque. J'ai apprécié ta pudeur le peu de temps qu'on s'est connu.. Tu avais toujours la pèche et de la dérision, de la générosité aussi, tu nous manqueras....

Juste un petit mot à l'attention des femmes, juste quelques pensées qui défilent dans ma journée pour leur dire bravo à toutes. Si comme moi vous travaillé, vous élevez vos bouts de choux, vous tenté d'être la meilleure dans votre boulot, dans votre entourage aussi. Si comme moi vous avez compris que la gentillesse et la générosité de coeur sont les plus belles valeurs que la terre puisse porter. Si comme moi vous mettez tout en oeuvre pour avoir une vie heureuse en menant coute que coute votre barque au gré de la vie alors respect petites soeurs de coeur. Ne vous laissez jamais abattre, je dis ca pour celles que l'on ne voit même pas dans notre entourage. Accrochez vous en toutes circonstances et sachez je vous le confirme que la chance n'a d'égal que son mérite. Une pensée aussi pour mon meilleur ami Romain qui fête son anniversaire demain

... à bientot

Merci à tous mes visiteurs même si j'ai été moins présente ces temps çi sur mon site internet. Et oui de nombreuses priorités animent mon existence aussi même si les pensées ont toujours leur place dans ma journée. Je reviens très vite, merci de l'honneur que vous me faites de me lire tous les jours...... et par le nombre de visites enregistrées aujourd'hui à seulement 18h00, merci.... 137 pages lues, journée record..

De l'autre coté du miroir se reflète parfois.

Non pas dans le regard, seulement au fonds de soi.

Nul ne peut toujours expliquer ce qui vous blesse.

Nul ne peut vous dire ni comment ni pourquoi.

Juste le reflet d'une larme perle dans le coeur

sans qu'elle ne puisse en vous soudain s'en échapper

elle brille seulement, rutile au fil des heures

et traduit simplement notre raison d'aimer

Il ne m'avait jamais été donné de passer plusieurs heures dans l'antre d'un bateau. J'avoues que l'on perd un peu pied en mettant les siens sur un colosse encore inconnu qui bouge sans cesse au gré des vagues. On s'acclimate assez vite pour rester à l'intérieur qui est chaleureux comme si on avait envie de s'habituer. Du coup, on s'appercoit très vite que, même sur un fleuve, il bouge vraiment  lorsque les péniches de leur masses imposantes ont brassé l'eau derrière elles. Les bateaux plus petits amènent aussi leur lots de tourmentes quand ils arrivent à proximité comme des boulets de canon. Le soir, on s'endors comme un bébé bercé doucement par ce loup du fleuve. Mais au matin, tout rebouge encore au réveil et ca vous remue sérieusement l'estomac. J'ai décidé de rester avec lui toute une journée toute seule à tenter de travailler sur ordinateur pour faire mes articles. Après un bon café et la sérieuse intention de m'y mettre,  je me suis installée à l'avant. Grave erreur, je me suis appercue très vite à fixer l'écran qu'un mastaudonte venait de passer et sincèrement ca fait un drole d'effet. Difficile de se concentrer, ensuite on comprend qu'il faut remonter dans le carré car l'avant bouge de haut en bas très sérieusement. On se sent alors bien impuissant de ne pas pouvoir continuer à écrire ne serait qu'une phrase de plus mais au final ca n'est pas bien méchant. Au moins 50 dinausaures d'eau douce sont passés devant celui ou j'étais nichée.... Du coup,  j'ai rédigé ce que j'ai pu seulement. Le soir, tout reprend son calme et l'on oublie même qu'on à vécu dans la journée. Sinon dehors, il est vraiment joli de voir un collier de lumières perler sur la seine, elle paraitrait presque paisible. C'est vrai que j'ai passé 24 heures dans l'antre d'un ami que je n'oublierais pas. Un bateau à quelque chose de vivant et d'humain qui vous touche même si à coté de lui vous n'étes qu'une petite plume au gré du vent. Je garde en mémoire un clin d'oeil de l'avoir quitté en regagnant la terre ferme, en laissant l'homme que j'aime sur le quai derrière moi.

A peine réveillée, les yeux encore embués de sommeil, j'ai pris mon café puis consulté mes messages. J'ai travaillé tard et pour une fois, j'ai fais une gràce matinée. Rien de plus agréable que de se lever au gré du chant des oiseaux quand la terrasse est déja innondée de soleil. Mes pensées sont ici et ailleurs pas vraiment dans un ordre précis. J'ai passé une partie de la nuit à écrire, ce que je vois comme un exercice familier pour le journal. Un exercice qui m'amène à rencontrer des gens de tout horizon, agriculteurs, artistes ou même responsables politique. Un exercice qui est aussi le fil conducteur qui m'a permit d'avoir des contacts avec les gens de la région que je découvre depuis un an. Une région ou la nature prend toute la place bien différente de celle ou il nous reste trois brins d'herbe pour produire de l'oxygène. Une région ou les gens vivent à leur échelle sans superflus, sans en vouloir toujours plus et c'est ce que j'aime bien. J'ai la chance de faire modestement ce survol dans tous les milieux. Les gens restent simples et vivent au gré de leur valeurs et ils ont bien raison. A quoi sert l'ambition car pour la majorité au fil des siècles restera de toute facon totalement inconnue. A quoi bon bercer des idéaux qui ne correspondent plus à ce que nous vivons tous. La majorité des gens tentent de vivrent comme ils peuvent avec ce qu'ils ont, ici c'est tellement logique que cela en devient parfois même  surprenant. Je le vois bien dans le regard des gens que je photographie , comme une humilité à fleur de peau qui parfois avec l'émotion déborde d'une larme quand on s'interresse à eux. Quelque chose d'humain ce passe alors qui nous renvoie juste à ce que nous sommes et non pas à ce que l'on nous amène à devenir. Car ce qui m'interpelle au fonds ce sont les choix que nous décidons de faire pour construire notre vie. Certaines personnes n'ont jamais quitté le berceau de leur région tandis que d'autres ont eu besoin de tracer leur chemin comme on construit lentement une philosophie. J'avoues que c'est mon cas, le besoin de changer, de découvrir et d'avancer m'ont poussé à sillonné pratiquement la France entière et quelques pays voisins. Parfois en touriste ou en dilétante comme dirais mes amis, j'ai pris longtemps cette liberté à coeur. Avec du recul, j'ai seulement bougé un peu. Ce parcours m'a surtout permit une découverte en terme humain avant de poser mes valises ici. Cela ne m'empèche pas de penser à tous les gens bien que j'ai croisé, mes parents de coeur à Rouen et mon meilleur ami à Angers. Et oui beaucoup ne sont plus de ce monde déja peut etre ce sont ils ennuyés un peu trop pour en arriver la je pense à Cécile, Philippe et Jérémie, vous me manquez souvent. Toujours est il que je suis la maintenant alors que mon amour est de l'autre coté du Pont comme je le dis pudiquement. Ironie du sort que de m'appercevoir que j'ai besoin de mes petits oiseaux, de la mer et d'une véritable liberté autours de moi. Que je suis devenue sauvage au point de ne plus supporter les files de voitures ou tout le monde se suit comme une chaine humaine, par automatisme. Ou la végétation ressemble à quelques arbres qu'on à réimplantés au milieu d'une rue mais que personne ne regarde particulièrement. Un endroit ou les bruits sont incessants et que personne n'y prête plus attention. Ou les rues sont peuplées de passants indifférents qui ne se parlent plus et ne se regardent même pas. J'ai pourtant connue la banlieue, à Gagny à la bonne époque, et toute petite au bord de la Marne tout autrement. Chez ma grand mère s'était tellement joli autrefois.. Tout est devenu moche et franchement inutile si l'on en voit la qualité de vie des gens. Je ne dis pas ca pour toi mon irréductible qui est l'un des seul à avoir choisit une option plutot originale mais un soupcon contraignante. Il est honorable de ce battre pour préserver des valeurs, mais tout autours tout à changé de façon plutot effrayante. Loin d'être paisible, le béton à gagné sur les hommes, les rails sont partout pour les conduire dans un brouhaha assourdissant à leur lieu de destination. C'est ainsi que l'on conditionne les hommes et c'est ce que j'aime le moins. La vision d'une société malade ou les intêrets polluent insidieusement jusqu'au coeur des hommes.

Est-ce une perception de l'esprit quand le temps qui passe nous parait long... Oui biensur car tout provient de ce que l'on en fait. Tellement habitué à gagner du temps, à le rentabiliser, tout sauf à le perdre en général, tout nous parait bien dérisoire soudain quand les mêmes aiguilles de la pendule défient votre ténacité. Un temps qu'on aimerait ailleurs avec la personne que l'on aime, un temps que l'on trouve soudain d'une longueur impossible dans son quotidien. Le temps d'aimer est tellement court, tout passe trop vite alors que les heures sont les mêmes tout autours de vous. Le temps de se reprendre pour ne pas le voir passer les jours comme une épreuve. Celui de se dire qu'on est bien impuissant face à celui qui vous sépare. Juste le temps d'y réfléchir un peu .....

On m'a souvent suggéré d'écrire mes mémoires, promis je m'y mets bientot même si faudra prévoir quelques mouchoirs ... j'essaierais comme d'habitude d'employer le ton juste sans romancer car je vois pas le but ... de façon originale par épisode ... suspense non ce n'est pas l'histoire de causette à porter des seaux d'eau mais une histoire plus vraie que nature qui j'espère consolera des petits frères et petites soeurs de coeur qui comme moi on parfois été jetés aux lions.. à bientot donc pour un livre ouvert .... juste le temps de l'écrire en toute simplicité.... à bientot......

Lorsque je pense aux mots croisés, je ne fais pas allusion à ceux que l'on croise dans les grilles en trouvant des définitions plus ou moins casse tête. je pense aux mots que l'on ne dit pas. Ceux pour lesquels on laisse juste une vague définition en laissant le soin aux autres de trouver la bonne solution. On s'exprime souvent ainsi s'en s'en appercevoir alors que l'on devrait dire les choses de façon plus directe. Pourvu que dans quelques années on ne passe pas au rébus peut être un peu plus drole mais encore plus difficile à décoder. Je me demande des fois pourquoi l'être humain met autant de forme pour dire ce qu'il a à dire. Par pure délicatesse, j'en doutes fort car lorsque l'on sait lire entre les lignes la déception peut être exactement la même. Par souci d'autrui, je ne suis pas convaincue non plus et je pense même que c'est directement lié à l'image que l'on a de soi, comme la transparence n'est pas systématique. Peut ceux qui arrivent encore à me suivrent, bravo, la vous êtes très forts...Nous sommes les seuls animaux à utiliser autant de subterfuges pour communiquer. Et dire que nos braves animaux domestiques se fient sans rechigner à notre langage... Bref nous nous possédons l'usage de la parole pour la compliquer ensuite ou sophistiquer le langage ce qui revient au même d'ailleurs. On ne dit jamais à quelqu'un "toi tu es vraiment cul cul" on lui dira " tu es vraiment gentil" on ne dirat pas "tu es vraiment un débile profond" mais juste " je pense que tu t'égares". On peut dire que l'on pèse souvent ses mots car on anticipe le poids qu'ils peuvent avoir sur un individu. Un poids relatif d'ailleurs car certains sont déja des champions dans le domaine, imbattables on ne peut pas porter plus lourd. Qui plus est le poids de la connerie ne fait pas peur à un imbécile, il à l'habitude ... Mais n'allons pas jusque la car c'est vrai que la franchise peut faire mal alors on pèse encore ses mots pour ne pas ajouter le poids de l'humiliation à celui de la bétise déja très pesante de nature. C'est ce que l'on appelle civilisé voire diplomate dans certaines postures on se demande comment on peut garder un tel bordel dans une seule tête. J'exagères toujours mais j'adores ca car je dis toujours de toute façon qu'il faut toujours éviter de fréquenter plus con que soi. Certes, c'est un peu égoiste et prétentieux mais tellement plus confortable. Il faut dire aussi que j'adores grossir les choses à la loupe même si ca n'apporte rien de précis....

On attend toujours quelque chose dans la vie même si, le temps nous parait plus ou moins long et que l'on s'occupe l'esprit. On s'organise, se mettant à l'abri à l'ombre de la patience. On vit le cours de sa vie en tenant compte des priorités qu'on à préalablement sélectionnées comme les plus importantes. De toute façon, les priorités ne laissent que peu de place pour des choix éventuels, quelques passe temps tout au plus. En reprenant une expression que je ne connaissais pas encore "haut les coeurs" , ce qui veut dire courage, allons y gaiement.. Décidemment la langue Française recèle bien des surprises singulières. L'attente est donc l'amie sans faillle de la patience. Cela étant, lorsque l'on à compris pourquoi bien entendu. Il ne faut d'ailleurs pas confondre patience avec passivité qui n'à rien à voir. La patience se cultive comme l'intelligence car elles sont de la même famille. En espérant que l'une des deux ne me fasses pas faut bon et heureusement dans notre vie nous ne sommes pas tout le temps dans l'expectative mais plutot les deux pieds à terre. Tant que l'on ne se retrouve pas un genou à terre tout va bien. L'attente et la patience sont petites cousines avec la maturité, on apprend à les apprivoiser, à les nourrir, en les laissant murir dans son esprit... Tout cela n'empèche pas d'être bel et bien actif et auteur de son existence et de garder une part de spontanèité et de réactivité.

J'ai touchée le marbre froid qui recouvre ta dernière demeure, toi qui était si chaleureux. Visite déchirante à un ange, tu as déployé tes ailes pour t'envoler au loin. Pour moi tu n'est pourtant jamais si loin, quand je sents ta présence. Tu n'aurais pas voulue que je sois à genoux devant un bloc de pierre si froid qui jamais ne te ressemblera. A toi mon ami, toi mon petit frère, la douleur est encore vive d'avoir vu filer ta vie entre mes doigts. Les larmes n'useront jamais les souvenirs ou tu étais si joyeux et c'est encore le coeur bien malheureux que je tourne les talons. Rien ne te ressemble ici ou se conjuge seulement la douleur mais je garde en repartant le bonheur aussi de t'avoir connue.

Merci à tous mes visiteurs réguliers, ca votre présence surtout la nuit, bande de couche tard me touche beaucoup... Peu importe l'heure ou le moment, l'important est de se croiser quelque part pour avancer ensemble. Bientot le seuil des 20 000 visites ... merci....

L'homme de sa vie n'est pas n'importe quel homme non loin de la, il est celui qu'on attendait. Avec lequel on a des points communs sans avoir besoin de les énumérer. Avec celui aussi ou l'on partage une alchimie sans même la chercher. Celui qu'on comprend instinctivement, celui qui nous ressemble quelque part. Merci à la loi du hasard de m'avoir permit de le rencontrer....

L'amour ressemble à la plus jolie des poésies ou les pensées s'enchainent en vous soulevant le coeur. J'avais presque oublié combien il était agréable d'avoir comme une petite musique dans la tête parfois, quelques notes qui vous troublent... J'ai peut être pas connu souvent ce sentiment ca doit être ca, je suis surement passé à coté. Peut être pas à l'écoutes, peut être sourde à ses émotions. Mais quand une véritable histoire se dessine alors on voit aussi les choses différemment. Son regard se porte plus loin avec plus de tendresse... Je crois que j'avais vraiment besoin au fonds de moi de savoir que ca existe, que ca n'arrive pas qu'aux autres même si un ami m'avait dit un jour que quelque part une étoile ne brille rien que pour toi. Une poésie qui rend plus fort, qui rend plus sur de soi aussi faut il juste y être sensible moi qui ne croyais plus l'être. A toi l'être cher auquel je pense merci de m'avoir ouvert les yeux et le coeur aussi. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour garder la plus belle des histoires gravée au fil du temps, à tes cotés...

Je n'ai que mon coeur comme unique écrin pour t'offrir l'amour que tu mérites. Comme un joyaux précieux, j'espère qu'il brillera à tes yeux pour l'éternité. Comme l'unique fidélité, il est pour toi à ton image, aussi beau que je saurais pour toi être sage. Comme un cadeau de la vie, une chance qui nous sourit, je le donne à toi seulement pour t'aimer jusqu'à la fin des temps.

Plus le temps passe, plus je pense à toi, coté pile l'autre face seront toujours comme toi et moi...

Certains pensent que les femmes sont plus compliquées que les hommes... c'est en partie vrai mais en partie seulement, en apparence. Une femme s'exprime tout simplement plus enfin moi oui tous ceux qui me connaissent pourraient vous le dire ( c'est ce que l'on appelle une parenthèse inutile ). Bref, plus compliquées dis ai je... Les apparences sont parfois trompeuses de toute facon chez les hommes et chez les femmes aussi. Pour bien connaitre quelqu'un il faut tout d'abord prendre le temps de la connaitre et ce temps la se réduit de plus en plus comme peau de chagrin. Peut etre la concurrence déloyale des sites internet ou beaucoup d'hommes peuvent rencontrer une femme ou tout du moins l'espérer moyennement un abonnement mensuel d'un billet violet au moins. Donc dis ai je ( j'aime bien faire cette faute d'orthographe la ) tout va plus vite aujourd'hui vite jugé ou vite conclut. Je ne dis pas cela non plus pour les personnes que j'aime qui comme moi ne portent pas de jugement mais tentent de découvrir vraiment quelqu'un de facon sincère. Peut etre l'effet de la crise aussi car quand des kilomètres séparent ou le boulot, on ne peut pas toujours en faire qu'à sa guise mais on se plie au possibilités qu'on a. Le souci c'est que les hommes comme les femmes deviennent de plus en plus méfiant.. ce qui veux dire si on es honnète exigeant. Alors que le véritable amour et moi je suis sure qu'il existe ( j'en suis la preuve vivante ) ne repose aucunement sur les circonstances pour exister raisonnement que l'on s'imagine trop souvent. Si ca continue on sera les rois de la remise en question on mettra deux ou trois ans pour se connaitre, quatre ou cinq pour avoir une relation stable et sept ou huit pour envisager de vivre ensemble. Le problème faut s'y mettre très jeune et dans quelques années en extrapolant à la sortie de la maternelle. Je m'égare un peu... Mais j'ai raison de penser que de moins en moins de gens acceptent de se compliquer la vie c'est à dire s'investir vraiment. Fini la passion on prend son agenda, on consulte son compte banquaire, on réfléchis et au final on reste chez soi ( j'exagères volontairement ). Il est ou le temps ou on envoyait tout balader pour suivre son bonheur, ou on révait avec des bouts de ficelle sans avoir besoin de rien d'autre que l'étincelle qui brille au fond des yeux ( la aussi j'avoues c'est limite). On veut tout mais pas trop vite surtout faut pas faire tomber ce que l'on a construit seul comme un chateau de carte.. Un chateau de carte en effet car aujourd'hui bien des choses sont éphémaires le boulot et tout le reste. On a une vie qui bouge plus, tout s'accélère et pourtant on prend de plus en plus de précaution pour aimer. C'est peut etre le résultat aussi de la maturité de ne plus s'investir de facon passionnelle ou est ce un privilège que de pouvoir tout recommencer à deux... C'est bien ce que je disais un homme réfléchit autant qu'une femme sauf qu'il n'en parle pas. Pour savoir ce qu'un homme pense faut avoir sous la main des charbons ardents ... c'est peut être plus sur. A l'aube ou l'on nous prèche la communication, la transparence bien c'est pas gagné. Bien sur je dresse des tableaux extrèmes mais je suis sure que certains ou certaines reconnaitront des détails. La femme serait donc celle qui s'exprime le plus actuellement. Pour ca souvent elle peut etre a coté de la plaque, dans la certitude ou l'interrogation ou encore la réflection. Elle essaie au moins de tisser une communication et une certaine complicité. Mais tout ne réside pas la non plus, il faut il est vrai prouver qu'on aime vraiment et qu'on est celle que l'homme qu'on aime attend. Exercice difficile que d'être amoureuse et pas besoin de régime, c'est sur vous perdrez quelques kilos.. L'art des complications fait partie de la vie car rien n'est jamais gagné d'avance mais il est tellement plus simple d'avancer pour partager ensemble des moments de bonheur en enlevant le doute, les objections débiles les barrières bétes et méchantes et tout ce qui va avec... ( juste un message perso si tu passes, je pense encore et toujours à toi... )

Le regard, comme le miroir de la pensée

si pétillant parfoir rien qu'à l'idée

de voir naître en vous toute ces choses

Le bonheur comme un bouton de rose

Le sourire comme le soleil de l'àme

ravive en vous cette belle flamme

des jours heureux sans se soucier

de toutes les douleurs du passé

L'amour comme une éclipse à la mémoire

pour ce bonheur, il faut y croire

ne serait-ce qu'un instant

pour le garder au fil du temps

Comme un blessé du coeur

Par bien des erreurs

J'avoues j'ai pas trouvé comment les effacer

Encrées dans ma mémoire elle restent gravées

Passant du blanc au noir sans rien oublier

J'ai comme le vague à l'ame, j'ai bien déconné

Pour une simple histoire, un bout de passé

J'ai pas toujours compris ce qu'il fallait faire

Quand tout dans notre vie partait de travers

J'ai pas toujours su comment me comporter

Quand tout dans notre vie devenait compliqué

J'ai comme le vague à l'ame quand j'y pense ce soir

Mélange  abus d 'alcool, j'aurais pas du boire

Je n'ai  pas toujours su comment agir au bon moment

A chercher les raisons  du  pourquoi du comment

Lorsque l'on se sent seul que l'on compte les jours comme s'égrainent lentement les heures à la pendule. Je pense par trop de foi à cette solitude en écoutant de la musique, comme s'égrainent les notes au fil de mes pensées. J'écoutes un concerto sombre comme ces moments de vide mais mon esprit ne s'égare pas. On m'a dit souvent que j'étais triste, pas du tout. J'ai juste toujours pensé que la nostalgie vous tient juste à coeur comme une sorte d'émotion. Que ces moments passés ne mentent pas emprunts de sincérité. On peut avoir autant d'émotions en contemplant une toile de maître en saisissant l'aura qu'elle dévoile ou encore écouter de la grande musique. D'ailleurs qui en écoute encore moi j'aime car elle soulève en moi une foule de sentiments qui me touchent. Ca doit surement provenir de mon grand père, professeur au conservatoire de Paris. Quand j'en écoutes je pense parfois à lui en me disant qu'elle chance il avait d'avoir un don aussi précieux que d'être un virtuose. Peut être lui aussi on le trouvait triste. Moi je me retrouve dans la peinture, dans l'écriture et la musique. Je pense même que les trois ont un lien, quelque chose en commun, surement la passion. J'aime le son triste du violon, la résonnance d'un piano, cette nature profonde que révèlent les instruments de musique. Je me demande ou les Vivaldi, Haydn, Hendel... allaient chercher leur génie. Les grands morceaux classiques n'évoquent rien pour certains moi ils me parlent... certains même me touchent au plus haut point. Au moins j'aurais trouvé une harmonie dans un moment ou je me sents seule ce soir.....

Parce que j'ai compris qu'aimer c'est un sentiment précieux, alors je pourrais te donner tout ce que je possède de bon en moi. Parce que j'ai envie de me retrouver dans tes yeux alors de tout mon coeur je ferais en sorte que tu sois heureux. Parce que je sais que cette réprocité est synonyme de complémentarité alors pour une fois je n'ai pas peur. Parce que sans toi les jours sont trop longs aussi, qu'il ne semblent plus pareils. J'ai attendue si longtemps que je ne saurais compter encore les jours qui nous séparent. Une véritable histoire qui traverse le temps. Si nous étions au moyen age, alors je t'aurais peut etre écris des mots en vieux francais dans un style romantique. Une génération plus tard j'aurais peut etre eue peur de te perdre et j'aurais tout tenté pour que cela n'arrive pas. Aujourd'hui alors que l'on pourrait croire que rien ne nous sépare, quelque chose nous impose encore la distance. Une distance qui prendra fin je l'espère pour que nous puissions nous retrouver et avancer ensemble. C'est bien la première fois que mes écrits sont aussi romantiques. La raison est surement que je n'ai pas ouvert mon coeur avant ou alors pas au bon endroit. La passion je suis née avec dans tout ce que je fais peinture musique ou encore écriture. Et c'est bien pour toi que je veux graver mes sentiments en lettres d'or. Des lettres d'or qui te diront je t'aime passionnément. Je sais la vie n'est pas facile mais peut importe quand on es assez fort pour se protéger mutuellement. Je pense que nous avons attendus assez longtemps pour saisir notre chance. Je pense aussi que nous sommes capable de construire l'harmonie qui nous manque. Celle qu'on à pas connu en frappant à la mauvaise adresse, celle qu'on nous à pas donné même en y mettant du sien. ...... je pense fort à toi........

Petite photo

Etre amoureux s'est parfois avoir du mal à controler ce que l'on dit, je le sais par expérience. Ce sentiment déstabilise totalement même l'individu le plus ancré sur terre. C'est la raison pour laquelle on es un peu dérouté. On voit les choses d'une certaine manière car on à tendance à se faire une raison dans le célibat et puis soudain on est comme sonné, on perd le fil de ses raisonnements. Des raisonnements qu'on à mit des années à construire, basés sur son expérience et tout à coup on ne sait plus. Drole de sentiment que l'on ressent quand ca nous prend au ventre et que ca nous accapare ensuite l'esprit. Cela ne m'est arrivé qu'une fois auparavant. A l'époque, j'avais monté un projet pilote dans le monde de l'automobile. Un peu débordée par mon activité, je passais quand même un peu de temps à tenter de lier des connaissances nouvelles. J'ai croisé quelqu'un dans la loi du hasard et ca m'a fait un drole de sentiment. Je ne voulais pas céder à une certaine dépendance car je n'en avais pas le temps et qu'il faut bien le dire, je n'en avais surement pas trop envie. J'ai donc agis à l'inverse de ce qu'il aurait fallut, trop braque, trop franche et trop crue surement. Du coup bien, je l'ai surement blessé un peu, je n'ai rien construit avec mais on à gardé un lien épistolaire pendant onze ans. Je n'ai eue de cesse que de m'excuser et de me mordre les doigts à avoir rejeter sans connaitre, blessé par honnèteté mais même à distance il me connaissait mieux que personne...Ayant compris la lecon, maintenant j'assumes pleinement ce que je ressents.

Les histoires qui tournent mal ou l'écho des ex qui résonnent encore dans une vie bien des années plus tard. Je n'avais pas pensé à tous ca il y à peu de temps encore mais pourquoi pas y réfléchir après tout. Il est évident que les histoires qui tournent mal ne doivent pas être forcément facile à vivre comme une sorte de piège dans la vie. Une abime ou l'on peut perdre bien plus que son temps, ou l'on peut même se perdre un peu soi même. Je le concois aisément car je n'ai pas eue cette malchance tant j'ai tout fais pour l'éviter. Je pense d'ailleurs que les femmes ont plus de détachement face aux situations complexes et plus de facilité à prendre du recul. Les hommes et les femmes sont ils finalement fait pour être ensemble, même si cette pensée fera bondir les pro défenseur du couple uni. Oui surement dans le cas ou on a des objectifs communs beaucoup de complicité et une faculté à être souple moralement parlant sinon c'est pas gagné. Tout d'abord et évidemment on pourra penser que c'est une question de vécu, de caractère et d'attente bien sur. La condition de la femme à évoluée aussi, la femme évolue, réfléchis, se remets en question et effectivement si elle est en pleine construction personnelle, ca ne devient pas simple du tout. Mais chacun fait ses choix accepte ou pas telle ou telle circonstance. La encore dans la société du chacun pour soi on à pas tendance à mettre les mains dans un nid de guèpes ce qui semble à priori assez normal. Les femmes ont à la fois besoin de stabilité affective mais aussi de se réaliser et ce n'est pas toujours facile. Moi j'ai pris du plomb dès le début, ca m'a juste appris à courir vite, à rester dans mon coin à réfléchir, à peindre, à écrire, à aimer cette liberté de ne pas souffrir pour rien. Je suis plus dans l'observation que dans l'implication depuis lontemps. J'ai eue peu d'histoire d'amour mais elles resteront dans mon coeur pour toujours. Je dois avoir une facon de voir les sentiments de facon littéraire à croire. La vie ne m'a désarconner que trois fois seulement dont la dernière fois, il y à maintenant trois ans. Bref, je disais donc que souvent les femmes ont besoin de stabilité affective et que ce sont les hommes qui en font les frais bien évidemment. Je parles bien sur des femmes qui ne se sont pas réalisées totalement de façon personnelles, des instables, des bohèmes et dans le genre, il est vraiment des histoires hors du commun. Comment ensuite se réàliser dans un couple, moi personnellement, je n'y crois pas. Bien sur on dira aussi que s'est une question de dialogue mais faut il déjà parler le même langage ou tout au moins un langage commun pour ne pas être rapidement dans la mécommunication. Autrefois les échanges étaient plus restreints, de part les conditions de vie. A quelle heure on mange et du style tu rentre quand.... les relations limitées par les obligations. Aujourd'hui la liberté est plus grande mais elle nous sert à quoi, les relations plus construite et le système plus compliqué. Et je peux le dire aux hommes, la différence pour connaitre une vie paisible c'est que sa femme soit en paix intérieurement face à ses choix, à ses doutes ou ses attentes. Toutes les femmes qui doutent de la vie qu'elle mènent deviennent épouvantables ce qui arrive aussi à la gente masculine d'ailleurs. Il faut avant tout prendre garde à la compatibilité avant toute chose et surtout avant de se lancer dans quoi que ce soit corps et ame pour une histoire dite durable. Pour une femme pour éviter d'être décue, car toutes les femmes en demandent bien plus que les hommes. L'homme évidemment aime pas trop subir car on peut le dire dans certains cas de figure. Pétages de plomb, chantage, certaines ne sont pas à court d'idée pour se rendre la vie infernale. Mais contrairement aux hommes plus elle aime plus elle devient chiante alors que l'homme se pose à la majorité des cas. Une femme à des besoins beaucoup plus philosophiques car c'est l'essence même de sa propre vie. Elle veut être unique aux yeux de l'homme qu'elle aime donc être finalement rassurée en permanence sur ses sentiments. C'est une accroc des preuves d'amour. Elle à besoin d'être amoureuse et d'être impressionnée par l'homme qu'elle aime qu'elle projète dans sa vie comme un personnage de film et pas de celui en slip polichinel. La femme est une amoureuse née. Plus égoiste que l'homme en apparence et dans son comportement, elle sait aimer vraiment car elle creuse en permanence l'essentiel. L'homme à du mal quand à lui à se remettre de ses blessures affectives. La raison est souvent que ce ne sont pas des blessures franches mais des griffures quotidiennes qui font beaucoup plus mal encore au fil du temps. Elles ne se voient pas mais sont belles et bien douloureuses. Loin de vouloir faire mal certaines en font quand  même. Heureusement pour moi, je l'ai compris il y à bien longtemps et je maitrise bien le petit lion féroce qui est en moi. Il est surtout conseillé aussi d'évoluer ensemble dans une relation pour éviter ce genre de choses, d'être sincère ouvert et fidèle dans son comportement. D'aimer à en savoir comment protèger, d'aimer à en savoir que l'amour est précieux. Le vrai celui qui refait le monde et quand je pense à cela je pense à ceux que j'ai perdu, mes anges qui ont quittés le pays des démons... Je leur envoies souvent un clin d'oeil c'est con d'avoir compris quand il est trop tard... bref, l'homme prend souvent sur lui, un peu trop d'ailleurs s'en va pense avoir mit un couvercle sur une histoire douloureuse et sur les incohérences du passé. Mais pour autant elle n'ont pas disparues et sont bien présentes dans un coin du cerveau, en fait l'homme n'oublie rien. Nous non plus les femmes on oublie rien quand on croise un menteur, un paumé ou un salopard qui s'ignore encore mais on range les souvenirs dans une boite, on met le type avec et en général, il fait partie des erreurs de parcours, sans plus. On analyse peut être un peu plus, et c'est peut être pour ca qu'on à un coté chiant plus développé que les hommes. On voit peut etre plus vite qui on a en face de soi et si ca colle pas on prend plus de recul pour fuir la situation bien vite, enfin j'espère. Il faut dire aussi que son vécu est primordial ainsi que son éducation. Si l'on se comportait tous de façon instinctive, il y a de grandes chances pour que nous soyons pire que des animaux. Ce qui nous amène à faire la part des choses est la volonté que l'on à de créer des liens solides, de partager des expériences durables au prix d'en oublier les discours sordides qui ne mènent à rien. Homme ou femme il faut être véritablement nourrit par la volonté de comprendre l'autre. C'est vrai, je suis moi même célibataire et ce trouve bien la les raisons. Trop franche, je dis la vérité comme elle est, trop sentimentale, de destabilise, je fais peur et je suis souvent la bonne copine, la femme de personne. Mais je ne caches rien de mes soit disant défauts, si on ne me comprends pas peu importe. Un petit coup de canif n'est pas non plus un coup de couteau et à force j'y suis presque habituée vivant avec ma solitude qui est devenue comme une amie et mes soit disant amitiés comme des copines. Je ne vais pas implorer le ciel pour qu'on m'aime comme je suis non plus. Je dirais même qu'a la liberté de ne pas souffrir plus que ca on s'habitue même si j'ai eue la chance de passer au travers jusque la. J'ai fais le choix de ne pas faire n'importe quoi, de ne pas passer à coté de la personne qui m'attend quelque part. De ne pas blesser et de ne pas m'incliner devant n'importe quoi. Il y à quand même des gens intelligents qui ont aussi du coeur je vous rassures... il ne faut seulement pas passer à coté sans les voir....Le bonheur existe j'en suis convaincue, je continue juste ma route avec pour seules armes mon sens de la déduction en espérant que mon intelligence fera le reste.....

Je viens de me dire qu'exprimer sa colère dans le silence de la nuit ce n'est pas si bête. En premier lieu car écrire ne fait aucun bruit ca peut faire juste un peu mal quand on y pense mais ce n'est qu'à ce prix que restera noir sur blanc des instants, comme des souvenirs. Une facon de se souvenir des moments qu'on à passé à réfléchir car il le faut bien et qui nous laisse juste un peu d'amertume et une larme naissante lorsque l'on relis. Dans le silence c'est idéal, on peut mieux comprendre sa colère, la retenir ou bien l'exprimer avec des mots cela vaut mieux que de lancer les paroles en désordre sans les retenir. Des mots cassants qui vous font en fin de compte encore plus de mal à soi même qu'à ceux qui sont passé à coté de vous sans vous voir ou pire qui vous ont marché dessus sans y préter attention. Voila cette colère dans le silence de la nuit, celle ou on vous à fait mal pour rien, gratuitement en ne trouvant pour toute explication qu'on ne prévoit rien dans la vie. On ne prévoit pas de blesser, ni d'ignorer, ni de laisser dans la douleur du silence quand on ne dors pas. Bien sur que la colère ne dure pas même si l'on trouve que la douleur gratuite n'est vraiment pas digne de quelqu'un de bien, elle s'estompe avec la compréhension, en se donnant des excuses et en ce disant que ca aurait pu nous arriver même si ca n'est pas vrai. Je viens de prendre une claque en fesant la connaissance de quelqu'un avec qui je pensait partager de la complicité. Peut de temps après bien le silence et que des questions qui me venait à l'esprit. Ce soir en rédigeant ce texte m'est arrivé un ou deux messages d'explication. Je paie les conneries d'une ex. Je pourrais me dire que des fois j'ai pas payées les miennes autrefois mais je n'en ai pas envie. Pourtant, je ne suis pas méchante et quelqu'un de compréhensif la majorité du temps alors on va dire que j'ai compris même si ce n'est pas vrai non plus. Le temps fera son oeuvre et me fera oublié ce en quoi je voulais croire à nouveau et mon intelligence fera le reste. Car je ne suis plus du genre à être la ou je ne suis pas attendue moi qui révait d'une belle histoire, la vie me parait bien compliquée cette nuit. Pendant ce temps le pire est que quelqu'un d'autre dors sur ses deux oreilles, alors que moi je veille encore à cette heure ci.....

Quelqu'un m'a dit un jour, "simple ne veut pas forcément dire chiant". A méditer.... Mais finalement qu'est ce qui est vraiment simple.... Une ballade au bord de la mer, en forêt pour passer le temps... Toujours est-il que tous seul ou mal accompagné ce peut vraiment finir par être chiant c'est sur. L'homme peut-il anticiper à ce point? je pense que oui et heureusement. Mais revenons à l'essentiel, la vie n'est pas du tout simple car nous oublions trop souvent des moments qui coulent de source dans la simplicité. Nous avons tant d'impératifs, travailler, réussir, être heureux en amour, regrouper toute la panoplie du grand chanceux. Mais tout cela est-il une évidence bien sur que non et s'est en cela que les choses se compliquent parfois ramer en gardant à l'esprit que le plus agréable est de baigner dans la douceur de vivre n'est pas forcément aisé. Faut-il encore la trouver un jour. Moi qui suis née de passions pour en connaitre la quiétude, je ne vogue pas non plus sur un long fleuve tranquille mais plutot dans une vie que je traduit comme une aventure. Heureusement pour moi, je n'ai pas toujours les pieds sur terre car sur cette terre règne bien plus de cruauté que de simplicité à travers le coeur des hommes. Je ne le vies pas non plus comme une douce amertume, juste une pensée qui m'en traverse l'esprit au moment ou j'écris. Le célibat doit surement apprendre à rester un peu plus sur ses gardes, pas forcément dans la réserve ce qui n'est pas vraiment la même chose. Pas toujours facile de desserrer les dents d'être insouscient et aimable en deux mots rester crédule. Surtout dans une société du chacun pour soi ou l'on calcule avant de partager, ou l'on analyse avant de ressentir, ou l'on réfléchis avant de s'investir. Oh plénitude des jours à deux ou est tu cachée, comme tu me semble loin.. Mais revenons à la question simple ne veut pas dire chiant... A vrai dire, ca dépend de ce que l'on à vécu car je ne crois pas un pilote de formule 1 se contenterait d'une fiat uno toute sa vie. La question reste donc ouverte à ses passions, ses préférences, car je ne vois pas non plus Paul Bocuse manger de la purée jambon à tous les repas.. Il est vrai qu'un peu de piment ne nuit à personne sans tomber pour autant dans l'exotisme absolu. Il me vient à l'esprit à ce sujet que la nouvelle mode est de manger d'ignobles saloperies. Les gens dégustent à présent des vers qui gigottent ou encore des insectes qui craquent et éclatent sous la dent. Pour ma part, je ne suis pas du tout tentée, bref, surtout pas découvrir d'autres cultures à travers des trucs dégueulasses. Mais chacun ses passions, oui de ce coté la restons simple. Ca me fait penser aussi aux nouvelles tendances sexuelles, la encore, je suis pas branchée du tout dons je dirais encore restons simple. Mais rester dans la simplicité sans se faire chier, c'est un des exercices les plus difficiles je pense. Déja car on ne choisit pas toujours les circonstances et ensuite car il faut préserver certains détails bien désuets face au monde moderne. Fini, plus de cheminée on a internet, plus de bons moments ensemble on à la télé.... Reste le bord de mer la musique, ses passions tous ces moments ou rien est nécessaire et tout est important. Car l'expression de la mode depuis une dizaine d'années, la prise de tête. Expression que j'emploie rarement à conjuger, je me prends la tête, tu te prends la tête, nous nous prenons la tête, ils se prennent la tête... En gros, il faut avoir que ca à foutre. Plus étonnant, c'est que dire "ouais moi je ne veux pas me prendre la tête" est finalement bien égoiste. Ca veut dire que l'on à de faibles limites à s'invertir vis à vis d'autrui sans même le connaitre. En gros, un con égoiste est parmis nous car qui défini vraiment ce que nous allons faire pour l'autre sans le connaitre? Bien, personne sauf un con en affirmant sa connerie et son égoisme naissant. La non plus rien de compliqué même simple mais vraiment chiant comme quoi tout est relatif et les raisonnements sont justes quand il semblent vrais les trois quart du temps. Alors simple ou chiant, un choix à faire en fonction de chaque situation. Et vous, trouvez vous qu'est ce qui est simple et chiant ou l'inverse ?

En mon ame blessée je ne fus pas comprise, en ma vie écorchée j'ai eue mal quelques fois

Comme un poids sur le coeur pour n'être pas soumise, une peine soudaine que personne ne voit

Mes sentiments transparents comme du cristal devraient pourtant briller de mille feux

Mais ils consument dans le bien, le mal, dans le vide de ne pas être heureux

L'amour est ce que l'on peut avoir de plus précieux dans une vie. Comme une perle rare, aussi pure qu'un diamant il brille à jamais dans le coeur des hommes.     Je l'ai croisé peu de fois mais il scintille encore dans ma mémoire comme au premier jour quand le coeur s'emballe d'un coup pour une raison que vous ne connaissez pas. Oui l'amour existe, celui qu'on attend plus, celui qu'on attend pas. Nulle formule ne peut permettre de le croiser mais il est la. Moi qui suis née ainsi amoureuse de la vie, passionnée par ce qu'elle vous offre je reste bouche bée devant ses instants ou on oubli tout. Tout ce qui fait notre vie, car le regard se pose sur un autre regard. Comment définir ce sentiment quand le souffle coupé tout vous semble facile. Comment garder précieusement ce bonheur sans vouloir trop le garder. Surement à le vivre sans trop y penser. Mais pour les amoureux nuls ne peut se lasser de ce cadeau précieux. La vie est capricieuse, l'avenir incertain mais une chose est sure en se tenant la main on est plus fort, on va plus loin.

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Il est 2h du matin et je ne trouve pas le sommeil.. c'est vrai que pas mal de choses me tiennent éveillée comme le fait de partir encore dans une région que je ne connais pas. Le fait aussi de retrouver un nouveau travail, une nouvelle équipe, une nouvelle  mission.. C'est vrai que ma vie est riche du coté découverte car j'ai toujours bougé mais d'un autre, il me manque tellement les attaches que je n'ai jamais eue, la continuité de quelque chose ou envers quelques uns. Non au lieu de parler de cela je reprends la route en gardant pour moi le poids des valeurs que la vie ne m'a jamais donné. Comment ensuite créer une relation durable car le durable je ne sais meme plus ce que c'est tant et tant de fois les remises en question ont été necessaires pour tracer ma vie. Je ne manques pas non plus de rebondissements et à force de partir certains doivent croire que je ne m'attaches a rien. Biensur que si et ca fait mal de tourner le dos quand on ne peut faire autrement c'est dur d'avancer sans pouvoir ne serait ce que d'attendre  que les autres bougent aussi c'est difficile de reprendre sa route quand personne ne vous attend mais je ne connais pas l'apitoiement car c'est une donnée qui m'est étrangère je ne connais pas non plus le fait de se plaindre pour des éléments contre lesquels ont ne peut rien. Après tout l'intellience n'est t'elle pas une des conséquences de s"adapter tous le temps.. le contraire de ceux qui ne bougent jamais sans se poser de questions dans des habitudes qu'ils ne remarquent meme plus. J'avoues je préfères encore ma vie car j'y retrouve mes valeurs celles qui forgent une vie comme je la souhaites remplie d'histoires presque insolites qui ne se ressemblent jamais. Découvrir et toujours aller plus loin dans un monde ou l'on fait ce que l'on peut pour trouver la sérénité. J'ai toujours vécue ainsi car dans ma vie le peu que je possède c'est une sacrée faculté a changer les choses. A aimer aussi au moins a etre humaine..Aimer un jour peut etre le serais je quand quelqu'un verra derriére le miroir de mon existence qui je suis au fonds du coeur.. quelqu'un de seule et d'entourée a la fois qui ne sait pas donner a force de perdre ce que je pensais pouvoir garder pour moi..

Parfois il me vient le goût d'écrire, c'est tellement plus facile que de parler pour moi qui cherche toujours mes mots  de peur de prononcer des paroles que je pourrais regretter amèrement ensuite. Chercher ses mots pas si facile cela quand tous ceux que tu entend nous heurtent les oreilles, lorsque ta vie se complique véritablement..Bien sur rien est facile pas même de penser correctement parfois. Ces mots si doux que l'on aimerait entendre reviennent en mémoire comme des cris aigus et la impossible de rassembler les éléments d'une phrase cohérente tant sonne encore aux oreilles les paroles acides. J'ai toujours pensé que les paroles pouvaient faire mal quand elles sont prononcées avec un tel irrespect que quelque part on est bien stupide d'en écouter autant. Jouer sur les mots tu parles d'une expression aussi presque aussi stupide que ceux qui croient avoir la finesse de croire qu'ils sont droles. Reste les paroles trop dures que l'on oublie pas elles restent gravées et laisse au coeur autant de cicatrice qu'une blessure refermée il y à longtemps. Les paroles banales qui font dans notre quotidien comme une douce musique la preuve beaucoup ne peuvent plus s'en passer faut il croire qu'elles rassurent par leur banalité, qu'elles consolent comme une habitude. Qu'elles confortent face a toutes celles plus maladroites méchantes injustes ou débiles tout simplement. Au combien le silence est préférables aux paroles inutiles mais le pire encore est que l'on en appercoit même  pas. On prone la communication dans un monde ou les gens se parlent de plus en plus mal comme si le signe d'etre indifférent ou vulgaire était le signe manifeste d'une intelligence quelconque. Pour cette raison, quand il ne reste qu'un stylo, un papier ou encore un clavier aussi pour évacuer ce qui raisonne encore au fond du coeur alors c'est un calme bien réparateur que d'utiliser les mots pour mieux les oublier.

Comment ne pas se poser de question quand on ne comprends plus quand on a ouvert son coeur sans arrère pensée.. c'est bien difficile.   Je me suis vraiment dis qu'il fallait que je mette sur pause pour comprendre car ça fait déja des années que je vies des déceptions et j'en suis parfois fatiguée. La vie est belle s'est vrai mais dans la nature car la nature humaine recèle parfois vraiment des cotés tordus. Pas facile de voguer dans l'ignorance rien de pire que celle qui vous tiraille le coeur quand celui ci c'est emballé trop vite. On ne sait plus que croire et pourtant il faut bien se protèger des prochaines déceptions. J'ai donc décidé de faire une pause nécéssaire car me battre tous le temps sans prendre de le temps de voir ou en est ma vie ca ne va pas. J'ai une curieuse tendance je l'avoues à être crédule, comme quelqu'un d'entier qui à le coeur sur la main. Trop gentil, on se retrouve bien vite avec ce dernier en travers de la gorge. Pour vivre des aventures humaines on est souvent déçus. Peu importe j'ai toujours pensé qu'il fait froid si on sait mettre le nez dehors et de ce coté là j'ai bien faillie finir congelée dans ma vie. Bref, sept jours ce sont écoulés cette fois ci en brassant pour la plus part des éléments totalement incohérents. Une situation beaucoup plus compliquée que je ne l'aurais cru commencais a prendre des formes très troublantes petit à petit. C'est vrai que l'on se dit quel interêt on à à ce creuser la tête pour quelqu'un qui ne vous aime pas voire ne vous respecte pas. Quelqu'un qui vous à marché sur la tête, histoire de voir plus loin de regarder plus haut même si c'est bien inutile. Bien j'ai toujours pensé que de passer à coté des autres va très vite, parfois rien de pire que de passer à coté de la souffrance. Quelle idée de prendre sur soi pour que les autres nous marchent dessus je ne sais pas. Et pour la bonne mère Thérésa que je suis si ce n'est pas une insulte pour la véritable dévote, bien j'essaies de comprendre jusqu'au bout. J'ouvre une porte sur une histoire compliquée dont il faut retrouver les indices dans le noir total. J'ai bien une lueur d'intelligence mais elle ne sera pas suffisante pour éclairer les coins d'ombre d'une vie. Je marche dans l'obscurité d'une vie de l'inconnu en évitant les obstacles et pour ne rien laisser voir de mon passage comme une indiscrétion. Rien n'est facile d'autant que pour cet exercice il faut garder son équilibre. Voilà ou j'en étais. Jusqu'au soir ou j'ai recu un coup de fil..

Comme je le disais, je ne comprenais plus vraiment j'avais passé cinq jours de réel bonheur pour en arriver à être totalement perdue avec bien des questions en suspend..en résumé de la situation, j'avais connu quelqu'un sur un coup de tête partager des crises de rire avec lui dans le plus grand respect et la plus rien, aucune explication sur un silence qui me pesait sur le coeur comme une enclume. Je décidais donc d'en savoir plus bien sur ca aurait pu venir de moi et de mon profond désir d'être heureuse un jour mais je n'avais rien révé non plus. Je prenais donc mon courage à deux mains pour débarquer devant chez lui enfin chez ses parents plutot. Je me suis garée devant. En fesant un créneau, j'ai vu un homme et j'ai reconnu tout de suite son père. Je suis allée le voir en lui disant que je venais voir Mickael et il m'a dit il est la. Je l'ai pas vu de suite car il était dans sa voiture mais il est venu ensuite en me demandant quest ce que tu fais la j'ai du lui dire nerveusement devines je suis venue faire des claquettes dans ton coin. Je lui ai vite dis que je venais simplement parler avec lui. On était nerveux tous les deux et il avait sensiblement bu. Je n'ai pas réussi à communiquer avec lui ce jour la mais je sentais que quelque chose ne tournait pas rond dans son comportement. Déja je le reconnaissait pas il n'était plus le même nerveux plus du tout souriant alors que ca aurait etre moi qui aurais du etre dans cet état la. Il tournait en rond dans ces explications a fait semblant de partir voir des potes mais je lui ai dis que tétue comme je suis je ne bougerais pas de la sans des explications. Surement il ne s'attendait pas a cette réaction de ma part est revenu a sa voiture et la m'a dit une partie de la vérité. Il m'a notamment dit que la voiture derrière laquelle je m'était garée était celle de sa copine et la je suis tombée de haut.. bien sur qu'au début je ne voulais le connaitre que pour de l'amitié mais dans son comportement a mon égard il a été beaucoup plus loin par de belles promesses inutiles. J'aurais cent fois préféré ce jour la me casser une jambe plutot que le croiser ca aurait éte plus juste de souffrir. Je lui ai demandé ce qu'il voulait que je me casse sans jamais le revoir, il m'a dit non. De l'amitié, il m'a dit non aussi alors, sa mère est venue le chercher et comme ses gens la n'ont rien a voir avec cette histoire.. je suis partie.

Pendant une semaine je me suis tout imaginé surtout que notre complicité semblait naturelle cependant je ne comprenais pas tout de son comportement. Nous nous sommes vu le dimanche suivant car je voulais savoir ou tout cela pouvait conduire d'autant que certaines choses avaient été loin de me dire qu'il m'aimait qu'il était amoureux comme un fou de dire à mon fils que si nous étions ensemble il le considérerait comme le sien bref pour moi qui ai toujours été seule on se pose beaucoup de question d'autant qu'au fil des jours je voyais bien que je m'attachais à cette relation subite et peu commune d'une complicité immédiate. Le dimanche suivant ce n'était pas pareil on rigolait toujours autant mais je sentais qu'il y avait autre chose a comprendre même si je ne l'ai ramené que le mardi chez lui son visage en partant avait changé, je l'ai vu dans la voiture en lui disant au revoir. C'est aussi que je me posais des questions cat bien que partagant de la rigolade et que nous avons partager une certaine tendresse rien ne s'est passé entre nous je lui ai même dit que ce que nous partagions était plus important qu'un rapport sexuel car la rien n'était interressé une complicité pure sans but ni intéret quelconque. La semaine suivante j'avais moins de nouvelles et me posais plein de questions d'autant que j'ai bien vu que son comportement était bizarre. J'avais le numéro de sa soeur et je me suis prise en main pour lui poser directement la question. Elle m'a dit que ce n'était pas un salaud que parfois suite a son divorce il avait des périodes bizarres et que ca fesait un an et demi que s'était comme ca. Pas rassurant quand même mais bon on est rassurée au moins sur le coup de pas avoir été utilisée comme une conne. Les jours suivants pas une nouvelles quelques conversations insipides seulement. Je me suis beaucoup inquiètée et fais des recherches pour savoir ce qu'il se passait véritablement et certains me croiront vraiment débile d'avoir fait tous ca .. J'ai parlé à une amie de sa mère et dans la conversation elle m'a donné quelques indices supplémentaires pour en savoir plus. Tous ce sait tout se retrouve. A tel point qu'un vendredi j'ai trouvé son adresse..

Il y à parfois des histoires peu communes, des histoires qui vous marquent dans votre vie. Celle que je vais vous raconter m'est arrivé il y a peu de temps dans une période peut etre ou je cherchais peut etre a voir plus loin à répondre à des questions.. qui sait en tout cas le hasard est ainsi fait que l'on tire un enseignement des situations qui vous trouble le plus.. C'est la raison pour laquelle, je vais tenter de vous la restituer avec le plus de précision possible. Déja toujours est il que si elle amène à  la réflexion au recul c'est déja pas si mal.

Tout commence sur le fait que je me suis inscrite depuis quelques années sur un réseau social. J'y allais ponctuellement de temps en temps juste pour discuter dialoguer et avoir une autre perception de la vie que la mienne même si souvent ces passages n'apportent rien. Je trouve parfois le temps long surtout le vendredi ou le samedi soir et je m'amuse a visiter les profils afin de savoir à quoi ressemblent les personnes seules dans notre région même parfois plus loin histoire de... Je n'ai rien contre le dialogue mais souvent les sujets sont très vite banals et au bout d'un moment on déconnecte dès qu'on a répondu 10 fois au même questions que fais tu dans la vie.. ca va oui et toi .. ce n'est pas ca qui peut en soi répondre en quoi que ce soit à ses interrogations. Certaines fois pourtant et c'est bien la le piège du virtuel on tombe sur des cas différents, deux en particulier.

Le premier ou un homme sait vraiment ce qu'il veut pas étonnant il a appris par coeur ce qu'il faut qu'il vous dise pour inspirer confiance et tente de répondre toujours du coté positif a vos questions pour ne pas se faire remarquer. Faire remarquer les traits de son caractère et de son comportement ou tout va de travers. Il n'y a jamais de fumée sans feu.. et le second ou il faut chercher a comprendre pour trouver la faille qui ne tardera pas à ce montrer... et puis les autres les marrants, les tristes, les hommes mariés, ceux qui parlent mais qui n'ont rien à dire..

Une jungle sur la toile du net ou trouver des affinités intellectuelles c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Bref, j'en étais la à visiter des profils quand je me suis arrèter sur une fiche parmis les autres. Parfois comme j'ai la physionomie des visages c'est bizarre de se dire tiens ca me rappelle quelque chose ou de se dire tiens il a une tête sympa. Quand c'est le cas j'envoies juste un bonhomme qui sourit pour faire un signe en me disant qu'on verra bien on se parlera ou pas par la suite. La j'ai sourit à un mec assez jeune et il m'a répondu on a parlé de tout de rien et surtout ca passait bien enfin c'est ce que je croyais en terme de rigolade. Une conversation parmis tant d'autre au début mais on se prend vite au jeu de parler régulièrement on donne son adresse msn et il peut arriver qu'on reste tard le soir dans une conversation. Comme tous les écrits restent en mémoire on se dit qu'un jour on va se connaitre. A l'époque, je n'étais pas vraiment disponible dans mon cerveau dont je me suis dis qu'on verrais bien et j'ai cédé à la rencontre le jour de son anniversaire.

On s'était donné rendez vous dans une ville que je connaissais pas après Caen comme d'habitude j'étais en avance mais je passais un coup de fil quand il est arrivé. Il m'a dit bonjour de facon très fraternelle et j'avoues avoir mis un moment à faire la correspondance entre son aspect physique et les photos sur internet d'autant que ce qui m'a le plus frappé est que dans une de ses photos, il ressemblait un peu a quelqu'un que j'ai perdu à tout jamais et qui reste gravé dans mon coeur. Une photo dont j'avais l'impression d'avoir déja dessiné le visage une photo qui me semblait m'interpeler. Donc j'étais la en prenant le volant, et mon souffre pour mieux réaliser je lui ai proposé d'aller boire un verre. J'ai suivi n'importe quelle route devant moi, direction Ouistreham. Nous nous sommes installés a une terrasse pour parler car il m'avait dis qu'il ne me confierais que certaines choses face a face et la bien j'y étais. Il m'a raconté une histoire un peu sordide qu'il avait eu avec une femme de 50 ans alors que lui n'en avait que 36 et j'avoues qu'une euphorie s'est installée spontanément. Je n'arrivais pas à écouter son histoire sérieusement comme si en fait cela n'avait pas d'importance et au lieu de se sentir mal a l'aise, je crois qu'il rigolais de bon coeur avec moi. On a fait un tour ensuite en centre ville puis sur la plage on rigolait de tout d'une mouette ou même d'une femme qui à planté sa voiture dans une rue piètonne devant nous .. Comme dans un état second s'était bien. Il faut dire qu'on s'était dit d'avance qu'on se connaissait pour une amitié car je ne voulais pas embrouiller ma vie. Pourtant, on s'est assis derrière le casino et il a voulu m'approcher je me suis dérobée la première fois mais je n'ai pas résisté la deuxième en gros la connerie du siècle encore une fois. Je dis la connerie car je ne sais pas si nous aurions fait deux bons amis mais je sais surtout que ca m'a fais très mal ensuite. Sur le coup, il habitait chez ses parents alors je lui ai proposé de bouger pour son anniversaire de bouger pour marquer le coup et il m'a dit oui n'ayant peut etre rien à faire d'autre. Nous voila partis chez moi ou la soirée était plutot tendance apéro bouffe rigolade on a même dansé tard dans la nuit. Je suis allee me couchée avant et je me rappelle qu'il a du tenter un truc sans vraiment y parvenir il faut dire qu'il avait bu pas mal de vodka. Je me suis réveillée a moment donné mais j'ai bien vu que quelqu'un qui se met dans un état pareil au lieu d'arrêter a moment donné ne présage rien de bon. Je me suis réveillée le lendemain matin et l'ambiance était particulière il m'a dit qu'il m'aimait dans la nuit dans un état second et je ne sais même pas s'il se rappelle le matin avoir pleuré dans mes bras. On a commatés une bonne partie  de la journée puis il a fallu que je le ramène à l'endroit de notre rendez vous. Les jours suivants il m'envoyait des textos plus bizarres les uns que les autres pour cause je n'ai pas de réseau et je les lisais quelques jours plus tard. Il me disait que je comprenais pas qu'il était amoureux, bref moi je sentais plutot quelqu'un de perdu. Je voulais pas le laisser tomber je ne sais pas pourquoi enfin j'avais essayer de le comprendre plutot. Mais bon il y avait mon boulot et je tentais de l'appeler quand je pouvais. Je lui ai parlé des heures entières croyant qu'il n'allait pas bien je le pensais mal par sa situation que je ne connaissais pas dans le détail sauf un divorce, un fils et qu'il vivait provisoirement chez ses parents mais je sentais son mal etre comme disproportionné.

Peut etre aurais je mieux fais de ne pas chercher à comprendre me direz vous et je vous répondrais pas forcément.. toujours est-il qu'il me disait que je comprenais pas qu'il voulais qu'on soit ensemble et la au bout de huit jours on se pose de sérieuses questions. J'ai pas compris cette semi provocation comme un appel au secours ou il fallait que je comprenne tout sans connaitre les détails de sa vie. Alors je me suis mise à écrire le soir comme pour mieux comprendre en regroupant le peu d'éléments que je pouvais. Des pages que je croyais au début ne servir a rien juste à me guérir du besoin de tendre la main sans me préserver moi même car sans m'en appercevoir j'ouvrais mon coeur et ma confiance.

Si seulement les histoires s'écrivaient avec des mots mais dans la vie souvent elles naissent avec des paroles. Plus belles les unes que les autres au début elles prennent au fil des années des accents acide par l'usure du quotidien. Ces mêmes paroles qui devraient servir à se soutenir, à se comprendre partent dès fois comme des flèches à destination de celui souvent, qui ne répond plus. Il faut dire que rien ne facilite la vie paisible enfin celle dont on pourrait rèver mais combien d'entre nous ne mesure même pas le poids de ses paroles.. Il reste encore les mots pour les écrire de façon plus jolie car au moins on peut y mettre un peu de rève, un peu de poèsie. Loin du tumulte de la vie, des désaccords, des séparations les mots ne devraient ils pas faire la liaison entre les choses incomprises.. J'ai souvent choisis d'écrire au lieu de parler car ce que l'on peut dire est réfléchi et non inconsidéré. J'ai choisis aussi de raconter des histoires de passer du blanc au noir pour qu'apparaisse une vérité. Savoir comprendre et regarder la vie devant soi en se tournant parfois sur une fraction de son passé. Savoir aimer malgré les coups du sort savoir te parler si tu m'aimes encore ne pas te laisser sombrer même si la n'est plus ma place. Si toi aussi un jour tu vis une belle histoire alors rappelle toi que rien ne s'efface en mémoire alors si tu ne sais pas par ou commencer ne dis rien plutot que de blesser. Ne regarde pas que toi si tu veux vraiment voir même sous la colère ne dit pas ce qui fais mal car un jour ce n'est que toi que tu blesseras pour de bon par ton indifférence. Prends confiance en la vie elle est belle et même si toutes les histoires ne le sont pas une seule peut te rendre heureux alors ne la gache pas. Ouvre ton coeur pour lui faire une place même si personne ne la voit encore un jour tu verras que l'amour c'est de l'or et que tu l'as dans le creu de ta main..

Une petite histoire inventée de toute pièce, il y à longtemps : Le piège

La journée pour lui s'approchait de la nuit. Au fils des jours, la vieillesse s'installait. Les barriéres à surmonter pour vivre lui paraissait plus hautes tandis qu'il se voyait devenir de plus en plus petit à la surface du monde. Seules ses habitudes lui prouvaient son existence, personne pour les partager. Il pensait au passé souvent, comme pour retrouver ses années perdues. L'idée d' être prisonnier d'une voie sans issue le paralysait davantage.

Pas grand chose à voir, surtout pas un miroir reflèttant la décadence du temps écoulé . Trop tard pour s'en vouloir de n'avoir pas pris les bons chemins croisés. Comptant les mois sans que cela ne soit vraiment utile, l'échéance était longue. Les moments de cafard finissaient par être réguliers. Un monde le séparait des autres, de ceux qui vivent, qui s'aiment... Les heures semblaient des semaines, ses pensées centenaires dans un esprit fatigué.

Son avenir stoppé par les barreaux de la fenêtre, l'isolait de la réalité. Détenu depuis 7 ans quelques années encore devaient s'additionner pour solder sa peine.. Une peine infligée curieusement pour une affaire ayant entrainée la mort d'un vieillard.... Coup du sort que de regarder défiler le temps comme ce vieil homme l'aurait fait un peu en attendant que ne sonne la dernière heure... Le juste retour des choses peut être, pour une fois....

Quand il ne restera plus que les formes spériques, les angles saillants d'une ville saignée en bleu, blanc, rouge.. Je chercherais toujours une rue tranquille respirant le parfum grisonnant des nuits trop tristes. Je chercherais ton regard en gardant espoir de s'évader ensemble de ses murs de béton qui nous emprisonnent..

Arrivée de la gare, un soir de pluie à Rouen, capitale de la Normandie, j'étais arrivée encombrée de quelques valises aussi pesantes que l'angoisse qui m'envahissait dans une ville ou je ne connaissais personne. Je restais là plantée sous un arrêt de bus, en me demandant même si j'étais seulement du bon coté de la route. La nuit tombait et rien ne passait à par les voitures. Plantée entre mon inquiétude et le vent glacial du mois de décembre, je ne fixais que les lueurs orangées étendues sur le macadam par deux réverbères devant moi. J'étais perdue, curieusement livide de toute pensée concrète. Ce fut pourtant ici que commencèrent tous mes efforts vers un avenir plus clément. Je parvins ce soir là à destination dont à vrai dire je n'avais pas vraiment cherché l'orientation. Le froid, la panique et le manque d'argent m'avaient fait rater mon dernier bus depuis longtemps. La chance m'épargnait la honte lorsque qu'une voiture s'arrêta à ma hauteur. Je n'écoutais que vaguement les explications du conducteur qui, baissant sa glace s'évertuait à m'expliquer qu'il ne fallait pas rester là à une heure aussi tardive. Prise en charge bagages en main, je lui donnais la seule adresse que je possèdais dans ma poche. Le trajet me paraîssait long car je n'avais rien à dire. Je regardais défiler les rues. Enfin déposée au pied d'une sombre batisse, je balbutiais surement un merci avant de chercher l'ombre d'une sonnette. Je voyais enfin au bout d'un moment un couloir s'allumer à travers la porte vitrée puis une amie descendre de l'escalier. Elle était charmante d'ailleurs, je l'avais rencontré plus tôt dans un stage ou elle m'avais laissée son adresse en cas de besoin. Elle s'appelait Mireille et travaillait à l'époque dans un restaurant routier à la bouille un carrefour à l'entrée de Rouen. Elle avait un coeur d'or, elle n'a pu m'hébergée que deux jours mais m'a aidée pour tout trouver du boulot et une chambre à coté de la sienne. Nous avons donc passées deux jours dans la même pièce car la superficie de son studio et l'humeur de la propriètaire ne permettait pas d'en faire autrement. J'ai voulu la remercier quelques temps plus tard, mais la vie est con et je ne l'ai jamais revue. On ne se parlait pas beaucoup mais on à rigolé pas mal de fois le soir ou on avait regardé un vieux film en noir et blanc. Elle était une fille simple et sympa, une fille bien en somme. Elle était accaparée par son travail la journée et moi dans ma petite chambre de 18m2, a décrocher un emploi. Je me rappelle encore de son parfum, poison. Ayant à présent les clefs géantes d'une chambre je n'avais qu'un lit, une commode et une fenêtre devant moi. Cela me suffisait pour contenir ma fierté à l'intérieur. Je pouvais penser, dormir, recommencer à vivre normalement même au prix de toutes les épreuves qui m'attendaient par la suite....

J'écris pour me défouler, pour me vider la cervelle qui semble s'activer de façon féroce en ce moment. Ou trouver un refuge de tranquilité dans un chapelet de difficultés qui m'entourent. Comment me faire comprendre sans crier, réagir calmement quand tant de choses m'atteignent profondément. L'être humain est-il vraiment stupide, en suis-je une représentante acharnée, que dois-je prouver pour être comprise une bonne et  simple fois pour toute. J'ai du mal à me retrouver sur le chemin des efforts qui me semblent parfois illusoires. J'ai du mal à passer ma route sans croiser un regard de tendresse enfin à la croiser du regard surtout. tout me semble un peu calculé pour être aussi agréable gagner sa vie, gagner la confiance, se tenir droit devant les autres, suivre le bon exemple... l'éclate totale en somme. Une ligne de conduite est difficile à trouver pour moi qui ai précher moi même pendant longtemps le bon exemple. Difficile car les concessions à faire sont souvent accomplies pour ou contre quelque chose en l'occurence, le simple fait de pouvoir se regarder dans une glace, nous amène à être digne. La dignité à la base est un sentiment purement personnel qui ne se partage pas. Les opinions se partagent , les points de vue, car nul ne peut apporter réellement sa vision qui lui reste propre. Néanmoins, certains éléments peuvent toucher ce bonheur en un rien de temps, en plein dans le mille.

Deux cas me reviennent en tête.

Les difficultés qui se suivent et qui fatiguent même le plus expérimenté et le plus courageux, sourire aux lèvres.

Le jugement de ceux qui vous entourent, qui cernent rapidement le problème et vous enserrent au milieu.

Les deux réunis, pour peu que l'on soit émotif, c'est la pagaille assurée ce qui à souvent été mon cas.

Les motivations filent comme des courants d'air, il fait bon être de très bonne compositions pour relever parfois des défis comme un sportif passe des barrières de volonté dans les épreuves. Les idées se brouillent comme un décodeur fonctionnait mal dans votre tête. La fierté et l'honneur prennent une bonne claque et moi en même temps. La vraie dignité ne serait-elle pas de ne pas atteindre une personne au point de lui faire du mal, assaillie déja par ses difficultés, par ses doutes aussi?

Le doute en voilà un fou la merde qui vient inscidueusement squater à la première occasion. Un petit ami m'a dit un jour qu'il pouvait me toucher moralement très facilement. Tu parles d'un mérite, je le croyais ferme, j'avais déja un genoux a terre....

Je pense en résumé avoir trouvé la solution. Prouve que tu es fort et le meilleur des mondes t'ouvrira ses portes sinon tu resteras derrière en demandant la charité affective. Prouve que tu assumes car un monde se prépare ou beaucoup de galères t'attendent prêtes à te faire ovation sinon tu deviendras malheureux. Souhaites au fonds de toi être aussi claire que quiconque respecterait sans aucun doute. La vie possède bien des retords mais le premier de tous les pièges est de ne pas avoir les yeux grands ouverts sur la réalité. Tente de faire au mieux sans idée de conquérir. Essaies d'être heureux sans batir au détriment d'autrui. Aime la vie car elle est belle même quand les yeux remplis de larmes ton regard se brouille soudain sans voir l'avenir devant toi. Entre rires et larmes rien est facile mais c'est ma vie à moi. Ma fierté et ma richesse aussi . Alors, plutot que de rester entre peurs et ambitions, je veux bien aller plus loin sans savoir ou celà me mène, un univers nouveau tout juste montré du doigt. J'irais a mon rhytme, avex prudence, ni sous la contrainte, ni sous contrainte morale stupide car ce que j'attends au coeur de mes espoirs ne sont pas des obligations, des concessions idiotes par orgueil personnel. J'attends une petite étoile qui brille. L'art de vivre n'est pas un vain mot ni une fausse vocation. L'amour n'est pas non plus cinq lettres qui se suivent de façon ridicule. Je n'ai jamais vécu ce sentiment dont tous le monde rève ou exibe à volonté, je sais seulement à mon grand regret, que je suis née avec...

N'oublies jamais que seul le temps d'aimer fait éclipse à la mémoire et que dans cet univers ou tout peu paraître pour le moins désert et trop peuplé à la fois, dis toi que seul ton coeur n'as pas d'attaches de couleur ni de formes. Dans ce fracas qui te mènes au larmes, saches que je suis la et que je t'aime.. J'aurais écris des pages pour que tes larmes coulent de mes yeux et ne noient plus ton coeur. Mais elles n'ont pu verser sur mes espoirs que la longue tristesse de l'absence. Si les larmes me viennent aux yeux sans couler sur tes espoirs c'est que je sais qu'il est trop tard et finalement c'est moi qui devient malheureux...

Ecrire c'est comme parler ca doit être toujours aussi chiant que de penser mais c'est plus silencieux pour les autres. Les autres dont le silence est tellement pesant parfois. Laisser le temps s'écouler, le temps de réfléchir pourtant quand le jour se lève, c'est tellement beau de voir perler ce temps innocent encore au bruits des hommes. J'aimerais pouvoir encore le regarder car être heureux n'est pas un rève ou s'il l'est, serrez le très fort entre vos bras. Le bonheur nous évade et nous fait renaître encore et encore des cendres du passé. Pourquoi brimer ce bonheur si fragile qui est si triste quand il pleut. Laissez nous ressentir et sentir en nous même que le bonheur est la et qu'il n'est pas en cage. Protester c'est pas bien et subir c'est con. Je ne suis pas assez souple pour réaliser les milles pirouettes d'esclavage que vous voudriez que je fasses. Je tiens sur mes deux jambes, pourquoi tenter de me faire tomber, je suis un être sensible mes genoux sont sensibles et mon coeur pas de bois..

Encore un passage à vide entre nous, un passage d'ou peut etre tu ne reviendras pas. J'avoues que je ne peux pas vivre ce temps qui passe sans une certaine douleur mélée d'espoir. Lorsque je pense à ce grand vide qui apparaît souvent lorsque je pense à toi, il me vient alors comme un vertige, un mal au coeur à chaque fois. Ma tristesse est immense et mon chagrin aussi car celui auquel je pense m'a oublié sans que je ne comprenne pourquoi. Je suis fatiguée, anéantie mais je tiens encore bon rien que pour revoir ton sourire, encore une fois. Le jour n'est pas comme les autres, ses heures qui passent sont d'une lenteur de plomb. J'écris pour me vider la tête et quelque part pour te retrouver aussi. Comment ai-je pu passer à coté de l'essentiel, suis-je à ce point aveuglée par mes préoccupations? Rien n'est simple dans un contexte ou j'ai peur de te perdre et mes espoirs aussi. J'ai l'impression de n'avoir pas vu grand chose, d'avoir des oeillères pour qu'autant de choses me paraissent aussi loingtaines. Comment est-il possible que tu m'es oubliée, nous, nos promesses, celle qui proviennent d'une unique sincérité. Plus touchée encore que je ne l'aurais crû, j'aimerais tant zapper ces heures qui font si mal.

Une heure dans une salle d'attente dans un décors qui me paraissait bien dérisoire tant mes attentes étaient ailleurs en dehors de ses murs qui m'entouraient...

Certeins pourraient trouver surprenant de livrer ses idées à l'état brut sur ce que je ressents  face à une relation . Je leur répondrais alors que ce qui parait extrèmement simple aux yeux des uns peut s'avèrer plus complexe aux yeux des autres. Pour cette raison, il n'est pas question d'émettre une succession de pensées, juste transcrire la réalité des sentiments, en toute simplicité............... à bientot.......

Je viens vous parler d'un certain samedi soir, que j'ai tiré de mes écrits qui datent déja de quelques années.... Au départ le plus curieux dans une rencontre c'est quand au départ ni l'un ni l'autre n'ont envie de sortir..de mon coté en effet, finir ma soirée dans une discothèque ne me disais pas grand chose ce soir là ...  Fallait-il que la discution, ou l'ambiance soit vraiment glauque pour que je décide de faire un effort et décider d'aller y faire un tour. C'est donc au prix de quelques efforts que nous nous sommes croisés. Je ne réecris pas cette scène par nostalgie car j'ai connu au final ce mec 2 ans à distance et que je ne le porte pas plus que ca dans mon coeur, il n'en vaut pas la peine mais pour mes écrits qui me font sourire parfois et surtout qui apporte un recul non négligeable sur le fil de son existence. Voila la parenthèse fermée, je continue mon histoire...

J'arrivais donc en début de soirée, à cette heure ou il n'y a personne sur la piste, juste un barmann derrière le bar à essuyer les verres. A cette heure la, une salle nous semble petite car on voit tout du box  transparent ou une andouille remue déja sa tête dans un casque au fonds de la salle. A cette heure ou deux ou trois faisceaux lumineux se battent en duel dans un cercle en plein milieu. Bref, j'étais venue avec ma fille en essayant comme modeste consolation, de ne pas commencer par nous ennuyer.  Il faut dire qu'a ce moment là, on se demande si s'était une bonne idée de venir là , d'autant qu'a par nous et le personnel, y a un chat. Après avoir pris un verre, je suis allée au milieu de la piste pour danser un peu. Il faut dire qu'en début de soirée c'est un peu la fosse au lion, les gens arrivent petit a petit, tout les regards sont braqués sur vous. Je ne voyais autours de moi que quelques personnes, par bribes de regard.  Je ne voyais que des silhouettes éparpillés dans un décors vif et coloré. Certaines étaient assises  sur des banquettes d'un velours rouge éclatant. Les lumières offraient un jeu de couleurs tombant en pluie fine à un rhytme saccadé. Je distinguais encore le bar jaune fluorescent une fois revenue à ma place mais il paraissait plus loin. Il laissait deviner deux ou trois personnes accoudées, occupées à boire leur consommation. Après un moment, je me suis dis que ce n'était pas une mauvaise idée d'en faire autant car après un bref coup d'oeil, je me trouvais assez seule dans une ambiance ou personne ne s'amusait vraiment.

Je suis donc allée me commander une vodka orange, que j'apprécierais surement comme le premier piment de la soirée. Arrivée devant le serveur qui se fait toujours attendre meme quand il y a que deux verres à servir, il était aussi glacial que les courants d'air qui me passaient dans le dos. Dans cette confusion, je me demandais comment il mettait autant de temps, meme s'il le fesait exprès. C'est la que j'ai remarqué un homme à ma droite que je n'osais finalement regardé qu'en posant mon regard un peu partout. Enfin servie et sortie de mon embarras à restée plantée la comme une plante verte, la juste à coté de moi un autre m'invite à danser. Un type un peu grand mais d'allure assez bizarre. Bon au point ou j'en étais, j'accepte mais je regrettais très vite, en profitant de la première occasion pour filer loin de se curieux personnage. D'instinct, par envie ou je ne sais par quel sentiment, je suis revenue à la même place ou se trouvais encore l'homme du bar. En fait, il n'avait pas bougé depuis. Je le voyais cette fois un peu mieux ( je n'avais pas mes lunettes) pour m'appercevoir qu'il avait les cheveux bruns. Soudain embarrassée de le regarder ainsi car je ne savais pas s'il était seul comme moi ou pas, s'il était sympa ou encore de bonne humeur, les secondes me semblaient longues à défiler dans ce laps de temps. A mon grand étonnement, il avait l'air sympatique. En m'adressant la parole il me demanda dans la première phrase si le grand spécimen auquel j'avais accordé 5 mn au début était mon ami. Pas tellement flatteur sur ce coup là. Je crois avoir au début ravalé ma salive, en essayant de revendiquer un " non " catégorique à la limite de la protestation. En une seconde de malaise ou je le regardais sans doute bêtement, il m'a proposé de boire un verre et la bien, je n'ai pas hésité. Depuis cette scène, beaucoup de monde était survenu d'on ne sait ou qu'il fallait éviter pour trouver un endroit pour s'assoir quelque part. Après avoir pratiquement fait le tour de toutes les salles, nous avons réussis à nous trouver une place. Vous savez les places que personne ne veut là ou on joue de l'accordéon pour les anciens et le passo doble pour les gens de la campagne qui ne connaisse que ca ( ironie ). Bref, nous nous sommes assis confortablement et nous étions face à face pour la première fois. Je découvrais peu à peu un homme souriant et plein de charme. Sans le savoir, il me parlait avec des mots que je voulais entendre ce soir là ( je n'en dirais pas plus ). La musique semblait exagéremment forte car elle enlevait toute aciduité à mon écoute. La musique et un peu la vodka aussi. Les lumières me paraissaient à présent trop artificielles pour garder toute mon attention. Je vivais le bonheur de parler avec lui même si dans ces cas la on perd toujours une part de la conversation. Toute la nuit, on ne s'est pas quittés comme si s'était normal. Je l'ai même attendu à la porte des toilettes instinctivement s'en m'en rendre compte sur le coup. Devant reprendre nos esprits à la fermeture proche et oui dans ces cas la le temps défile nettement plus vite, je n'étais pas très à l'aise à l'idée de ne pas le revoir, de partir chacun de son coté. Lui proposant de passer chez moi, nous avons finalement décidés de prendre la route ensemble pour boire un café et rester encore un peu tout les deux. Nous ne pensions ni l'un ni l'autre à un acte sexuel banal car ce n'était pas notre état d'esprit mais juste un peu de temps je crois nous était nécessaire avant de se quitter. Nous sommes arrivés chez moi vers 5h du matin. C'est vrai que ces quelques heures m'avaient fait tout oublier. Ma fille était montée dans ma voiture au retour mais je ne l'avais pas croisé de la nuit ou presque, et le pote à la maison qui dormait. Après nous être garés en bas de mon immeuble l'air frais me ramenais très vite à la réalité. Le jour commencait à se lever et le petit jour prenait une allure plus triste. J'étais presque genée de l'amener dans un milieu ou les cages d'escalier annonce la couleur. Montant les marches, j'avais hate d'arriver devant ma porte d'un bleu criard que j'avais alors bientot du mal a supporter. Enfin entrés, je réveillais la nounou de service chargée de garder mes deux fils qui dormaient. Pendant que nous nous asseillons, dans la cuisine, la nounou arrivait tout ébourriffé. Il faut dire que s'était un grand gaillard, ami fidèle depuis 9 ans en qui j'avais une totale confiance. Par un reveil difficile, il s'est dirigé vers la cafetière comme un automate sans meme nous remarquer specialement. Nous étions tous réunis autours d'une table, moi, ma fille, le pote et un homme qui ne m'a jamais apporté d'autre que cette soirée un peu magique après être reparti  en deux ans  non je corrige, un bouquet de rose et une bouteille de champagne.

Depuis que je suis née, je rève du bonheur, de l'amour, d'un sentiment qui m'accompagnerait pour le reste de ma vie.... et je puis dire que de ce coté là, je n'ai pas vraiment été gatée et ce, pendant un bon nombre d'années.. J'ai d'abord perdu de vue mes parents, qui à force de disputes succéssives, on finit par ce séparer. De ce fait, je me suis retrouvée seule dans une sorte de solitude. Rien ne m'était acquit bien au contraire, j'ai du creer un équilibre éphémaire sans m'appuyer jamais sur de bancales relations qui ne me semblaient pas en définitive dignes d'interêt. Cela n'a pas toujours été facile et j'en ai même parfois franchement bavé. Juste obligée de me forger une personnalité à toute épreuve dans une phone que je ne connaissais pas. Je promenais mes sentiments comme on marche dans les rues à la tombée de la nuit mélée d'une sorte d'assurance indispensable et de craintes aussi, l'essentiel n'était-il pas d'éviter les moments les plus durs. Certains souvenirs restent gravés comme autant de cicatrice au fond du coeur. J'ai seulement appris à les accepter pour vivre, vivre en ayant ce sentiment d'avoir été plus souvent seule qu'en apparence accompagnée. J'avais bien sur des copains, ceux qui me voyait jolie, sympa, tous ceux qui avaient un vrai chez eux, une véritable famille qu'il ne respectaient même plus, une vraie histoire. Moi je n'avais rien que moi et mon honneur projetée la ou la dans telle ou telle situation. Personne ne voyait rien car j'aimais apprendre et d'une école d'architecture je suis arrivéé en masquant mes faiblesses jusqu'a l'université. Beaucoup me connaissait mais personne ne me voyait vraiment à part un couple seulement. J'habitais un petit appartement rue Orbe à Rouen dans une petite rue pavée au rez de chaussée. Les poutres de cette vieille batisses avaient plus de choses à raconter que les gens qui semblaient me connaitre je crois. Je me suis demandé souvent ou étaient les lois du coeur ayant par trop de fois connue des déceptions. Je n'arrivais pas à vivre des sentiments car on m'avait déja trahis, ignorée et oubliée aussi... Je ne nourrissais même pas une sorte de vengance, je prenais ma revanche et la vie comme je la voyais. Je vivais très mal les sentiments car dans mon coeur ils sonnaient toujours faux comme si je n'étais pas encore à ma place mais qu'elle place peut on avoir " au sud de nul part ". j'avais vraiment la régulère impression de ne pas être à ma place ou pire de nager dans une modeste illusion. Je voyais bien que la plupart des échanges n'étaient pas dénués d'un interêt quelconque et qu'il n'est pas si facile que ca d'ouvrir enfin les yeux. J'en ai donné du temps sans voir que je perdais le mien, écouté des heures sans que personne ne m'entende, apporté de l'espoir alors que je n'en avais pas moi même plus que les autres. Je n'ai pas toujours réussi ce que j'ai entrepris de bon coeur prise dans les affres de la jeunesse entre les faux et les bons amis, les projets d'avenir, les petits boulots purement alimentaire pour aller plus loin. Les idées pour se construire défilent. Essayer d'aller plus loin, d'y voir plus clair. Je gardais à l'esprit que l'homme contrairement à nos amis les bètes,est capable de se nuire sans motif apparent. A bien y réfléchir, à cette époque ma seule grande qualité n'était- elle pas d'éviter tous les dangers et à toutes les dérives que j'ai pu voir parfois. J'ai toujours gardé l'essentiel au fonds de mes poches après tout... est-ce suffisant....

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Les remises en question... vaste sujet... sont elles toujours utiles, moi je le crois. Indispensables, je le pense aussi car au coeur de notre vie nous ne sommes pas tous seul. Pas facile de voguer sur les vagues de l'existence. Certains naviguent sur une mer d'huile pendant longtemps d'autres sur une mer agitée. Pourtant nous menont tous notre barque au point de ne pas sombrer quand une tempête se lève et balaye tout sur son passage. Faut-il avoir de l'intuition pour arriver à destination sans encombre? Je ne me sents pas comme une aventurière née cependant la vie m'a conduite vers des univers bien différents. Celà participe à une certaine ouverture d'esprit sans aucun doute. Après bien des traversées dans des départements, je suis arrivée dans le calvados pour poser mes valises depuis 3 ans.. Je m'y sents bien je trouve toujours aussi belle la suisse normande ou les rivières et ruisseaux arpentent les roches qui se dressent devant vous fièrement. J'y ai trouvé un coté paisible, le calme, une certaine sérénité. Nos vies sont parfois agitées à l'inverse de tout principe que représente une nature paisible. Il faut tenir bon. Le simple fait de regarder défiler l'eau d'une cascade nous fait peut etre comprendre que notre course matérialiste n'est pas si importante que ca. Notre système pourtant nous impose de ne pas avoir assez de temps pour ce qui nous environne parfois même pour le respecter. Les constructions apparaissent partout et les endroits sauvages sont encombrés de sacs et objets divers jetés sans état d'âme. Tout cela n'est rien en comparaison de ce que résulte la pollution de notre planète mais a micro échelle, on commence à prendre conscience de l'évolution de la dégradation des sites naturels. L'homme ne devrait-il pas se remettre en question dans son comportement, dans sa facon de consommer, dans sa facon de vivre aussi? je pense toujours qu'il le devrait...convaincue qu'un certain art de vivre commence par comprendre ce qui nous entoure.

Et oui, un matin ou je vais au boulot... mais détrompez vous; j'y vais avec le sourire.. un boulot que j'ai choisis en somme et ou je me sents bien. C'est pas si courant, je veux dire au cours d'une vie...Au plus près des difficultés de chacun, j'essaies de trouver ma place parfois secondaire parfois utile pour retrouver l'autonomie et une certaine confiance en soi. 

La vie ne fait pas de cadeau pourtant moi j'en ai eue. Certes des cadeaux qu'on a pas voulu de l'indifférence jusqu'a la méchanceté. Je ne m'attendait pas à la cruauté de la part d'un enfant qu'on a mis au monde. La nature est parfois si cruelle qu'elle vous déchire le coeur et le plus profond de vos entrailles. J'ai eue trois enfants. Il est vrai que les circonstances pour les elever étaient loin d'être idéale mais je me suis battue pour qu'ils aient le plus possible. Ils grandissent affirment leurs différences puis leurs indifférences au point de vous faire mal. Je ne suis pas victime juste de moi même en ayant seulement cru que mon mérite leur sauterait aux yeux. Au lieu de cela ma fille part à la dérive depuis longtemps et comme elle est loin, je ne peux pas faire grand chose. Mon grand fils est la personne la plus dure que j'ai rencontré, il vit sa petite vie dans des petites escroqueries auprès des personnes les plus faibles et me fait énormément de mal quand je le croise. Reste mon petit dernier et lui heureusement j'ai su le protèger des mauvaises valeurs, il est adorable. Son propre frère nous à porté des coups et proféré des menaces à 16 ans à peine et rien que d'y penser mon coeur de mère saigne encore aujourd'hui. Je ne sais pas d'ou vient autant de bétise et de haine de la part de ceux que vous avez chéri le plus. Ma fille a 30 ans et je ne la vois pas. Mon grand fils en à 20 et je ne le vois plus. Reste mon petit dernier que je voudrais toujours protèger, il à 13 ans. Et dire que je travaille dans le social à présent et que j'ai toujours aidé les autres comment pourrais t'on comprendre que vos proches soient aussi bêtes ou méchants c'est un grand mystère pour mon coeur de mère.

A l'aube d'un certain jour, j'essaies d'y voir plus clair dans mon décors, comme si une brume ne parvenait à se dissiper au coeur de ma vie. La réalité de ma vie est surement moins poètique et en tout cas beaucoup plus terre à terre. Et oui le quotidien banal de quelqu'un qui ne se rangera jamais à l'idée de se que l'on se fait du raisonnable surement. Le couple par exemple, quelle masse de concessions, rien qu'une relation solide s'est déja compliqué...... de la à jouer les infatigeables amoureuses, il y a des limites. Je plaisantes car moi je ne sais pas ce que sera mon avenir sur le plan affectif et confidence pour confidence, je ne veux pas le savoir non plus. Trop de gens je trouve se complaisent dans un avenir tous tracé c'est bien pour eux mais pour moi ca ne collera jamais car la vie en soit  est une aventure et je ne veux pas me contenter d'une modeste demeure sans fenètre pour voir le soleil qu'il fait dehors. J' éxagères je sais et si j'écris c'est le but aussi de grossir à l'extrème ce qui en définitive n'est pas si grand que ca.

L'homme à besoin de se sentir aimé que cela ne tienne mais il ne faut jamais pour autant renier ses attentes profondes, son goût de la découverte.

Si l'amour est une découverte parfois le décors se dévoile peu à peu comme un vaste désert, un bord de rivière le matin quand il fait froid avec juste un voile de brume qui me masque les yeux.... 

J'ai quarante six ans et je ne sais même pas pourquoi je suis seule dans la vie. Instinct de protection surement pour ne pas sombrer dans n'importe quoi enfin dans quelque chose qui ne me ressemble pas surtout. Des priorités à gérer? peut-être quelles sont autant d'obstacles qui me donnent l'impression qu'on ne me comprend pas vraiment. On passe sa vie au final à s'arrèter sur bien peu de personne ou celles dont on se souvient sont rares. Pourtant, je ne suis pas malheureuse, certaines personnes en valent la peine et il en faut peut pour que sa vie ne soit pas triste dans une sorte de solitude. Aimer n'est pas si simple non plus .Ce ne sont pas les opportunités qui manquent mais le manque de logique surtout.

Pourtant on à beau dire, la liberté est précieuse si l'on à peur de s'engager vraiment et ca peut durer longtemps. Depuis deux mois j'enchaine les difficultés comme des perles pour me faire un joli collier d'indépendance. Faut dire que je ne suis plus jeune et quant on est jeune " on à l'embarras du choix ". Avec les années, il ne reste " que le choix de l'embarras ".  Heureusement reste dans mon coeur les amours que je n'oublierais jamais. Bien sur ils ne sont pas nombreux, au pays des anges, ils sont à mes yeux immortels.

Ils nous protègent toujours de tout ce qu'il ne les vaut pas même d'ou ils sont. Célibataire, pourtant le mot sonne bien s'il ne raisonnait pas au bout d'une paire d'années comme incasable ou solitaire. Solitaire aussi s'est joli mais moins drole toutes les fois ou son coeur ne peut s'ouvrir pour telles ou telles raisons. J'ai quand même de la chance même si je n'ai pas toujours croisé des lumières qui ont éclairées mon existence. A force d'être seule, je ne sais pas si je pourrais être à deux un jour. Et c'est quoi être deux de nos jours, partager le quotidien? le bien et le moins bien? Faut sincèrement être balaise vu la vie de chien que la socièté nous prépare. S'épauler? ca existe dans la socièté du chacun pour soi. Les seuls qui partagent n'ont rien le calcul est donc vite fait. Le bonheur est devenu un luxe pour ne pas subir les problèmes permanent qu'on nous imposen jour après jour. Avant l'être humain était plus généreux, il ne protègeait pas comme un malade le peu qui lui reste. Aujourd'hui l'homme donne au compte goutte, attend que son investissement revienne et s'implique au ralenti en gardant un recul quasi permanent. Spontannée comme vision des choses que de faire des calculs d'apothiquaire avant de s'ouvrir aux autres. Je parles des gens de notre age car les plus jeunes donnent d'eux sans compter car ils ne subissent pas encore le poids d'une vie bien posée. Vient alors le calcul des années qui me sépare d'une autre génération. Trop de principes m'ont toujours fait fuir les situations compliquées. Alors voilà le célibat. Celui qu'on retrouve sur les sites de rencontres qui me font parfois bien marrer les gros, les moches et ceux qu'on ose pas regarder. Voilà la vitrine ou l'on met une photo alors que tout ca n'a rien de sentimental à la base. Recherche de cul ou fausses amitiés il y en à pour tout les gouts. Etalage de paumés pour ne croiser qu'un partie infime de gens équilibré. Et oui même les rencontres deviennent totalement égoistes dans une société qui nous laisse croire que n'importe qui peut trouver le bonheur en utilisant sa carte bleue. Dialogues illusoires et passions d'un jour défilent au point de ne plus savoir qui vous à dit quoi. Le célibat au final est le plus grand amour de sa vie celui ou rien n'est encore gaché ni salit celui ou tout est permit ni foutu celui ou l'on ne garde au fonds de soi que ce que l'on a au fonds du coeur. Finalement, je ne sais rien de l'amour, du couple dont on parle tant ou qu'on voit dans les films. Je sais juste que je suis née avec et qu'être deux pour moi, comme d'habitude, ce ne sera pas pour demain.

Je me rends souvent sur des sites de sauvetages comme équilibre ou rescue. Pas pour me faire du mal mais parce qu'il faut bien le faire, il faut bien aider comme on le peut et pourtant je ne roules pas sur l'or.... Mais je peins et je me dis que si ce qui sort de mes mains peut aider à ralentir le massacre des animaux abandonnés maltraités ou menacés par l'euthanasie alors je n'hésites pas une seconde. Il me reste plus de cinquantes peintures que je laisse à un prix dérisoire pour participer à des actions. Je n'ai que ca pour aider mais je me dis que si tout le monde en fesait autant il y aurait moins de malheureux à la spa et autres refuges. Equilibre est un forum pour tous les animaux dont les équidés mais ils souffrent aussi bien plus que l'on ne peut penser. Moi je suis allée chercher ma princesse, il y a quelques mois chez une personne bien qui l'avait déja sauvée et je peux vous dire que chaque jour dans ses yeux quand on partage un calin elle me redonne au centuple l'amour que je lui donne avec une immense joie. J'ai aussi trois chiennes sorties de la fourrière et deux chatounes Kéops et Sakara qui sont mes yeux et mes oreilles alors n'hésitez pas à me poser des questions pour en savoir plus, merci à tous, merci pour eux

J'ai souvent essayer de t"écrire mais de la même façon que j'essaies de te parler, je n'y arrives pas. Alors pourquoi ici pourquoi mon site, pourquoi? surement pour me vider la tête et ce que je pense est bien trop dur pour te le confier. J'ai pensé pourtant à plein de manières de le faire mais au bout du compte elle restera lettre anonyme, lettre dans le vide ou une lettre à jeter. Ce n'est pas facile de parler le même langage il faut dire que tant de choses n'ont réussies qu'a nous éloigner un peu plus. J'aurais peut-être du te dire certaines choses mais encore aujourd'hui, je ne le sais pas. Je disais avant les paroles font du mal et les mots font parfois du bien, je ne sais pas si cela peut être vrai aujourd'hui. Je voudrais bien reprendre certaines choses depuis le début pour que tu me comprennes ou au moins qu'on puisse dialoguer.Ce qui me tracasse c'est que je n'arrives pas à comprendre les choix que tu adoptes dans ta vie n'as-tu pas le choix? ne cherche tu pas à savoir ce que sera ton avenir? Je ne sais pas. Je vois ta jeunesse s'écouler en milieu clos sans ambitions sans véritable projet et sans avenir et ca me fais du mal. Nous n'avons ni les mêmes personnalités ni le même caractère d'ou une distance énorme entre nous. Il est peut-être tant même si c'est dur pour une mère de te dire certaines choses. Quand j'avais 15 ans, je vivais comme tu sais surement chez mes parents enfin sous le toit bancale de ce qu'il restait chez eux. Pourtant durant mon enfance, je ne me suis pas rendue compte de ma souffrance. D'avoir été élevée mais pas très haut et parfois même très bas si je puis dire. On peut dire qu'à la maison ca gueulait tout le temps à cause de l'argent, de la politique et tout était passé au crible et critiqué dans le moindre détail. Mais je vivais dans cet équilibre éphémaire des opinions gratuites des contestations à bon marché et d'un couple de référence qui hurlait sans arrèt. Ma soeur était barrée dans sa tête et complètement disjonctée on peut dire surement les frustrations l'ont-elles conduites à tout ce qu'elle m'a fait subir étant petite mais marquée à vie, je ne lui pardonnes pas. Bref, mes parents étaient quand même instruits, il faut bien des qualités même si dans certains cas ca ne sert vraiment à rien. A la maison pas question de l'ouvrir de trop, de s'exprimer ou de se mettre en avant. Il fallait pas chercher à comprendre et marcher droit même si on sait pas ou. J'étouffais ou du moins je me sentais mal dans un univers qui s'arrêtais à la fenètre et je révais. J'aimais la poésie, j'écrivais je m'inventais un monde qui n'existait pas pour compenser cette vie qui n'offre rien à un individu pour grandir favorablement. Ton père à connu mes parents pour une histoire de location de garage. Rien que de voir de nouvelle tête, c'est un monde qui s'ouvre un peu d'oxygène qui entre. Je savais pas ce que s'étais que les hommes sujets interdit à la maison au début il me tenait la main j'avais 15 ans et lui 20 je crois. Mes parents me chariait au début, ils craignaient que je succombent à un paysan comme il disaient un bouillette cousin des voisins qui étaient attardés mentaux. Je m'en défendais un peu puis je sais pas comment j'ai accepté sa compagnie. J'étais pas avertie sur la sexualité et la première fois qu'il m'a emmené dans la campagne s'était dans un chemin. Je peux pas dire le dégout et la peur que j'ai eue se jour la de me sentir salie ou plus affranchie je savais même pas j'avais 15 ans et un coeur de môme. Apparemment pour lui s'était sérieux moi je savais juste que j'étais rejetée ca n'était plus pareil, la je n'avais plus personne. Qui s'en préoccupe à 15 ans et demi j'ai fais une fausse couche et j'en ai parlé à personne. Ton père ca y est il je l'avais définitivement sur le dos ou est le mal je lui appartenais non? Je suis tombée enceinte de toi et encore une fois je n'avais personne à qui parler. Mes parents m'ont mis dehors j'ai habité un moment une caravane en plein hiver ensuite Marie Thèrèse sa mère à eue pitié et a fais les démarches pour un appartement. 19 rue Louis gillain 17 ans un bébé et un ton père qui détruisait mon adolescence avec un sourire de victoire. Mais moi je voulais apprendre faire des études tous les jours je pleurais d'avoir connu un homme aussi bète que ca le rends méchant. Un homme tout juste doué d'un instinct animal et qui en est fier. Ce qui me fais le plus de mal malgrés toutes ces blessures car j'ai réussie a partir à construire ma vie et aller à l'université pour mes études c'est qui l'a tué mon chien sous mes yeux à bout portant Moulouk il s'appelait. J'espère que de la haut il saura se venger car moi à l'époque entre stupidité, injustice et malheurs je n'ai rien dis. Voila pourquoi ma fille être une personne qui réfléchis est important car les imbéciles laissent des blessures dont on ne se remet vraiment jamais.

Dans la vie, il y a de curieux hasard... moi qui n'est pas toujours été gatée, j'ai eue la chance de rencontrer un véritable ami. Aussi précieux que le plus grand des trésors l'amitié entre homme et femme est une vraie richesse. D'univers totalement différents on s'est liés d'amitié un jour alors que j'étais Angers pour des documents administratifs.  Ses deux molosses m'ont flairés les premiers et une complicité s'est liée immédiatement après qu'on est discuté un peu. Moi qui venait de ma campagne, mal a l'aise dans une ville que je n'aime pas trop et lui qui vivait dans la rue à cette époque avec ses deux nounours, ses chiens. Mal à l'aise moi qui avait une maison à la campagne que quelques détails pouvaient tourmenter, je  comprenais la vie de mon nouvel ami facilement. Pourtant ce n'est pas cette différence qui m'a rapprocher de Romain mais une profonde complicité. Je venais de temps en temps le voir et on se retrouvait sur une place car pour les sans domicile tel est leur quartier général la et dans les rues. Les gens passent souvent sans même voir quelqu'un assit par terre d'autre en font de trop en se donnant le droit de taper dans le dos comme un vieux copain. Moi je pensais a mon ami souvent, très souvent. Puis je suis allée le chercher et on a passés ensemble des moments super des crises de rires a faire la popotte comme si nous nous étions toujours connus. Il fallait ensuite le ramener à la dure réalité parce que sur notre route seul chacun de nous peut y marcher tout seul mais c'est le coeur bien lourd qu'on partait chacun de son coté. Même les loulous étaient tristes de nous voir dans la voiture sur la même place mettre plus d'une demi heure à se dire au revoir. Plus fort que l'amour parfois l'amitié est une matière aussi solide que de l'acier que personne ne peut détruire de toute facon nous étions tout les deux célibataires. On a presque passé un an, un an de bonheur de rigolade et de franche amitié. Bien sur ils nous fallait tracer son chemin à l'un comme a l'autre et je priait de tout mon coeur quand il avait une copine pour qu'il soit enfin heureux. Sur ces conseils, j'ai rencontré quelqu'un  et partie de cette région je laissais derrière moi de facon cruelle mon petit frère de coeur. Seule chose qui me réchauffe le coeur il ne dors plus dehors se reconstruit après la rue dans une vie modeste et son appartement. Comme on peut le deviner, on ne sort pas de la merde qui nous entoure comme on voudrait et je suis sure, il se bat encore de tout son coeur. Un coeur comme j'en ai jamais vu d'aussi grand . Ce matin mon petit frère je pense à toi, a tout ce qu'on a vécu les larmes aux yeux car tu me manque même si l'on garde contact sur internet.

A tous, si vous croiser un petit Romain dans la rie passer à coté de lui serait la preuve que vous étes bien ignorant et que le coeur n'a de barrière que sa sensiblilité.

Je n'arrive pas à dormir, alors j'écris. Moi qui ne donne pas souvent des nouvelles, je me plais à coucher sur papier libre ce qui ne va pas. Une fois de plus, je me suis à nouveau pris le bec avec ma mère vendredi dernier et pour une fois c'est moi qui commencais à pêter les plombs. Je préfères faire ma vie de mon coté et je me suis emportée afin de lui faire comprendre. Et j'ai mes raisons. Je n'arrive pas à la suivre et pourtant j'ai passé pas mal de temps avec elle. J'ai compris pas mal de choses aussi au fil du temps, il aurait fallut être aveugle pour ne rien voir. Ses loisirs se limitent de l'écran de télé au canapé, du canapé au lit. Il est vrai quelle à un coté dynamique, faire son marché, ses courses aussi presque tous les jours.. Je ne sais pas vraiment exprimer ce que je ressents. A force de vouloir se confier il arrive un moment ou c'est tellement difficile que l'on finit par abandonner. C'est mon cas même si les raisons qui me poussent à me révolter ne manquent pas. C'est con de ne pas parler tous les langages du coeur, de ne pas pouvoir donner tel que l'on voudrait. En tout cas, je n'aime pas que l'on se joue des autres, que l'on essaie de les apprivoiser pour avoir la conscience tranquille et d'éviter le reflet de la glace pour ne pas y voir ce que l'on a à se reprocher. Lui dire combien je souffre de cette fausse complicité me pèse au plus haut point. Mais il ne faut pas se voiler la face et encaisser les faux semblants. Je m'étais déja appercue combien le coté tape à l'oeil de cet amour maternel pouvait être superficiel. Il fallait juste gratter un peu pour s'appercevoir ce qu'il y avait en dessous n'était pas de la même couleur. Je n'ai d'ailleurs jamais demandé que l'on me manifeste d'ailleurs un amour éclatant après des années de vide. La sincérité m'aurait suffit et serait plus belle à mes yeux. La franchise ne s'altère pas au fil du temps. Je préfères être seule, j'ai assez soufferts de l'injustice, des mauvaises paroles que l'on crache sur les autres pour libérer son venin. Je ne connais pas de plus grands défauts que des sentiments tronqués et faux pour bonne figure et considéré son attitude comme une bonne action. Mais la meilleure action quand on ne peut pas changer est sûrement de laisser les autres en paix, de les laisser vivre tranquillement et selon leurs propres valeurs si eux même n'en n'ont pas la moindre. J'espère ne jamais faire aussi mal aux autres, un jour. En lui disant de me laisser tranquille, je lui ai aussi dit que je l'aimeais mais ca c'est très difficile à comprendre..... Comme elle cite souvent " réchauffe un serpent contre ton coeur, il te prouvera son amour en te tuant.. " c'est bien pensé j'en conviens aisement. Comme je l'ai déja fais, je déccroches, je jètes l'éponges, j'abandonnes. J'en ai pris plein la gueule dans mon enfance, on m'a jetée au lion ensuite, maintenant à la trentaine qu'ils me foutent un peu la paix. A chacun sa conscience moi la mienne est tranquille.   J'aurais tellement aimé que les choses en soient autrement que régies par l'égoisme et la méchanceté. J'ai fais mon maximum avec tout les moyens dont je dispose. A présent, je demande juste que l'on m'oublie un peu en gardant si possible l'image de quelqu'un de pas trop con et de pas trop pourri. L'être humain sera toujours un bel enfoiré, surtout certains qui écraseraient n'importe qui pour une parcelle de pouvoir débile. Le vrai pouvoir n'est-il pas le fait de comprendre car il réunit les montagne sans qu'elles ne s'affrontent. A vous qui avez su me faire du mal, c'est bien visé mais un jour tout vous retombera sur le coin du nez et votre souffrance n'en sera pas la moindre. La vie ne peut pas être idéale avec des champs de coquelicots partout mais il y a des limites. Le tablau est vite brossé, le seul d'ailleurs que je n'aimes pas peindre car ce paysage est triste et de mauvais goût.Combien de fois me suis-je laisser avoir à écouter des conneries, je ne sais pas mais j'espère que celle là seront les dernières. Au pied du mur on voit le maçon et coté construction dans la mentalité ce n'est pas qu'un peu minable. Démunie de morale d'orgueil et de bon sens envers les autres, il faut pas avoir froid aux yeux mais plutot dans le fond du coeur ou il n'y a qu'un blog de glace. Je préfères faire ma vie à moi, tout recommencer encore une fois, tout effacer et ne plus remuer ses souvenirs qui remontent déja assez a la surface de ma vie pour me faire du mal. Je les enferment eux et leurs représentants au fond de ma mémoire même s'ils ne le méritent pas. Je ne donnerais cette nouvelle à personne car de toute facon je suis seule, seul le silence apaise..... Pour illustrer ce texte, je laisse une de mes peintures, juste un décors peint a l'huile

Dés le matin, si je puis dire ainsi, j'ai envie de me mettre au travail. Ecrire, une des taches les plus difficiles, la plus agréable aussi.                  Des pages qui me feront sûrement du bien des textes qui me feront sûrement du mal et des pensées sans réelle importance. Sans chercher, sans savoir, broyer toutes les couleurs de l'espoir du vert obtimiste au gris des instants passifs. S'exprimer est un don que l'on perfectionne.                  A 16 ans déja j'écrivais mes premiers poèmes, trouvant l'inspiration en regardant par la fenêtre de ma chambre.Un jour mon père a vu mes écrits et m'a demandé " c'est de qui" honnètement je lui ai répondu " de moi ". J'ai pris deux giffles car il pensait que je le prenait pour un imbécile. Du coup j'ai tout brulé pensées, textes et rimes ont brillé  du même éclat dans les flammes. Plus tard, je les ai gardé comme des souvenirs, comme des flashs, le film de ma vie en miniature. Il n'est pas le principal de bien écrire en ficelant les mots de telle ou telle ponctuation mais simplement de libérer ce qui me tiens à coeur. L'écriture elle même n'est pas des plus appliquée mais peu importe seul le temps d'aimer fait éclipse à la mémoire. Il es l'heure à la pendule, de bouger, de faire des choses , non pas attractives mais nécessaires pour vivre. Pourtant, dans mon coin, je n'ai pas envie de faire grand chose à part faire quelque chose de bien c'est à dire ne rien faire... Similitude de pensées? oui bien sur nous ne vivons pas dans un illogisme profond mais ceci explique cela de façon sympathiques ( certains vont avoir du mal à me suivre ).

• Pour illustrer ce petit texte, j'ai choisi une de mes peintures acrylique qui s'appelle Cléo

Ne croyez pas que je nourris un certain sentiment de rejet envers les hommes... pas du tout.. Pourtant, je ne peux m'empècher de penser à ce que quatre femmes sur dix soit victimes de violence morale ou physique, ca c'est intolèrable. Nul ne peut donner le droit de faire mal à un individu sous quelque prétexte que ce soit. Rassurez vous la méchanceté de ces hommes prouvent leur lacheté. En donnant un conseil aux femmes qui subissent chaque jour je leur dirais " dites vous que cet homme est une sous merde car il n'a même pas le courage d'en être une entièrement " en s'en prenant à une femme. Pour détendre cette atmosphère pesante ou malheureusement les victimes de ses sauvages primaires sont isolées, je vous propose un de mes textes écrit déja un bon nombre d'année en espérant qu'il vous apportera une petite lueur dans ce monde ou par trop de fois nous ne voyons pas la souffrance des autres..

Juin 1997 :

J'écris pour me défouler pour me vider la cervelle qui semble s'activer de façon féroce en ce moment. Ou trouver un refuge dans ce chapelet de difficultés qui m'entourent. Comment s'exprimer sans crier sa rage et réagir calmement quand tant de choses m'atteignent profondément. L'être humain est-il stupide? en suis-je moi aussi l'un des représentante acharnée? que dois-je prouver pour être comprise une bonne fois pour toute. J'ai du mal à me retrouver sur le chemin des efforts qui me semblent illusoires, j'ai du mal à passer ma route sans croiser un regard de tendresse, enfin à croiser cette tendresse surtout.Tous me semble un peu trop calculé pour être agréable. Gagner sa vie, gagner la confiance, se tenir droit devant les autres, suivre le bon exemple.... Une ligne de conduite est difficile à trouver. Même pour moi qui ai prècher le bon exemple. Difficile car les concessions à faire sont souvent accomplies pour ou contre quelque chose. En l'occurence le simple fait de se regarder dans la glace nous amène normalement à être digne. La dignité est donc la base d'un dentiment tou à fait personnel, qui ne se partage pas. Les opinions se partagent, les points de vue, car nul ne peut apporter réellemnt sa vision qui lui reste propre tout au long de sa vie. Néanmoins, certains éléments peuvent affecter cet honneur en un rien de temps et en plein dans le mille... les autres... Deux cas me viennent précisemment en tête :

*Les difficultés qui se suivent et qui fatiguent même le plus expérimenté sourire aux lèvres.

*Le jugement de ceux qui vous entourent qui cernent rapidement le problème et vous enserrent au milieu.

Les deux réunis pour peu qu'on soit un peu émotif, c'est la pagaille assurée. Les motivations filent comme des  courants d'air et il faut être bons sportif pour catalyser son énergie. Les idées se brouillent ensuite comme si un décodeur était en panne dans votre tête. La fierté et l'honneur alors prennent une bonne claque en même temps.La vraie dignité ne serait-elle pas de ne pas atteindre une personne déja assaillie par ses obligations et par ses doutes? Un homme m'a dit un jour " je peux te faire du mal moralement " quel courage j'avais déja un genoux à terre moralement.. Je pense en conclusion avoir trouvé la solution " Prouve que tu es fort et le meilleurs des mondes ouvrira ses portes " sinon tu restera derrière en demandant la charité affective. Ou, tu assumes car un monde ouvre ses portes et derrières t'attendent prêtent à te faire deshonneur... et tu finiras comme une vilaine ménagère sale et abrutie.

Souhaites tu être au fond de toi aussi claire et juste que quiconque respecterait? sans doute. La vie possède bien des retords mais le premier piège est de ne pas les voir. Alors les yeux bien ouverts, tente de faire au mieux sans idée de conquérir. Essaie d'être heureux sans batir au détriment d'autrui. Mène ta vie car elle est belle même quand tes yeux remplis de larmes se demandent pourquoi. Entre rires et larmes rien n'est facile mais ne baisse jamais les yeux devant quiconque. La fierté est sa richesse aussi alors que de ne rester entre peur et ambition, va toujours plus loin sans savoir forcément ou cela te mène. Cet univers nouveau montré du doigt, va à ton rhytme avec prudence. Ignore la contraite stupide de la morale, je parle de celle que l'on tiens à te faire avaler.Car ce que tu attends au coeur de tes espoirs ne sont pas des obligations, concessions, par orgueil personnel. j'attends de mon coté cette petite étoile qui brille. L'art de vivre n'est pas un vain mot, ni une fausse vocation. L'amour n'est pas non plus cinq lettres qui se suivent de façon ridicule. Pour ma part, je n'ai jamais vécu ce sentiment dont tous le monde rève ou exibe à volonté, je sais seulement que je suis née avec ce qui n'ai déja pas si mal....

Pour accompagner ce texte j'ai choisile portrait de Néfertari une de mes peintures huile peinte sur cuir. Elle qui d'un seul a su par son regard donné la dignité à toutes les femmes.

 Depuis que je suis née, je rève du bonheur, de l'amour, d'un sentiment qui m'accompagne pour le reste de ma vie. Je puis dire que de ce coté là je n'ai pas vraiment été gatée, et ce pendant un bon nombre d'années. J'ai d'abord perdus mes parents qui, à force de disputes successives on finit par se séparer.. de ce fait je me suis retrouvée très jeune dans une sorte de solitude. Rien ne m'était acquit, j'ai dû créer un équilibre éphémère sans m'appuyer sur de banales relations qui ne semblaient en définitiven pas vraiment dignes d'intêret. Cela n'a pas toujours été facile et j'en ai franchement parfois vraiment bavé. Juste obligée de me forger une personnalité à toute épreuve dans une faune que je ne connaissais pas. Je promenais mes sentiments en évitant les moments les plus durs. Malgré ca certains souvenirs restent gravés comme autant de cicatrices encore sensible au fil du temps. J'ai seulement appris à mieux les accepter pour vire avec, ayant le sentiment d'avoir été plus souvent seule qu'accompagnée. je me suis souvent demandé ou étaient les lois du coeur, ayant subis par trop de fois des déceptions. Je vivais mal mes sentiments trop mitigés par autant de méfiance , pour me prolèger. J'avais la sentation des ne pas être à ma place oui pire encore dans une modeste illusion. Je voyais bien que le plupart des échanges n'étaient pas dénués d'intêret quelconques et qu'il n'est pas facile que d'ouvrir enfin les yeux. J'ai donné du temps sans savoir que je perdais le mien, écouté des heures sans que personne ne m'entende, apparté des espoirs alors que je n'en possèdais pas moi même. Je n'ai pas toujours réussi  ce que j'ai tenté de bon coeur prise dans les affres de la jeunesse. Entre les faux et bons amis, les projets d'avenir et les petits boulots, les idées pour ce construire et les moyens d'être démolie pour essayer d'y voir plus loin, d'y voir plus clair.Je garderais à l'esprit que l'homme contrairement à nos amis les animaux est capable de se nuire sans motif apparent. A bien y réfléchir, ma seule qualité véritable à l'époque est d'avoir toujours réagis face à tous les dangers,toutes les dérives. J'ai toujours gardé à l'idée de l'essentiel au  fond de mes poches qui me suivait partout.Un idéal qui ne se mesure pas à la vue d'un profil bassement matériel mais parce que l'on voit au regard des sentiments. Aussi, les souffrances sont telles plus dures à partager losqu'on à le coeur lourd ce qui explique mon choix de ne pas m'engager pendant longtemps. Mon idéal était de vivre heureuse en bonne intelligence dans un respect mutuel tandis que les circonstances ne m'ont offertes qu'une  sorte d'anarchie. Le privilège de m'épanouir un jour devenait , au fil du temps décalé comme unique compagnon, lui et le droit de rèver bien sûr, seul droit que l'on m'ai sans doute accordé depuis ma naissance. je me rapelle tous ces instant perdus, tous ces moments qui on fait de moi ce que je suis devenue. Après toutses ces années, de lutte ou tout semble différent ce récit à pour moi une véritable signification pour ne jamais oublier les lueurs d'espoir... j'ai choisi pour illustrer mon texte une de mes peintures, un portrait huile encadré sous verre... à bientot